Taille actuelle de l’univers en expansion

Déterminisme de L'Univers d'Or

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Taille actuelle de l’univers en expansion

Le modèle standard évoque l’horizon des évènement relatif à un observateur depuis la Terre. Il évoque ainsi une taille de 47 Gyl de rayon. Cependant, pour le modèle standard, la notion de « bord » soulève les questions paradoxales suivantes :

1/ comment est matérialisé le bord ?

2/ qui y-a-t-il au delà du bord ?

Selon la loi DUO√5, la première erreur consiste à évoquer « l’univers » unique et absolu alors qu’il y a une dualité d’états d’univers :

1/ L’état stochastique et éternel (ESE) n’a ni de centre ni d’expansion. Il est non connexe et le continuum {masse, espace, temps} n’est pas exprimé.

2/ L’état de la « Bulle Univers en Expansion » (BUE) mais en décroissance sous l’action de la gravitation.

Donc parler de « l’univers », unique, absolu, est une grave erreur, issue des réminiscences de l’ancienne pensée mystique.

La réponse à la première question découle directement de l’ensemble de BECs enchevêtrés – formant espace-temps – dont le bord est matérialisé par l’aire de rebroussement des oscillateurs Bodys.

La réponse à la seconde question fait appel à la dualité des zéros {absolu ↔ relatif}. C’est le paradoxe entre l’impossible attracteur du zéro inertie absolue et l’injustifiable inertie > 0. La Nature le résout par la notion de Symétrie. Une infinité de (Bodys-zéros) offrent un zéro inertie (donc l’absence de tous paramètres physiques) par le masquage par opposition de deux pôles oscillant en opposition. Cela forme un ensemble stochastique non-connexe sans continuum masse-espace-temps.

La loi DUO√5 montre que l’expansion de la BUE se produit en couches de vitesses qui conduit à une isotropie observationnelle de l’expansion.

L’expansion en couches de vitesse explique l’isotropie observationnelle et l’accélération locale de l’expansion

La densité de photons

On estime la densité actuelle de photons à : ρph = 4.1×108 unités / m3. Dans l’article précédent on donnait le rayon maximum R de l’EUE à 296,4945049 G.y.l. La loi DUO√5 indique que l’annihilation survenue sur le BEC-fossile concerne quasiment les ξ8 pôles naissants. Ainsi, on peut connaître la densité finale des photons sachant que le nombre créé lors de l’expansion reste négligeable car la matière ne représente que (1/α² =0.,000053) des ξ8 photons primordiaux.

Avec Rm le rayon optimal de l’univers sera pavé des BEC-fils complétement déchevêtrés en formant sphère 2D :

Taille actuelle de la BUE

Pour connaître la taille actuelle de la BUE, R(t), il suffit de prendre la racine cubique du ratio de densité des photons :

soit 60,79 milliards d’années lumière

Cette taille – 60,79 G.y.l – est celle relative à la première couche initialement en expansion à 5 c, en sortie de la mitose en cascade (voir ci-après le trou de l’Eridan). Or cette couche a forcément ralenti depuis, sous l’effet : a) de l’attracteur à 2,5 c ; b) du ralentissement global du à la gravitation. Comme depuis la couche de notre galaxie, nous observons une accélération de l’expansion, il vient que cette couche est en retard par rapport à la couche moyenne à 2,5 c. Comme toutes les couches tendent à unifier leur vitesse d’expansion, il y a – par rapport à la couche moyenne – une accélération des couches en retard et une décélération des couches en avance.

Le fond diffus à T = 2,725 K

Le modèle standard précise que l’aspect diffus représente « toutes les directions » et ne provient donc pas d’une source orientée. Mais selon DUO5 ces deux éléments peuvent être rapprochés dans le cadre de l’expansion en couches de vitesses. En effet le rayonnement en provenance du centre donc du BEC-fossile a été diffusé initialement à toutes les couches et c’est pour cela qu’on le mesure d’une manière isotrope.

La mesure du fond diffus est effectivement isotrope car toutes les couches étaient réunies sur le BEC-fossile. mais sa source provient du BEC-fossile.

L’âge de l’univers est maintenant connu par différents moyens, soit 13,8 G.y. La loi DUO√5 est contrainte par une annihilation primordiale très majoritaire des ξ8 paires d’électron-positrons. Leur température est connue soit : To = 5,9298×109 kelvins. Ainsi l’accroissement de l’aire 2D du BEC-fossile a fait chuter en 1/r², cette température à Td = 2,72 K .

Notre distance du BEC-fossile

La couche de rayon D actuel, contenant notre galaxie, vient de l’accroissement du rayon du BEC-fossile au rayon D selon :

Connaissant l’âge de l’univers, on peut estimer la vitesse de la couche qui nous concerne :

Dans le cadre de BECs enchevêtrés et couplés, cette couche dont l’expansion est à 0,51 c, est accélérée par la couche moyenne dont la vitesse initiale est à 2,5 c. Les BECs couplés se comportent comme un très long train où le démarrage des derniers wagons, différé, accélèrent ensuite pour rattraper la vitesse de la tête du train.

