Tout est composante de l’inertie M
On a vu que l’existence virtuelle de l’Omnivers est due au paradoxe existentiel avec son déterminisme naturel à chercher un inertie M égale à l’impossible zéro absolu! A l’échelle macroscopique, la masse inertielle [M] est bien différenciée de la longueur [L], du temps [T] et de la charge [Q]. Mais à l’échelle subquantique et quantique, il n’en est rien !
Même en considérant la possibilité statistique d’obtenir un parfait zéro absolu pour M, son amplitude infinie L le condamnerait à ne plus osciller, par définition. Ainsi la seule possibilité d’un parfait zéro oscillant pour la notion inertielle M, est naturellement obtenue par la dipolarité symétrique de l’oscillateur Bodys. La notion d’oscillation stochastique est consubstantielle à la notion de variabilité qui ouvre la potentialité d’obtenir le monde observable. Ce zéro symétrique exige l’inséparabilité des deux pôles. C’est la clé de la notion de force entre polarités opposées.
L’oscillation permanente du Bodys stochastique vient de cette constante universelle qui est la base de la constante de Planck :
L’oscillation du Bodys stochastique, répond à l’obligation pour la nature, à continuer de chercher – indéfiniment et aléatoirement, à chaque cycle – l’impossible zéro absolu de M au point zéro. Tout M au point zéro implique de facto un potentiel d’amplitude L d’autant plus grand que M est petit. Ainsi l’inertie M augmente avec la progression d’un pôle, réduisant son potentiel L. Au point de rebroussement c’est l’inséparabilité des deux pôles opposés qui conduit naturellement au retour au point zéro. Ainsi la force d’attraction électrique, représentée par la charge élémentaire e², est juste une composante du produit M.L comme le montre cette relation connue :
Cela introduit la dimension [Q] qui est dérivée du produit [M. L]. Après synchronisation du Bodys stochastique, une charge quelconque est devenue la charge élémentaire e que l’électron a hérité en tant qu’ancien pôle séparé. L’origine de la force coulombienne élémentaire, vient de l’obligation de conserver le lien causal entre les pôles opposés ML et ML’ du Bodys.
Le temps élémentaire
La force Fe élémentaire qui commande le rebroussement des pôles de Bodys est donné par :
Les 4 premiers termes sont hérités du 5eme terme qui est un pôle de bodys dont l’amplitude est celle du rayon d’un BEC, dans lequel la permittivité 10-7 est augmentée du facteur ξ², ainsi que la vitesse subquantique (cs = c ξ²). Le second terme montre clairement que la force de rappel est proportionnelle au produit M.L. Le premier terme confirme la loi DUO5 en indiquant que la source de la constante G est bien le gradient coulombien générés par des ξ4 pôles séparés de Bodys, disposés sur la demi circonférence du BEC fossile.
il vient clairement que le temps se dilate comme l’inertie dans le Bodys.
Le temps élémentaire est une composante de l’inertie élémentaire me. Il est l’inverse de la fréquence d’un Bodys synchronisé.
Le temps cosmique
Ce temps présente une occurrence numérique de sigma > 7 avec les 5 relations qui donnent le rayon maximum de la bulle Univers en expansion, en les divisant par c.
Conclusion
Le temps est également une composante de l’inertie. De plus, dans le Bodys, il se dilate comme la masse lors de sa progression vers l’amplitude maximale de l’oscillateur Bodys.
Fondamentalement l’inertie M possède une instabilité L qui lui est inversement proportionnelle. L’impossible zéro absolu pour M ou infini pour L, se traduit par un zéro symétrique obtenu dans l’oscillation de 2 pôles contraires dans un temps T = Cte M.
La dilatation de la masse décrite par relativité est directement issue de M.L = Cte. En effet la longueur intrinsèque d’un électron est représenté par sa longueur de Compton ƛe . Sa vitesse entraîne son rétrécissement qui entraîne l’augmentation de sa masse. Mais la cause profonde de la relativité réside dans le différentiel de vitesse entre l’échelle quantique et l’échelle subquantique. En effet, la vitesse quantique c, est strictement réglée par la vitesse subquantique cs = c ξ². En tout point d’un BEC, un photon de masse nulle, semble traverser d’un espace élémentaire quantique, mais en réalité il passe par le point 0 du BEC à la vitesse cs, par le réseau subquantique. Il existe une proportion invariante entre l’intervalle élémentaire et la distance au point zéro. Mais pour un électron, de masse > 0, la vitesse provoque une asymétrie dans les pôles du Bodys subquantique. Le pôle local est raccourci et selon M.L = Cte, il cède – via le couplage – une partie de sa masse à l’électron, selon la loi de Lorentz, (corrigée DUO5, car : 1/ il ne peut exister aucun paramètre physique infini ; 2/ c’est la limite haute de l’extraction d’un pôle ; 3/ cela est confirmé dans les rayons cosmiques max).
Pour une masse M macroscopique, supérieure à un certain seuil, sa composante L (ou son instabilité ou indétermination) reste confinée dans le volume de M, à cause de M.L = Cte. C’est l’explication physique de ce que l’on appelle la décohérence quantique. La dualité onde corpuscule disparaît à l’échelle macroscopique.
Conclusion
L’inertie M est l’aptitude à s’opposer (pas résister) à l’accélération. Une accélération infinie n’a aucun sens puisqu’elle ne concernerait rien d’autre qu’une impossible masse absolument nulle. C’est la clé même du paradoxe existentiel où l’espérance du zéro absolu, se traduit en zéro de nature symétrique. Higgs a tenté d’expliquer la genèse de la masse inertielle, en inventant un « champ de Higgs » basé sur un « vide » dont la viscosité s’opposerait au déplacement. C’est une erreur car l’inertie ne s’oppose pas au déplacement mais à sa dérivée, l’accélération. La masse inertielle macroscopique M autonome, n’a pas d’équivalent à l’échelle quantique et subquantique, car, à cette échelle, le couple M.L = Cte, est indissociable. Les pôles de Bodys en s’éloignant l’un de l’autre, réduisent leur potentiel L et sont donc freinés. L’existence même des Bodys stochastiques, n’a de sens que dans l’obligation de liaison confinée de leur pôles, qui assure le zéro symétrique. Cette inséparabilité existentielle est l’origine de la force qui les unit. Cette force – contraire à celle qui freine leur éloignement, est motivée par l’attirance vers le point zéro où il existe – à chaque cycle – une espérance d’atteindre le zéro absolu. Cette espérance de zéro M absolu, ainsi renouvelée, est la cause profonde de l’oscillation permanente des Bodys. Cette oscillation stochastique d’un nombre indéterminé de bodys-zéros, représente une entropie informationnelle qui tend vers l’infini. Ce brassage intense possède une probabilité unitaire de synchroniser un nombre suffisant de Bodys pour constituer un Condensat de Bose Einstein (BEC) apte à saturer et entrer en mode de mitose-expansion.