Le lien muon-tauon et leur neutrino

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Le lien muon-tauon et leur neutrino

La loi KOIDE-DUO5

La loi KOIDE améliorée DUO√5, indique que le muon est composé de 207 unités élémentaires nues. La masse du muon est mesurée à 206.76 unités habillées (électron ou positron). Sa masse neutre est composée de 206 unités nues, dont les charges sont masquées (Q→0) par superposition. Il possède une unité célibataire confinée lui donnant sa charge. Dans le muon (sans intervalle-quark), cette unité célibataire est maintenue par 102 mini-intervalles-polarisations qui le repoussent au centre. La source de l’existence du muon est donnée dans le tableau 1. Le lien entre les 6 particules présentes dans ce tableau, se révèle dans l’expression en unités entières {électron-positron}. La source de leur existence est fonction du nombre d’éléments présents soit tous les Bodys d’origine (ξ11), soit dans le volume des galaxies (ξ10) soit la (petite) partie « matière » sur l’aire du BEC-fossile (ξ8) .

Tableau 1

Ce tableau montre que le muon (206) ne peut former qu’un seul groupe de 103 paires. Il n’a pas d’intervalle polarisé et donc pas de quark. Les pions – divisibles seulement par 3 – forment donc 2 intervalles polarisés et donc 2 quarks. Enfin, protons et neutrons, divisibles par 8 forment 4 groupes de paires et donc 3 quarks. Le début de démasquage des superpositions de charges, génère une force intense car les intervalles sont très faibles. En augmentant ces intervalles, la force coulombienne (en 1/r²) diminue ensuite rapidement. Cela correspond parfaitement à l’allure de la force forte. Les quarks n’ont pas d’existence propre car leur énergie est matérialisée par la polarisation de ces intervalles. Ils ne peuvent exister en tant que produit de désintégration isolés. Ainsi leur énergie ne peut que reformer des particules (kaon, rhô, etc…) qui les feront exister dans le cadre de leurs intervalles polarisés et confinés.

Le muon possède un lien ultra précis avec 5 autres particules selon :

Tableau 2

Son nombre neutre (206) n’est divisible que par 2. Il est donc potentiellement ouvert à se configurer en mode « masquage par opposition » où deux pôles opposés, s’annulent.

Les paires électron-positrons créées localement ne peuvent pas masquer leur charge par superposition, car – non causalement séparées – elles s’annihilent aussitôt

C’est sur la foi de cette expérience limitée au local que le modèle standard a naïvement écarté la paire {électron-positron} comme base élémentaire des particules composites.

La déclinaison quantique des Bodys subquantiques

Dans le proton, muon et autres particules massiques, la majorité des couches sont empilées et masquent leur charges. Une unité célibataire (positron dans le proton) assure la charge électrique.

En revanche, la structure des neutrinos (de Majorana) est de type dipolaire (comme le Bodys). Ainsi le masquage concerne également la masse car il existe un pôle négatif, en opposition à un pôle positif (figure 2). Ainsi, chaque pôle possède un nombre impair d’unité (électron-positron) ave une majorité neutre (sauf pour le neutrino électronique) :

Figure 1

Figure 2

La différence avec le photon, vient de sa structure où des fréquences (large spectre) – en opposition de phase – s’annulent. Les erreurs du classement sur le critère de spin, du modèle standard :

a) mélanger l’électron – seule particule élémentaire stable à l’état libre – avec des particules instables.

b) omettre la symétrie fondamentale {électron-positron} à cause du déni de la dualité de localité.

c) mélanger l’état « masquage par opposition » des neutrinos sans masse avec avec l’état « masquage par superposition » avec masse des muons et tauons.

d) éluder le fait que la charge du proton est strictement celle d’un positron.

e) éluder le fait que la charge du muon est soit celle d’un positron soit celle d’un électron.

La relation ci-après, exprimée en unité « électron nu et entier », montre 5 liens inter-particules révélés par la loi KOIDE-DUO5, soit :

neutrino électronique + neutrino muonique + pion + neutron = 2/3 tauon (partie neutre)

νµ πo N τ

Les coefficients de la mitose fractale en 5 phases de Fibonacci

Toutes les particules – nées dans le cadre des 5 phases de la mitose fractale – sont en lien avec ces coefficients. comme par exemple le lien muon – proton :

L’oscillation dit « de saveur » des neutrinos est une énorme énigme pour le modèle standard. Car elle réclame de la masse alors que l’on sait que les neutrinos se déplacent à la vitesse de la lumière,

Explication

L’approche du modèle standard est naïvement en mode absolu. En effet, la masse du neutrino, n’est pas une constante mais est fonction du niveau de perturbation qui altère sa symétrie. Ainsi un neutrino muonique peut s’enrichir en neutrinos électroniques (type Bodys) pour devenir un neutrino tauique. Mais comme tout BEC, il doit respecter un équilibre entre le nombre de couches et le nombre par couches. En effet, le nombre d’unités du neutrino tauique est 14 fois plus important que celui du neutrino muonique. C’est ainsi qu’il a une petite chance d’être détecté dans les atomes H2O d’immenses cuves d’eau construites à cet effet.

