Relativité générale
La relativité générale se veut fondée sur des concepts radicalement différents de ceux de la gravitation de Newton. Cependant dans les deux cas on ne tient pas compte de la physique de l’espace-temps et donc de l’échelle subquantique. Le modèle standard souffre d’une incompatibilité cruciale entre relativité générale et la théorie quantique. Dans les deux cas on a éludé la physique pour construire des êtres mathématiques spécifiques à chaque cas. La loi DUO5 rend compatible les deux échelles car c’est une loi partant sur des bases physiques incontournables. Exit la notion archaïque de « vide », car les preuves sont données pour que l’espace-temps soit discrétisé par des Bodys oscillant à des amplitudes cosmiques, fixant le rayon du BEC. La matière est intimement couplée avec ces Bodys et perturbe leur symétrie garante du zéro. C’est cette altération locale de symétrie qui se traduit par l’effet « courbure ». La théorie de Newton aurait été valable si elle avait tenu compte de l’échelle subquantique. La notion de courbure est en relation avec le couplage matière ↔ Bodys. Donc la notion de « courbure » dans la relativité générale est un effet qui certes représente assez bien la réalité, mais qui ne donne pas la cause. La relation ci-après donne parfaitement la notion de courbure (1/L²) par le produit entre la constante d’Einstein et le tenseur énergie impulsion de dimension [M/L/T²] :
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Constante d’Einstein
Armé de ses preuves la loi DUO5 permet de la fixer avec un sigma >7 selon :
2
Elle traduit très exactement les paramètres de l’électron dans lesquels on remarque la constante ML
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Tenseur énergie-impulsion d’Einstein
Par la simple analyse dimensionnelle, mettant en jeu les paramètres de l’électron, obtient :
4
La courbure Gij (1/L²)
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Le lien précis avec la loi DUO5
L’inverse de la racine carrée du résultat (5) correspond très précisément (sigma >7) au rayon maximum de l’univers déjà donné par 5 autres relations différentes dont celle d’Eddington :
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7
En tenant compte ci-dessous de la répartition des galaxies trous noirs rescapées de l’annihilation sur le BEC-fossile, car situées au-delà du rayon moyen du BEC. RG1 concerne le rayon des trous noirs, caractérisé par l’intervalle élémentaire réduit ƛo, où tout a été annihilé. En revanche RGo > RG1 est le rayon des trous noirs disposés sur la circonférence légèrement élargie du BEC-fossile. L’aire (élargie) contient ξ galaxies et donc la circonférence en contient √ξ :
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9
La relation 9 est plus grande que la relation 8 du facteur k = 1,0026513098524. Cela est conforme aux résultats de l’article portant sur les galaxies trous noirs. En effet, les trous noirs primordiaux ont été sauvés, car situés au-delà du rayon moyen du BEC-fossile. C’est une conséquence de l’erreur de synchronisation avec son effet sur la dispersion d’amplitudes des Bodys (donc du rayon du BEC-fossile).
Le facteur de Lorentz
l est donné selon :
Selon cette formule, ce facteur atteindrait l’infini si v = c. Mais la loi DUO5 s’inscrit en faux devant tout paramètre physique infini (hormis les nombres). Cette formule – basée sur les seuls effets et donc ignorant les causes – n’imagine pas l’existence d’un seuil de saturation. Selon la loi DUO5, ce seuil de saturation est donné par le facteur ξ .
Si v = c, alors le maximum d’énergie extractible des Bodys subquantiques est le facteur ξ. Dans un BEC-étoile, ce seuil est atteint par le produit : mps cs² = me c² ξ², avec la masse de Planck subquantique selon :
Au-delà de ce seuil, le chemin subquantique par le point zéro commun des Bodys, est saturé. La vitesse quantique, c est induite par la vitesse subquantique cs :