5 formules confirment la fin de l’expansion

Ci-dessus, tous les BEC-fils – vides de matière – sont à la limite de leur séparation mutuelle ou déchevêtrement . Plongés dans les Bodys stochastiques de la Matrice-Univers, ils subissent de plein fouet, son influence destructrice et s’évaporent rapidement.
Introduction
Cet article indique clairement le rayon maximum de la Bulle-Univers qui correspond au déchevêtrement total de tous les BEC-fils. Mais la loi DUO5 basée sur la loi KOIDE élargie, montre que non seulement 5 formules différentes donnent le même résultat mais présentent une cohérence avec la mesure du nombre de photons dans l’univers observable, soit 4×1085 ! Par ailleurs il est confirmé, une fois de plus, le spectre d’expansion en couches de vitesses de 0 à 5 c. Exit les modèles mathématiques prétendant remplacer la réalité issue des causes physiques.
1/ Rayon maximum par le nombre de BEC-fils
Comme les ξ2/α² BEC-fils ont la même taille que le BEC-fossile, l’aire consolidée maximale est donc ξ2/α² fois plus grande. Ainsi le rayon maximum est donné par :

2/ Confirmation par la formule d’Eddington

Dans laquelle a été rajouté le taux d’annihilation α².
3/ confirmation par la formule du Trou noir

Dans laquelle : ξ8 me /α² est la masse totale de l’univers
4/ confirmation par « l’univers-oscillateur »
Selon DUO5 l’expansion est sur un 1/2 cycle selon :

Dans laquelle : ξ4 te /α² est la période de l’univers, proportionnelle à la racine carrée des masses consolidées (ξ8 me /α²) et avec te , la période élémentaire de l’électron.
5/ confirmation par la formule d’Einstein

avec :

La constante G par les 3 paramètres élémentaires
C’est la simple analyse dimensionnelle à partir du continuum élémentaire « masse-espace-temps » de l’électron : me ƛe te qui fixe la constante G. En effet cette constante est née de la séparation des ξ8 pôles sur l’aire 2D du BEC-fossile. La séparation angulaire a créé un gradient tangentielle 1D entre les ξ4 me situé sur la circonférence. Cela est confirmé par :

Rayon maximum actuel par la densité de photons
La densité de photons dans l’univers observable, est mesurée à : ρph = 4,1×108 /m3. Connaissant le nombre de photon initiaux et le rayon terminal Rm, de l’univers, on peut obtenir la densité (finale) de photons selon :
relation 1

En comparant la densité terminale et la densité mesurée des photons, on obtient le rayon max actuel soit Rm (t), en ajustant la densité estimée à ρph = 4,104 × 108 /m3 selon :
relation 2

Ce rayon est également contraint par deux éléments incontournables :
a) le nombre de photons, estimé à 4×1084 unités dans l’univers observable, soit Rm(t).
b) par la vitesse initiale d’expansion maximale à 5 c, qui est comparable à la vitesse d’expansion de notre couche locale soit à 0,51 c. Cependant après 13.8 G.y années, la vitesse maximale initiale a forcément ralenti sous le double effet de la gravitation et de l’attraction vers la vitesse moyenne à 2,5 c.
relation 3

Ce résultat est cohérent avec la mesure du nombre de photons dans l’univers observable.
Confirmation de Rm (t) par les couches de vitesses de 0 à 5c.
La décélération gravitationnelle moyenne, réduit la vitesse d’expansion, selon :
relation 4

Ainsi on peu vérifier la réduction gravitationnelle de la vitesse actuelle de la couche initialement à 5 c :
relation 5

Au rayon terminal (Rm) cette vitesse : vmg (t) = 4.519 c, doit être réduite à zéro par l’attraction mutuelle entre BECs . C’est la dualité gravitationnelle dont l’action classique en 1/r², possède une faible composante constante mais limitée aux BECs. En approchant linéairement ce Δva (avec indice « a » pour attracteur) dans la proportion (Rm(t) /Rm), on obtient la contribution relative au freinage des BECs, selon :
relation 6

qui déduite à la vitesse relative à G, donne le rayon Rm, selon :
relation 7

Cette relation recoupe la relation 2, qui elle était relative au ratio de densités des photons.
Conclusion
Avec les occurrences multiples relatives aux mesures récentes d’anisotropie de l’expansion, les résultats ci-dessus, apportent une preuve irréfutable de l’expansion en couches de vitesse. Ce n’est pas un modèle mathématique qui élude les causes mais juste la suite logico-déductive de la naissance – expliquée et justifiée – du BEC-fossile. Toutes les observations modernes confirment la loi DUO5 : a) anisotropie d’expansion, b) son orientation avec le trou de l’Eridan, c) son angle proche de 90°, d) l’occurrence avec la mesure des photons, e) l’accélération (locale) de l’expansion, f) la levée de l’énigme du trou de l’Eridan, g) la cause de la gravitation, h) la cause de l’expansion via la saturation-mitose, i) la cause de la matière noire par les collisions de galaxies qui altèrent l’intégrité des paires électron-positrons, qui s’annihilent partiellement par recouvrements angulaires partiels.
Avec la perte progressive des masses via les collisions à répétition, accentuant la perte d’intégrité des masses noires, le notion de « fin d’expansion » est floue.
2 réponses
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