L’immense trou en direction de l’Éridan

La distance nous séparant de cet immense et unique trou cosmique dont le rayon est d’environ 0,5 milliards d’années-lumière, est justement estimée aux alentour de 7 Gy. Il donc fort probable qu’il s’agisse des restes du BEC-fossile. La vitesse de cette couche fossile serait de : (0,5 Gyl – RBEC) / 7Gy = 0,07 c. En effet la mitose en cascade produit des couches de vitesses s’étalant de 0 à 5 c. Au cours de la mitose en cascade, la couche 5 c cumule 5 impulsions purement radiales à v = c et la couche 0, cumule 5 impulsions à résultantes purement tangentielles. Toutes les autres couches sont comprises entre ces deux extrema.

Chaque étape de la mitose en cascade , implique une impulsion c isotrope. Cela provoque une expansion quasi isotrope, en couches de vitesses de 0 à 5c.

Le taux de décélération γG

Le taux de décélération de la couche moyenne s’obtient selon GM/r² et v²/ r, avec k = 2,5, le coefficient relatif à la vitesse de la couche moyenne d’expansion :

Mais la couche à 0,5 c est en accélération (actuelle) vers l’attracteur γat(t) que représente la couche moyenne. L’intervalle d(t) entre cette couche et la couche moyenne vaut :

Ainsi l’accélération positive d’expansion, due à l’attracteur de la couche (2,5 c) pour la couche à (0,5 c), vaut :

Le taux d’accélération (locale) de l’expansion est environ 9 fois plus intense que la décélération due à la gravitation.

Conclusion

Dans le cadre de l’état stochastique éternel composé d’une infinité de Bodys-zéros, la vie d’un BEC (synchronisation-saturation-fusion-expansion-retour au stochastique) est un épiphénomène. En effet que vaut 296 Gyl devant l’éternité ? Fondamentalement le paradoxe relatif à l’attracteur de la Nature dans chaque Bodys (impossible zéro absolu), est compensé par la dualité du zéro symétrique issu du « masquage par opposition » des deux pôles contraires d’un Bodys. Le premier axe de la Dualité profonde la Nature, s’exprime dans le terme {interne ↔ externe} avec la notion assumée de « peau » ou de « bord ». Si dans le référentiel confiné ‘interne » d’un de ces pôles de Bodys, le continuum M,L,T existe bien, il est annulé dans le référentiel « externe » du Bodys. Or c’est la même chose pour l’état d’Univers en expansion qui serait invisible pour un hypothétique observateur extérieur. La garantie du zéro dans un Bodys est assurée par la force de liaison (fonction de la charge électrique) qui assure la causalité non locale. La garantie du zéro inertie global, dans la Bulle-Univers en expansion, est assurée par la force gravitationnelle. Les collisions de galaxies, représentent des étapes vers l’annulation progressive des masses. La matière noire est relative à une suite d’altérations de l’intégrité des paires électron-positrons. Elles perdent leur synchronisation qui est garante du couplage entier avec les Bodys. Leur inertie altérée rend impossible la fusion en atomes. Ainsi elles n’émettent plus de fréquences reconnaissables (voir la raie spectrale hyperfine de 21 cm de l’hydrogène). Le modèle en couches de vitesses nées de la mitose en 5 étapes, résout :

1/ la cause de l’expansion

2/ l’énigme du trou immense de l’Eridan

3/ l’énigme de la matière noire

4/ l’énigme de l’accélération (locale) de l’expansion

5/ l’énigme du bord de la Bulle univers en expansion

6/ l’énigme de son « contenant » stochastique

7/ l’amplitude maximale de l’expansion

8/ Le phénomène de dilution en fonction de l’augmentation de la surface d’échange

9/ L’aspect oscillateur de la Bulle-Univers avec annulation par opposition de l’énergie globale.

10/ La croissance de l’entropie dont l’issue est l’état stochastique.

Comme un Bodys, la Bulle-Univers possède la fondamentale dualité {interne ↔ externe}. Par la pensée, un hypothétique observateur extérieur, ne verrait aucun continuum {masse-espace-temps}.

4 réponses

  1. […] temps » minimum donne : te (10123)123 , soit des milliards de milliards fois plus long que la durée de cette Bulle-Univers limitée à 296 Gyl. Cela veut dire que la probabilité d’avoir plusieurs BEC-fossiles contemporains est […]

  2. […] traitant de la taille actuelle de l’Univers, montre en détail – et en accord avec les observations – notre position radiale dans les […]

  3. […] pour raison de saturation et de dualité de localité. L’aspect fractal de cette mitose-expansion en 5 phases, amène les masses (hôtes des BECs-fils tissant l’espace-temps) à se propager radialement […]

  4. […] article indique clairement le rayon maximum de la Bulle-Univers qui correspond au déchevêtrement total de […]

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