Espace-temps et halos galactiques

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Espace-temps et halos galactiques

Ci-dessus, les 5 échelles d’une galaxie typique : 1/ le trou noir central, vestige de l’état de la galaxie sur l’aire du BEC-fossile ; 2/ le disque de la galaxie visible ; 3/ le halo intérieur formé par les BEC-fils dotés d’un fort taux d’enchevêtrement relativement à l’hyperdensité du trou noir central ; 4/ le halo extérieur formé par les BECs moyennement enchevêtrés relativement à la masse de leur étoile hôte ; 5/ l’excroissance du halo extérieur formé par les BECs très déchevêtrés des galaxies naines satellites. Leur taux d’enchevêtrement est si faible que le halo s’étend largement au delà du halo galactique principal. L’espace-temps n’est pas un être mathématique mais constitué de BECs, eux-mêmes formés de Bodys synchronisés avec point zéro commun au centre.

On peut voir le trouble créé par l’observation énigmatique de halos de galaxies naines incroyablement étendus. Cette observation est conforme à la loi DUO5.

Halo galactique, contenant ou contenu ?

Les halos sont mesurés indirectement par au moins deux moyens distincts qui en mesure les EFFETS. Le premier consiste à mesurer l’impact des masses noires du halo, sur la rotation des galaxies. Le second consiste à mesurer le cisaillement aux limites du halo, relativement à l’effet zoom des masses invisibles. La communauté scientifique parle de « halo de matière noire », comme s’il s’agissait de la CAUSE. Là encore on confond « cause et effet ». La cause des halos est largement décrite et expliquée par la loi DUO5. Le contenant du halo est formé par l’enchevêtrement serré des BEC-étoiles. Le contenu est effectivement représenté par un flux de matière noire en cours de migration. Trois questions cruciales se posent :

1/ d’où vient la matière noire (DM) ? ;

2/ pourquoi et comment les BECs formant halo, freinent-t-ils la migration centrifuge de la DM ? ;

3/ qu’elle est nature de la DM ?

La réponse à ces questions est largement expliquée ici par le même phénomène de saturation du BEC-fossile et par la cinquième force. Comme pour le ralentissement inexpliqué de la sonde Pioneer, il existe une relation entre la gravitation classique variant en 1/r² et sa déclinaison constante et faible dans les BECs formant halo galactique. L’effet cisaillement vient du décrochage de cette force centripète, aux limites du halo principal.

Espace-temps et taux d’enchevêtrement des BECs

Le taux d’enchevêtrement des BECs dépend de deux paramètres :

1/ l’intensité de la masse qui est concentrée au sein du groupe de BECs enchevêtrés ;

2/ le taux de couplage entre le groupe de BECs et le type de masse en son centre (visible ou noire).

Les BECs entourant le trou noir central des galaxies, ont un taux d’enchevêtrement maximum. Ils sont quasiment superposés ! Cette superposition réduit les intervalles entre Bodys subquantiques voisins, ce qui déclenche l’extraction d’un flux de pôles subquantiques séparés (donc révélés). C’est la source des rayons gamma dont certains entrent en collision pour devenir de la DM par dégénération de ses composants ultimes.

L’élément ultime de la matière est la paire électron-positron issue de deux pôles subquantiques opposés, causalement séparés de leur Bodys respectif, d’un angle 2π. Si les éléments relatifs à la séparation causale entre en collision d’un angle θ<2π, alors leur taux de dégénération varie en fonction de θ. Ainsi c’est l’angle variable des collisions dθ, qui détermine le taux d’annihilation avec un large spectre. Le taux d’annihilation de la paire créée localement (non causalement séparée), est forcément binaire car θ=2π. Le modèle standard passe à côté de la réalité physique en croyant naïvement à l’universalité de l’expérimentation locale. La dualité de localité est pourtant largement démontrée. Cela revient à mettre un pansement « Higgs » sur la jambe de bois « quark » dotée de l’énigme muon. Le boson Higgs est une émanation transitoire du niveau subquantique et les quarks ne sont que les effets du couplage (ou habillage) Bodys ↔ matière.

Les BECs entourant les étoiles d’une galaxie, ont un taux d’enchevêtrement assez fort. ils forment le halo extérieur (hors extension créée par des galaxies naines périphériques). Leur taille est de l’ordre de 200 000 années-lumière, soit ~1021 m.

Les BECs de l’espace-temps intergalactique ont un taux d’enchevêtrement faible, car ils sont associés à des masses noires dotées d’un faible couplage et souvent de faible intensité. Ainsi l’expansion se traduit par un déchevêtrement des BEC intergalactiques. Il n’y a donc pas d’étirement des Bodys élémentaires. C’est une condition pour la constance de la vitesse c ! Cela les différencie des BECs fortement couplés des galaxies. Les BECs des galaxies naines – qui participent moyennement à l’expansion – ont naturellement un halo extensible et donc très étendu.

Source et diffusion de la matière noire

La saturation du trou noir central à l’échelle subquantique, se traduit par l’extraction et émission de pôles de Bodys, causalement séparés. L’impulsion intrinsèque d’un de ces pôles est la même que celle d’un électron lancé à vitesse c. On a vu ici que le facteur de Lorentz fixant l’effet relativiste n’est pas infini mais limité au facteur ξ. C’est ainsi que des électrons, les positrons et des protons relativistes sont mesurés dans la haute atmosphère. Une partie de ces particules relativistes entre en collision, ce qui les dégénère en particules de matière noire. Ces particules (moins couplées que les particules visibles) sont éjectées du trou noir par la force centrifuge. Cela revient à une lente évaporation des trous noirs, déjà conjecturée par Hawking. Mais la cinquième force centripète et constante du halo, a tendance à freiner la matière noire (DM) dans sa migration vers l’extérieur. Arrivée aux limites du halo, le flux de DM est brusquement libérée. Cela se traduit par le gradient de densité de DM qui est mesuré et appelé « cisaillement ».

Il n’y a pas de halos de matière noire mais des halos formés de BEC-fils enchevêtrés qui freinent la matière noire en cours de migration vers l’extérieur. Ce même freinage est mesuré sur les sondes Pioneer.

L’espace-temps se prolonge au delà des halos galactiques

Le volume d’espace-temps formant halo, est « courbé » par la gravitation et sa déclinaison constante relative à la cohésion des BECs . On a vu que la séparation causale sur l’aire du BEC-fossile (formant la matière) a été l’objet d’une annihilation qui a réduit la masse totale du facteur 1/α² = 1/18 800 ! Cela veut dire qu’au départ, les BECs associés aux galaxies ont été très minoritaires. Par ailleurs, les collisions primordiales et successives de galaxies, ont formé une multitude d’étoiles noires, chacune entourée de son BEC. Ainsi, l’espace-temps, au-delà des halos de galaxies, est formé de BEC-fils faiblement enchevêtrés à cause du faible couplage avec la DM. Cela veut dire que les trous noirs galactiques, participent à nourrir l’étirement relatif à l’expansion de l’espace-temps intergalactique.

L’espace-temps n’est pas un être mathématique mais un être physique formé de Bodys assemblés en BECs enchevêtrés avec lesquels la matière est couplée. Ce couplage se mesure via le taux d’habillage virtuel. La cause physique de la « courbure » de l’espace-temps d’Einstein, est le taux d’enchevêtrement des BECs entourant une masse (noire ou visible).

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