Rappel : les paramètres 2, 5, 8, ne sont pas des paramètres libres, car ils découlent directement de la mitose fractale du BEC-fossile, relative aux 5 étapes de la suite de Fibonacci (1, 2, 3, 5, 8). C’est dans ce contexte qu’est né l’aspect informationnel (au sens de SHANNON) des particules de création locale. En revanche, le modèle standard utilise sept paramètres « libres » dans le lagrangien de la QCD. On note au passage l’utilisation du terme « libre » pour désigner des manquements. Cette approche par l’analyse mathématique cherchant plus à décrire plutôt que d’expliquer, a largement été critiquée par WIGNER (la déraisonnable efficacité des mathématiques), par Gödel et son théorème d’incomplétude et même par Feynman au sujet du calcul de l’anomalie du moment magnétique de l’électron pour laquelle il a dit : « il aura fallu cette supercherie pour sauver la QCD« . A cela, on peur rajouter la supercherie de la « renormalisation » pour se débarrasser des valeurs infinies issues de calcules forcément faux. Le zéro absolu et l’infini n’ont rien à voir avec la physique. Ils ne concernent que les nombres.

Ainsi le tableau suivant montre les liens entre le boson de Higgs et les quarks (u, d, s) en utilisant les mêmes paramètres (2, 3, 5) relatifs à la mitose originelle. Il offre une occurrence inédite entre la somme 2u+d+s et le ratio entier entre le neutrino du tauon et celui du muon.

Tableau 3

La somme 2u+d+s, exprimée en équivalent {unité électron} s’avère très proche de 211 indiqué dans le diagramme 2). Il n’y a aucune autre possibilité pour obtenir le nombre entier (14) pour vérifier le ratio entier entre les neutrinos : tauique (2856) et muonique (204) en respectant la fourchette d’incertitude de la mesure de ces 3 quarks.

Conclusion

Malgré les expériences répétées relative à la non localité de l’état de spin, une partie importante des adeptes du modèle standard, continue de nier la dualité de localité, comme le montre clairement l’étude de Jean BRICMONT. Au-delà du spin, la dualité relative à la stabilité (qui découle directement de la localité) est bien plus fondamentale. Ainsi il faut insister sur le fait que le proton est la seule et unique particule composite stable. C’est justement parce qu’il a été formé dans le cadre de la réduction de localité originelle sur le BEC-fossile. L’expérience locale – qui produit une paire {antiproton + proton} instable de son état, est en contradiction totale avec la stabilité du proton qui forme toute les matière à partir de l’hydrogène moléculaire. Sans la prise de conscience de l’importance de la dualité de localité, le modèle standard ne résoudra jamais les dizaines d’énigmes relative à l’explication des phénomènes physiques. Il existe une ambiguïté entre le boson de Higgs et les quarks. L’extraction (d’un Bodys) du boson de Higgs, qui accompagne la désintégration du tauon, transforme l’énergie des intervalles polarisés (les quarks) en masses instables qui apportent l’énergie pour créer aussitôt d’autres particules secondaires. On connait l’impossibilité de l’existence (même furtive) d’un quark seul. On sait également qu’un couple de quarks libres est instables.

Si le boson de Higgs apporte furtivement une masse lors d’une transition, il est faux de dire qu’il explique la masse permanente du proton. La seule et unique explication de la masse stable du proton, vient de son empilage de paires électron-positrons stables, car de création non locale. L’ambiguïté vient encore et encore de la non perception de la dualité de localité. En effet, la source du boson de Higgs est le Bodys tout comme c’est la source des paires électron-positrons originelles. Leur fusion en proton a apporté une stabilité (une permanence) dans le cadre de la séparation causale originelle.

A suivre : Lien direct entre les 6 quarks, et l’extraction « boson de Higgs » du Bodys

Une réponse

  1. […] montre ici, que leur cause est relative à √ξ. Les bosons de jauge se manifestent furtivement par le canal […]

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