La courbure de l’espace-temps

La géométrie riemannienne a permis la formulation de la théorie générale de la relativité d’Einstein, attachée à décrire l’expansion de l’espace-temps de l’univers. Cet être mathématique permet de décrire parfaitement le continuum masse-espace-temps et l’influence mutuelle entre ces trois dimensions. Elle tient compte de l’observation qui montre que pour chaque point, tout s’éloigne autour de lui. Cette observation tend à rejeter l’idée d’une géométrie euclidienne dotée d’un centre représentant le début de l’expansion.
Un des aspects négatifs de la « dangereuse efficacité des mathématiques », est sa capacité de créer des modèles sous forme d’êtres mathématiques, capables de copier les effets des êtres physiques, mais en éludant leurs causes. L’espace-temps est un être physique constitué d’oscillateurs élémentaires synchronisés. Ce sont les perturbations de la matière qui génèrent les fluctuations quantiques qui trahissent le couplage entre les particules et l’espace-temps.
Variété euclidienne et continuum masse-espace-temps
La bulle univers en expansion n’est pas déterminée par sa géométrie et sa topologie, qui ne sont que des effets . Au premier abord, la géométrie euclidienne – dotée d’un centre – ne semble pas convenir à l’observation effective d’une expansion isotrope. D’autre part, il est apparu normal de rejeter à priori, l’idée qu’il puisse exister une référence absolue aux coordonnées de l’univers. Cependant la loi DUO5 montre clairement que le centre de la bulle univers, le BEC-fossile en expansion, n’est pas le centre de l’Omnivers mais juste le centre de la bulle en expansion hérité de l’Omnivers. Cette coordonnée n’a pas le statut d’absolu, mais issue du hasard. L’expansion-mitose du BEC-fossile, en couches sphériques de vitesses, donne l’illusion en tout point, d’une expansion isotrope. Les dernières observations, indiquent cependant, une anisotropie de l’expansion qui se trouve à environ 90° de l’axe de l’accélération radiale depuis le grand trou de l’Eridan qui est la trace laissée par le BEC-fossile.
Espace-temps physique ou « vide » quantique ?
Selon la terminologie du modèle standard, le « vide » quantique est rempli d’énergie sous forme de particules virtuelles fluctuantes à cause du principe d’incertitude de Heisenberg. La loi DUO5 rejette cette vague appellation moyenâgeuse de « vide », pour la remplacer par le terme d’espace-temps physique structuré en oscillateurs dipolaires subquantiques nommés Bodys-zéros. Sans la matière, la masse de chaque pôle des oscillateurs dipolaires Bodys, s’annule parfaitement par symétrie avec son alter ego. C’est le couplage avec la matière qui génère ces fluctuations. Cela perturbe la symétrie dipolaire de telle sorte qu’une partie de l’énergie des Bodys est extraite au niveau quantique. Cela se traduit par une altération de la symétrie dipolaire, qui réduit l’amplitude ΔL du pôle local.
Rappel : la loi M.L = Cte, est la base de la constante de Planck sous la forme ħ = M.L c = Cte, avec c, la vitesse de la lumière (également constante). L’origine de la constante de Planck est relative aux paramètres de l’électron soit : ħ = me ƛe² / te. L’origine de l’impulsion intrinsèque de l’électron, est celle d’un pôle de Bodys : mo ƛo / te, avec mo = me / ξ3 et ƛo = ξ3 ƛe . Le temps d’un cycle est commun.
