L’excès de positrons expliqué par DUO5
Avec sa mauvaise interprétation du principe cosmologique, le modèle standard voit des violations de symétrie partout ! Or l’univers – dans le cadre de sa dualité de localité – est toujours strictement symétrique. La symétrie est consubstantielle à la Nature car elle résout le paradoxe existentiel.
La parité électron-positron est strictement respectée dans l’atome d’hydrogène : noyau = 1840 (unités neutralisées) + 1 positron et un électron orbital .
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance :
1/ des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu fécond la Bulle-Univers observable.
2/ de la cause de l’existence des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS-zéros stochastiques et non connexes, formant l’Omnivers, sans écoulement du temps et doté d’une entropie informationnelle quasi infinie.
3/ de l’intense brassage global qui ouvre une probabilité non nulle de créer un flux de synchronisation d’une partie des Bodys enrichissant un BEC-fossile . Ce dernier formant des couches sphériques virtuelles, oscillant entre le point de rebroussement et le point zéro commun.
4/ du phénomène d’influence entre l’extérieur stochastique et l’intérieur synchronisé du BEC-fossile. Ce phénomène tend à accélérer le flux de synchronisation qui se traduit par la réduction de l’intervalle élémentaire tangentiel entre pôles de Bodys.
5/ de la saturation du BEC-fossile relatif à la conséquence du point 4. En effet, la réduction critique de l’intervalle tangentiel élémentaire d’une seule couche, se traduit par la fusion des pôles contraires voisins. Cela annule le lien causale radial qui sépare les pôles opposés. Cette séparation révèle les paramètres physiques de chaque pôle, qui deviennent ainsi des positrons et électrons, aussitôt fusionnés en protons, selon la loi KOIDE-DUO5. sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.
6/ de la cause physique du continuum masse-espace-temps,. Les Bodys périphériques de l’aire 2D du BEC-fossile deviennent matière par séparation causale et les Bodys (non séparés) du volume 3D du BEC-fossile, forment l’espace-temps. C’est la perturbation de symétrie causée par le couplage avec la matière, qui habille les particules.
La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.
Il convient également de prendre connaissance des 5 lois premières de l’univers
Parmi les rayons cosmiques, l’excès de positrons est une véritable énigme pour le modèle standard. L’excès de positrons dans le flux de rayons cosmiques a été mis en évidence en 2009 par l’expérience PAMELA et d’autres comme Fermi-LAT et les détecteurs spatiaux AMS-02 et DAMPE. Il est important de signaler que cet excès de positrons est plus significatif à haute énergie. Le modèle standard a trois principales hypothèses pour expliquer la cause de cet excès : les pulsars proches ; la matière noire ; les interactions avec les GMC (nuage moléculaire géant). Aucune de ces hypothèses n’est vraiment convaincante, d’autant plus que les phénomènes « rayons cosmiques » et « matière noire« , ne sont pas expliqués. Ce n’est pas un modèle de plus – non décliné de CAUSES physiques fondamentales de l’existence de l’univers – qui résoudra cette énigme, comme la centaine recensée par DUO5.
La saturation des Bodys subquantiques au centre des galaxies
Contrairement au modèle standard, la loi KOIDE-DUO5 cherche à résoudre les problèmes particuliers en déclinant toujours les mêmes CAUSES globales. Ainsi ce sont les pôles de BODYS subquantiques – une fois séparés sur le BEC-fossile – dont sont issues les paires électron-positrons de l’échelle quantique. Ce sont les éléments fondamentaux de la matière, à partir desquels les quarks ne sont que des effets induits. On retrouve quasiment le même phénomène de saturation-séparation, dans les trous noirs centraux des galaxies.
Ci-après la structure d’une galaxie typique, caractérisée par sa dualité entre la partie visible et le halo de BECs enchevêtrés entourant chaque étoile de la galaxie. Les BECs du trou noir central, sont totalement superposés. Cela provoque la même saturation-séparation que sur le BEC-fossile originel. Cette séparation revient à extraire à vitesse c, les pôles séparés de l’échelle subquantique vers l’échelle quantique. La séparation des pôles révèlent leurs paramètres physiques sous la forme d’électron-positrons stables et relativistes. A la différence du BEC-fossile où les BECs de l’espace-temps sont à la même vitesse d’expansion, les BECs formant halo sont fixes. Ainsi les paires électron-positrons ayant la vitesse c, sont relativistes. C’est la cause profonde des rayons cosmiques. Mais une partie des rayons cosmiques sont infléchis par les champs magnétiques entourant la galaxie et se rencontrent.
La clé de la stabilité des paires électron-positrons réside dans la séparation angulaire Δθ non locale dès leur création. La relocalisation partielle – fonction de Δθ – provoque donc une annihilation proportionnelle à Δθ entre les belligérants électron et positrons. Si Δθ =180°, l’annihilation est totale (comme localement). Mais si Δθ < 180° alors il y a une dégradation massique de la paire Δθ = Δm. Cela le prive de sa synchronisation avec les Bodys et donc de son statut d’élément constitutif de la matière. C’est la cause de la matière noire. Elle forme des agrégats gravitationnels qui à grande échelle s’apparente à une étoile noire entourée de son BEC dont le couplage est dégradé.
Les champs magnétiques peuvent provoquer la courbure de certaines trajectoires ce qui se traduit par des collisions ou relocalisation partielle. Cela dégrade l’intégrité de l’électron et du positron via un taux d’annihilation Δm non total mais proportionnel au Δθ.
