Le temps élémentaire et cosmique
BEC-fossile saturé
Avant la saturation du BEC-fossile, le continuum {masse-espace-temps} temps, est confiné et masqué par opposition dans chaque Bodys-zéro. Lors du court arrêt au point de rebroussement, l’intervalle élémentaire tangentiel n’est pas suffisamment réduit pour que la force coulombienne provoque la fusion entre Bodys voisins. En cours de trajet, les pôles voisins de charges opposées – déplacés à grande vitesse – sont écartés par la force de Lorentz. Mais quand la première couche saturée arrive au point de rebroussement du BEC-fossile, l’intervalle élémentaire est suffisamment réduit pour que la fusion intervienne. Comme on l’a vu ici le masquage par superposition des charges voisines et contraires, brise le lien non local des Bodys. Par voie de conséquence, l’annulation M.L.T par opposition ne joue plus son rôle. Donc c’est à ce moment précis qu’apparait le continuum : masse, temps et espace.
L’intervalle radial unitaire non local, a subit une réduction en passant du rayon du BEC (R) à l’intervalle élémentaire saturé (ƛo). Après annihilation de taux α, le ratio de réduction est de :
Cela veut dire que sur une géodésique de l’aire du BEC-fossile, il reste un gradient tangentiel de la force radiale, unitaire et élémentaire. C’est la cause de la gravitation dont le rôle est de recouvrer – à terme – le mode « masquage par opposition » pour annuler les paramètres physiques, par le retour à l’état stochastique. Cette annulation est progressive car elle passe par les collisions de galaxies. Ces dernières provoquent une dégénérescence (ou altération) des paires électron-positrons, formant ainsi la matière noire. A terme, après plusieurs étapes, l’altération arrive à 100% et la matière disparait et les photons se fondent dans l’état stochastique.
Conservation de la force de liaison non locale
La force interne et élémentaire (Fe = 0,212013710196553 N) d’un électron est celle existant entre les pôles de Bodys, soit :
Consistance et naissance du temps
Dans l’état permanent et stochastique, chaque pôle de Bodys (ML), possède un cycle temporel indépendant et aléatoire mais non exprimé car masqué par opposition dans le confinement du Bodys. Quand l’opération {synchronisation → saturation → fusion} se produit, le temps de chaque électron-positron, est révélé. Il est strictement relatif à la constante me ƛe, selon :
Le temps macroscospique
Les ξ8 masses élémentaires présentes sur l’aire fossile :
On trouve une amplitude d’expansion de l’Univers (Rm) qui correspond à une aire 2D matérialisée par les ξ2 BECs-fils issues de la mitose, faiblement enchevêtrés du taux α². Au nombre ξ2 en 2D, correspond le nombre ξ en 1D, soit le multiplicateur de la taille d’un BEC qui vaut strictement ξ3 longueur de Compton de l’électron. On a donc bien le produit : ξ4 ƛe .
Rayon de fin de cycle déterminé par le tapissage 2D des BECs-fils
La durée de vie tm de l’Univers observable (non de l’état stochastique) pour 1/2 cycle d’expansion est de :
Prédiction d’Eddington pour Rm
A une constante près (α²) que Eddington avait prédit une expansion maximale d’Univers.
Univers trou noir pour Rm
qui correspond – avec une occurrence à sigma > 7, à l’univers trou noir final selon :
Rayon d’Einstein pour Rm
On retrouve la même occurrence avec la formule d’Einstein adaptée .
avec :
Univers oscillateur pour Rm
La même occurrence apparait avec le demi cycle d’univers :
Conclusion
L’état de l’univers en expansion (EUE) est issu du BEC-fossile avec la matière distribuée en 2D sur son aire. C’est la couche de pôles de Bodys, passée en mode masquage par superposition. Les ξ3 couches restées en mode masquage par opposition forment la matrice d’espace-temps en 3D. En cours d’expansion la matière est concentrée en 3D dans les BECs-fils qui servent de matrice aux étoiles. En fin d’expansion, on retrouve le schéma de départ car les BECs-fils tapissent en 2D la limite de l’EUE. Comme on l’a vu, l’expansion augmente la surface globale des BECs. Cela augmente leur fragilité face à l’influence chaotique de l’état stochastique qui l’entoure. Son état final en 2D, augmente encore cette surface d’échange. Ainsi l’état stochastique prend nettement le dessus et achève la synchronisation des BECs qui se dispersent dans le chaos.
