Le temps élémentaire contenu dans M.L

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Le temps élémentaire contenu dans M.L

La charge électrique élémentaire e :

Pour unifier les unités fondamentales, le modèle standard a déterminé la charge électrique élémentaire exprimée en coulomb selon :

avec α = 137,0359997. Cela correspond à la base universelle et élémentaire : me ƛe = Cte :

Ce qui montre que la charge Q est bien dérivée de la constante M.L. Il a été affecté une conversion dimensionnelle [ML/Q²], à la valeur numérique 10-7, initialement unitaire. Cette valeur numérique : 10-7 tient compte des changements d’unités modernes et cohérentes, entre : g/kg = 10-3 et (cm/m)² = 10-4 soit 10-7. Ainsi la charge élémentaire élevée au carré – e² – a pu être extraire de : me ƛe = Cte, soit :

C’est le convertisseur d’unités pour l’unité Coulomb

Ainsi 10-7 opère une changement dimensionnel pour obtenir l’unité Coulomb. Grâce à cela, on obtient une véritable cohérence dimensionnelle entre les unités du système MKSA. De même, la constante de Planck est directement issue de me ƛe = Cte, selon :

Cela montre clairement que la cohérence dimensionnelle [M L T Q], s’obtient à partir de la base : me ƛe = Cte. Le temps élémentaire de l’oscillateur Bodys, devrait également être généré par le produit de la base élémentaire : me ƛe = Cte.

Le temps élémentaire te

Selon la loi DUO√5, la base ultime de la matière est la paire électron-positron, issue de la localisation (séparation causale) des pôles d’une (petite) partie des oscillateurs Bodys. La clé physique de cet oscillateur fondamental, réside dans le fait que l’inertie M est inversement proportionnelle à son amplitude spatiale L soit : me ƛe = Cte. Donc le temps élémentaire de l’électron est forcément fonction du produit constant : me ƛe . Or on a vu cette dépendance dans cet article :

Relation 1

On note l’occurrence numérique (σ=7) qui s’applique également à ξ

Avec la force élémentaire selon :

Le premier terme de la relation 1, relatif à la médiation de l’espace-temps, le paramètre ƛe est non altéré par le Δm additionnel relatif à l’habillage de me . Dans le second et le troisième terme, les « m » s’annulent et donc le paramètre ƛe est également non altéré. Mais ce n’est pas le cas dans la relation suivante :

Relation 2

dans laquelle le Δm de me du produit me ƛe , altère ƛe à hauteur du coefficient k.

La relation 2 comporte donc un convertisseur dimensionnel µt.

Le temps global de la Bulle-Univers, est annulé

Cette relation est précisée jusqu’à sigma 7 ! Dans sa globalité, la bulle-Univers se comporte comme un Bodys-zéro en annulant tous ses paramètres ! C’est la confirmation que la Nature de l’Univers (dans sa dualité d’état) est consubstantiel à la symétrie qui évite ainsi l’impossible zéro absolu.

L’unité de temps (la seconde) a été historiquement choisie avec des critères de type local ou « Terrestre » donc non fondamentaux. Ainsi la cohérence entre cette unité arbitraire (la seconde) et M.L, est obtenue grâce à l’autoadaptation de la valeur numérique à ce temps élémentaire. En effet, si l’unité de temps avait été n fois inférieure, alors la valeur numérique élémentaire aurait été n fois supérieure. Cette autoadaptation permet de vérifier que le temps élémentaire de l’oscillateur Bodys, est bien généré par me ƛe = Cte . Ainsi la loi DUO√5 introduit ce convertisseur d’unités comme celui employé pour la charge [Q] qui la rend compatible et cohérente avec me ƛe = Cte. La relation 2 atteint une occurrence numérique qui se vérifie jusqu’à : 10-12.

Conclusion

La masse macroscopique est différente de la masse M de l’oscillateur Bodys car cette dernière est intimement liée à son amplitude spatiale L. Le paramètre M.L est indissociable dans le Bodys. Le temps élémentaire (inverse du cycle d’oscillation) est inclus dans le paramètre M.L. Ainsi le caractère scalaire de la masse macroscopique n’est pas applicable dans l’oscillateur Bodys car M.L est de nature vectorielle ou algébrique dans la « corde » 1D du Bodys. C’est cela qui permet de masquer par opposition, les paramètres physiques de pôles en vis à vis.

Rappel

Les particules massiques – masquées par superposition – annulent que les charges

Les particules sans masse – masquées par opposition – annulent M.L et donc T,Q

Cela est valable dans le cadre fondamental de la dualité {externe ↔ interne}

Une réponse

  1. […] article explique (c’est plus que décrire) comment et pourquoi le temps est une composante de l’inertie. […]

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