L’excès de positrons à haute énergie
On retrouve le même processus d’émission du BEC-fossile, mais à deux exceptions près :
1/ si pour le BEC-fossile, la vitesse c de l’expansion est synchronisée avec les BECs de l’espace-temps, ce n’est pas le cas dans le cadre de la galaxie et c’est cela qui provoque l’effet relativiste.
2/ dans le cade du BEC-fossile, la synchronisation globale de la fusion en protons amène avec une probabilité de 1/2, la totalité des positrons à être confinés dans les protons. Mais dans le cadre galactique la synchronisation – non parfaite – provoque une situation où certains positrons sont orbitaux en symétrie avec leurs électrons confinés dans le proton. Il y a donc un excès apparent, de positrons.
Grâce à un léger défaut de synchronisation, certains protons sont dotés d’un positron orbital et donc d’un électron confiné. Ainsi les rayons cosmiques révèlent un excès de positrons. Mais ce n’est qu’apparent car la symétrie globale en électrons et positrons est incontournable. Ce phénomène, attendu par la loi DUO5, est une énigme pour le modèle standard
Il est normal de constater cet excès de positrons aux énergies les plus hautes car elles concernent des particules nées non localement dans la galaxie. Il faut les distinguer nettement des particules nées des désintégrations locales dans ce que l’on appelle les gerbes cosmiques.
Les éléments de langage qui bloquent le modèle standard
1/ Antimatière : cette expression laisse entendre qu’il aurait une matière noble – la nôtre – et une antimatière moins performante. On peut lire dans Wikipédia :
« …. l’absence d’antimatière a été établie dans notre galaxie, la Voie lactée, puis dans les galaxies voisines, et enfin dans tout l’Univers visible. Une hypothèse avancée par les scientifiques est l’existence d’une asymétrie entre la matière et l’antimatière« .
Comment peut-on nier la symétrie qui est la première loi indéfectible de l’univers ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que la charge du proton est strictement celle du positron ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que les muons ou autres mésons ont invariablement des charges positives ou négatives ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit qu’il existe une dualité fondamentale entre l’instabilité de l’électron créé localement et l’électron courant d’origine non locale qui est hyper stable ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que la dualité stabilité de l’électron doit forcément s’appliquer au positron ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que les rayons cosmiques produisent plus de positrons que prévu ? Comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que l’électron est la seule et unique particule élémentaire stable alors qu’on le classe parmi des particules instables comme le muon avec des critères arbitraires purement locaux ? Comment peut-on ne pas réaliser que le concept de dualité, valable pour la double expression onde-particule est une loi fondamentale à développer ?
2/ Valeur absolue : comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que le zéro ou l’infini mathématique est inapplicable en physique (à par les nombres sans dimensions) ? L’expression « antimatière » trahit également ce raisonnement d’absolu emprunt de croyance . Comment peut-on penser que la synchronisation non locale des spins préalablement intriqués, puisse communiquer de manière absolue c’est-à-dire « instantanément » ?
3/ Dualité de localité : comment peut-on regarder ailleurs quand il est établit que le spin de particules intriquées est typiquement non local ? Comment peut-on faire l’amalgame dans le principe cosmologique entre : « toutes les localités se ressemblent » et la dualité « locale et non locale » ?
Conclusion
Il est difficile de dire si ces positrons en excès sont aussi stables que les électrons de création non locale. Si cela pouvait se vérifier, ce serait vraiment une énorme révolution dans la quête de la fusion nucléaire. En effet, tous les positrons créés localement n’ont aucune chance d’être stables. Imaginons ci-après que les flux cosmiques de positrons soit effectivement stables :
Sous condition que l’on puisse le capter et le maîtriser, ce flux de positrons stables pourrait être mélangé avec des électrons stables. Ainsi ce flux globalement neutre viendrait enrichir les couches neutres du noyaux en utilisant leur énergie naturelle. En multipliant par 3 les 4 groupes neutres de 460 unités chacun (soit 1840) du proton, on obtiendrait 7370 unités répartie en 50 groupes de 148 unités chacun, c’est à dire un noyau d’hélium. Fusionner à bas cout énergétique, des atomes d’hydrogène en hélium est le graal des physiciens pour produire de l’énergie à volonté et gratuitement. Cette énergie étant relative à la perte de masse réalisée entre 4 hydrogènes et 1 hélium.
Selon la loi DUO5, la perte de masse vient typiquement de la baisse du taux d’habillage relatif au couplage subquantique. Ce taux diminue avec le nombre formant un groupe. Le groupe de G(H) = 460 unités du proton devient G 4H = 148 dans l’hélium. Le ratio est de 3,1. La masse atomique de H = 1,00794 u, donne un Δm = 0,00794 u. La masse atomique de 4H = 4,002602 u donne un Δm = 0,002602 u. Ainsi la relation suivante est précise à 1.8 % près.
Selon le tableau de cet article, la taille d’un groupe est inversement proportionnelle au nombre de groupes et donc à la masse totale d’un atome. C’est l’atome d’hydrogène – dont chacun des 4 groupes comporte 460 unités (électrons nus) – qui a le taux d’habillage le plus important (1,0026). La perte de masse qui génère l’énergie de fusion, est juste la réduction du taux d’habillage de l’atome final.
6 réponses
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