Inertia and existential paradox

Déterminisme de L'Univers d'Or

Created with Sketch.

Inertia and existential paradox

Inertie et paradoxe existentiel

1/ Fluctuations quantiques

Le modèle standard interprète l’observation du « vide spatial » comme étant rempli d’ondes électromagnétiques fluctuantes. Il le voit comme un océan où les fluctuations seraient représentées par des vaguelettes à sa surface. Les ondes produites (par quelle cause ?) ont toutes les longueurs d’onde possibles. Selon le modèle standard, le « vide » contient une certaine quantité d’énergie appelée : énergie du point zéro.

En premier lieu, la loi DUO5 n’utilise pas l’expression « vide » dont le sens reste aussi vague qu’archaïque. En second lieu, l’espace-temps n’est pas « rempli » d’ondes mais « constitué » d’oscillateurs discrets mais révélés par leur couplage avec la matière. L’espace-temps est structuré par les oscillateurs Bodys subquantiques. Ces fluctuations mesurées sont les sous produits générés par la perturbation relative au couplage {particules-Bodys}. C’est l’effet de la dualité {quantique-subquantique} dont la dualité de localité est parfaitement mesurée. Une étude de Jean BRICMONT montre clairement le malaise parmi certains physiciens devant la réalité de la non localité relative à l’état de spin. La symétrie spatiale (non locale L) des Bodys-zéros 1D constituant l’espace-temps, est perturbée par le couplage (local) avec la matière. Cette perturbation se manifeste par un transfert ΔM (habillage) pour conserver M.L = Cte. Ce ΔM est transféré sous forme de fluctuations d’ondes sous-harmoniques de la fréquence propre des Bodys. La « mer de Fermi » rend compte de ce couplage qui matérialise l’habillage des particules. Le principe d’incertitude de Heisenberg, vue à l’échelle quantique, est hérité (comme toutes choses par ailleurs) des Bodys subquantiques.

Il est spéculatif de projeter les fluctuations de l’état actuel de l’univers constitué, vers l’état primordial, non constitué par définition.

2/ La cause physique des fluctuations existentielles

Les fluctuations existentielles sont issues du paradoxe du même nom dans le cadre de la Matrice Univers Permanente Stochastique. Le langage courant du modèle standard, évoque « l’univers » comme une entité absolue en éliminant arbitrairement sa possibilité de dualité intrinsèque. Un amalgame est fait entre la Bulle-Univers en expansion et l’état d’univers « Matrice permanente stochastique » qui lui a donné naissance. Avec cette vue moniste et absolue, le modèle standard cherche à colorer le « Fiat Lux » religieux par d’opportunes fluctuations quantiques primordiales. Il commet un second amalgame en projetant imprudemment les fluctuations quantiques actuelles (secondaires), à la « cause existentielle » de l’univers. Le caractère absolu du néant vu par le modèle standard, est « secoué de fluctuations magiques (pardon quantiques). On ne voit pas l’intérêt d’expliquer leur causes, puisqu’elles sont « quantiques ».

Les fluctuations du paradoxe existentiel, sont très différentes de celles que l’on peut mesurer actuellement dans un espace-temps déjà constitué.

La dualité de localité et de temporalité, ainsi que les dernières observations, démentent le principe d’homogénéité et d’isotropie, imprudemment adopté.

Que se passe-t-il avant que la Bulle-Univers ne soit constituée ? Pour comprendre cela, il faut réaliser que le zéro absolu mathématique n’est pas transposable à la physique fondamentale. La dualité relative au zéro inertie, implique deux états : l’impossible zéro absolu (0A) et le zéro symétrique ( 0S) ou relatif. La cause physique des fluctuations (ou oscillations) réside dans le paradoxe existentiel relatif à la dualité des « états impossibles » : (M > 0A ; M ≡ 0A).

Les fluctuations quantiques actuelles ne peuvent être transposées en l’état, aux fluctuations stochastiques de la Matrice-Univers Permanente. La cause de ces dernières, est le paradoxe existentiel relatif à la « dualité des impossibles » : (M > 0A ; M ≡ 0A). La Nature est contrainte de résoudre ce paradoxe par l’oscillation permanente et dipolaire des Bodys stochastiques pour obtenir dans chacun : M ≡ 0S.