Dans un cadre théorique (sans perturbation par la matière), l’oscillation symétrique des pôles des Bodys, suit la loi M.L = Cte. Au point zéro chaque masse Mo, possède une indétermination qui lui confère un immense potentiel spatial Lo. Comme L’éloignement des pôles réduit ce potentiel ΔL, il vient que la masse augmente selon ΔM = 1/ ΔL. A cause de l’impératif de conserver le lien causal, la masse possède une composante de charge électrique assurant la cohésion dipolaire. Dans le cadre de l’espace-temps réel, toute particule locale est couplée avec des Bodys. Cette perturbation réduit l’amplitude spatiale du pôle local, ce qui altère la symétrie. Ainsi l’altération de symétrie ΔL implique une extraction de masse ΔM qui vient habiller la particule. Cet habillage (virtuel), sous harmonique Δν de νe possède un énergie ħ Δν qui génère la mer de Fermi et une partie des quarks. Pour un amas de masse, cette réduction ΔL, se manifeste par une courbure locale de l’espace-temps. L’injection d’énergie (selon l’équivalence masse-énergie) peut extraire une paire de pôles de Bodys, sous la forme d’une paire de photons devenant une paire électron-positron.
Extraction d’une paire de pôles de Bodys devenant électron-positron
L’approche standard indique, selon l’incertitude d’Heisenberg : ΔE . Δt ≥ ħ/2, que plus le temps est court plus l’énergie extraite est grande. Ce n’est pas faux mais définir une cause par un effet d’incertitude, est juste une manière d’éluder la physique. Selon la loi DUO5, la fréquence (1/t) des Bodys subquantiques est celle de l’électron, soit : νe = 7,76344 × 1020 Hz. Si l’émetteur injecte un énergie ħ ν avec ν < νe alors la paire de photons n’aura pas l’intensité suffisante pour extraire un dipôle et donc une paire de photons devenant électron-positron. Mais ces photons se propagerons à vitesse c, grâce au tissu de Bodys. Si l’énergie atteint ħ νe alors elle sera suffisante pour extraire un dipôle de Bodys, devenant paire électron-positron. La condition physique est d’atteindre la fréquence du Bodys, elle réduit la causalité spatiale élargie dans le temps d’un cycle. C’est une localisation de la non localité subquantique. Avant l’extraction, l’oscillation des pôles de Bodys au point zéro s’assimilait à une annihilation-création cyclique. L’extrême réduction de la masse des pôles au point zéro, leur conférait une très grande incertitude (ou amplitude) spatiale.
Inflation cosmique et séparation causale
La saturation du BEC-fossile a réduit l’intervalle tangentiel élémentaire des pôles de Bodys, situés en sa périphérie ou point de rebroussement. L’ultra court arrêt a donné le temps d’action pour la force coulombienne, fusionne tous les pôles de la seule couche périphérique. Ce dernier cycle s’assimile à une inflation cosmique à vitesse supraluminique à partir du point zéro, fixé à : co = ξ3 c. L’augmentation de la masse du pôle suit la loi M.L = Cte. L’impératif de conserver l’état zéro de chaque Bodys, contraint une composante charge électrique pour conserver la causalité radiale entre les deux pôles éloignés. Mais la fusion généralisée a masqué les charges. Ce masquage revient à une rupture du lien causal radial. L’isolation de chaque pôle, révèle sa masse (électron ou positron). La fusion des différentes localités, assemble les pôles voisins en dipôles différents de ceux d’origine. C’est cela qui justifie la stabilité des paires électrons -positrons constitutives des particules composites.
La séparation causale généralisée est la cause de la gravitation
On a vu que la cause physique de l’existence de l’Omnivers, vient du paradoxe existentiel, relatif à la dualité des zéros. La notion d’inertie ne peut en aucun cas être ramenée au zéro absolu mais l’existence de l’inertie est injustifiable. L’unique solution est le zéro symétrique obtenu sous la forme d’oscillateurs dipolaires, les Bodys stochastiques originels. Mais quand le BEC-fossile saturé opère une séparation causale généralisée des éléments de dipôles, situés sur sa périphérie, cela va à l’encontre du déterminisme de la Nature. C’est la gravitation qui devient le lien causal global, sensé à terme, de recouvrer les causalités d’origines pour annuler les masses. Le temps d’un cycle subquantique, devient alors un temps cosmique ξ4 fois plus grand.