3 réponses
1. Univers trou noir: si la masse de la bulle univers est constante, alors le rayon de l’horizon des événements doit être constant. Le rayon de l’horizon des événements ne peut pas être plus grand que le rayon de la bulle univers actuelle. Si notre bulle univers est en expansion, sa limite physique correspond donc à l’horizon des événements. Notre bulle univers est donc un trou noir dont l’horizon des événements est en expansion. Paradoxe?
2. La surface d’échange 2D avec le stochastique augmente en permanence contribuant un peu plus à sa dilution. Mais pourquoi chaque BEC ne continuerait-il pas, à synchroniser d’autre Bodys, au sein même de la bulle univers, compensant alors la dilution?
3. les forces de Coulomb et Lorentz sont des notions quantiques dans un espace structuré perturbé par la matière. Est-il physiquement recevable d’employer ces notions pour le subquantique avant saturation?
4. le photon semble se déplacer à c dans l’espace. En réalité (pour Duo5) la perturbation associée passe par le point zéro. Comment la perturbation subquantique « sait » qu’elle doit s’arrêter à l’espace élémentaire suivant après être passée par le zéro du BEC?
Bonjour LC,
1- La masse n’est pas constante au cours de l’expansion, car elle diminue au fur et à mesure des altérations en DM via les collisions de galaxies. L’horizon des évènement concerne l’observateur intérieur. L’état stochastique (ESU) contient l’état EUE et le bord est matérialisé par les aires de rebroussement.
2- Dans les galaxies, chaque BEC est « matrice d’étoile ». Or le centre de certaines galaxies à très haute densité, reproduit en partie, le phénomène de saturation-séparation-fusion en protons. Mais partant du centre des BECs, l’énergie des protons est jusqu’à xi fois (10^11) plus grande. Ce sont les rayons cosmiques qui sont justement mesurés à cette intensité.
– Dans les BECs inter galactiques, les « étoiles » sont des amas de matière dégénérée, la DM. Ces amas sont peu couplés au BEC et c’est pour cela que se sont seulement les BECs inter galactiques qui se déchevêtrent au gré de l’expansion.
3-1 Oui les pôles de Bodys sont comme des conducteurs parcourus par une charge e dans un temps t. Ils s’agit donc bien de (forts) courants : i = e/t, qui génèrent un champ magnétique autour d’eux.
4 – Il convient de faire appel à la notion de dualité : {onde-corpuscule}. L’onde (pilote au sens de BOHM) est partout dans le BEC car elle est synchronisée avec les Bodys via la multiplicité angulaire des voies ouvertes par le « rond-point » du point zéro. Cette vitesse subquantique 10^33 fois c, ne transporte que de l’information (comme par exemple l’état de spin dans l’expérience d’Alain ASPECT sur la non localité).
C’est la loi de « réduction du paquet d’onde » de Schrödinger qui prévaut. C’est l’aspect « information subquantique » qui diffuse dans toutes les coordonnées du BEC dans le cycle : te = 2.18×10-21 s. Cette information est inexploitable au niveau quantique. On ne saurait capté une émission radio au-delà de la vitesse c, car ce captage implique une médiation d’énergie : w = h c.
La médiation de l’énergie de masse provoque une altération de symétrie du Bodys concerné. Le transport subquantique est comme une vague portée par le différentiel de masse du pôles concerné, vis à vis de son alter ego opposé. La symétrie est brisée ! Mais au point zéro, la communication de cette altération aux Bodys voisins, s’épuise et diminue en s’éloignant angulairement. C’est la raison de l’amortissement en 1/r². Cela est très différent de la médiation de l’information subquantique qui demeure intacte dans tout le BEC.
Cordialement
[…] élémentaire de l’électron est forcément fonction du produit constant : me ƛe . Or on a vu cette dépendance dans cet article […]