Le zéro absolu mathématique est impropre à la physique fondamentale

3/ Définition subquantique de l’inertie

L’inertie M au niveau subquantique, n’a rien à voir avec la naïve notion de « quantité de matière ». C’est une entité oscillante qui contient de facto la notion d’amplitude spatiale L . La notion fondamentale de l’inertie est donc intimement liée à la notion d’amplitude et donc d’oscillateur. L’entité élémentaire vient de M.L = Cte. A chaque cycle stochastique, la fréquence est égale à f(1/M.L). L’entité M.L génère donc une composante temps T et une composante charge électrique Q² = f(M.L). Cette dernière est la condition du lien causal qui permet l’annulation parfaitement symétrique (M.L + M.L’ ≡ 0S) des paramètres des pôles confinés formant chaque Bodys.

La notion de paradoxe implique de facto, une dualité. Dans le cadre macroscopique, la dichotomie M, L, T est justifiée. Mais dans les oscillateurs formant le « néant  » stochastique de la Matrice, l’espace L est une composante indissociable de M. Au point zéro de chaque oscillateur, toute intensité de M, choisie aléatoirement, implique une indétermination spatiale L, dont l’intensité est inversement proportionnelle. C’est donc la loi M.L = Cte qui règne à chaque cycle aléatoire. Dans ce cadre aléatoire, l’oscillation est le seul moyen naturel pour chercher – à chaque cycle – de se rapprocher au mieux de l’impossible zéro M absolu.

La mathématique ne connaît qu’un type de zéro, le zéro absolu. La physique est fondée sur la dualité entre le zéro absolu OA et le zéro symétrique 0S.

4/ La dualité {interne-externe} des Bodys-zéros stochastiques

Chaque Bodys est le troisième corps (M.L ≡ 0S) issu de la dualité de ses pôles, m.ℓ et m.ℓ’ > 0. La matrice stochastique peut donc avoir un nombre infini de Bodys non connexes, puisqu’ils présentent un parfait zéro de genre symétrique. L’entité inséparable m.ℓ de chaque pôle n’est pas un scalaire comme le serait le m seul. C’est ce statut algébrique 1D qui permet d’annuler parfaitement les pôles contraires. Chaque Bodys est doté d’une double dualité : celle des pôles et celle de type {interne-externe}. C’est l’effet « peau » que l’on retrouve au niveau des BECs, du proton et des cellules biologiques. Toutes les cellules protègent par leur « peau », leur niveau bas d’entropie interne, contre la haute entropie de désordre extérieure.

5/ La dualité de l’entropie informationnelle de la Matrice stochastique

C’est un ensemble non connexe de Bodys-zéros 1D, dans lequel la masse, l’espace et le temps, n’existent pas. Chaque Bodys-zéro possède une cycle aléatoire dont la fréquence confinée est changeante. Le temps global ne s’écoule pas. L’entropie informationnelle tend vers l’infini. La probabilité qu’il se forme une « bulle » ou un BEC par synchronisation partielle, est extrêmement faible. Mais le non écoulement du temps, la rend unitaire. C’est l’expression la plus fondamentale de la dualité entropique. C’est un néant « vide ou impalpable ou inobservable » mais rempli d’informations. Pour que deux Bodys stochastiques se synchronisent, il faut remplir les conditions suivantes : a) la superposition des points zéros ; b) la superposition des fréquences ; c) la superposition des phases. Cependant, une superposition absolument exacte (sans erreur) est impossible. Il y a donc forcément un taux d’erreur qui différencie très légèrement les masses du point zéro commun. Ainsi, le BEC constitué présente un défaut de sphéricité. C’est grâce à ce défaut qu’une partie des pôles sera rescapée de l’annihilation primordiale, pour former la base {électron-positrons} de toute la matière.

Tous mes articles

6 réponses

  1. […] la loi DUO5 démontre que s’il existe en effet un état d’univers éternel basé sur le paradoxe existentiel des lois fondamentales de la physiques, il n’est pas du tout stationnaire. Ce néant à […]

  2. […] – l’impossible « zéro absolu inertiel » au point zéro. C’est le fameux paradoxe existentiel car toute présence de masse, serait injustifiable. La nature résout ce paradoxe par la symétrie […]

  3. […] de plus, ni une spéculation car il n’y a pas d’autres options possibles à cause du paradoxe existentiel expliqué ci-après. De plus, tout ce qui en découle est indirectement mesurable dans de très […]

  4. […] synchronisation d’un domaine de l’état permanent d’univers (omnivers) soumis au paradoxe existentiel donné par la loi n° 1, ci-après […]

  5. […] paradoxe existentiel relatif à la loi n° 1, démontre pourquoi la matrice permanente d’univers ou omnivers, […]

  6. […] la base du paradoxe existentiel qui est démontré comme n’étant ni une hypothèse, ni une spéculation, ni un principe. De […]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *