La loi DUO5-KOIDE(1)
La cause du large spectre des particules (baryons, mésons, muons) est une énigme pour le modèle standard. Parmi les rares physiciens qui ne se contentent pas d’analyser les EFFETS mais cherchent les CAUSES, Yoshio KOIDE a cherché les liens entre les divers état de la matière. Il a publié en 1981 dans Journal of Physical Mathematics, une relation qui relie les masses de trois particules de type lepton (électron, muon, tauon) .
Cette relation a permis de prédire la masse du muon et du tau. Sa précision est de l’ordre de 10-5. En 2016, j’ai publié dans Journal of Physical Mathematics, un article qui améliore d’un facteur 100, la précision de cette relation. Cet article s’appuie sur l’idée que la masse du muon mesurée à 206.7682 unités « électron », est exprimée en unités « électron habillé ». Si on convertit le muon en unités « nues et entières », soit 206 et de même pour le tauon (3477.10274 → 3480), on améliore la précision d’un facteur 100. Cela tend à considérer que les particules sont composées d’une fusion de paires électron-positrons ayant le statut de boson relatif à la séparation causale non locale. Le tableau 1, montre des indices concordants relatifs aux occurrences entre le nombre de groupes et le nombre d’intervalles polarisés qui matérialisent les quarks. On voit par exemple que le muon (103 paires formant le groupe neutre) qui ne peut contenir qu’un seul groupe (103 n’est pas divisible par 2) et qu’il n’a donc pas de quark. Ce n’est donc pas un « mystérieux gros électron » mais juste un agglomérat de paires électron-positrons comme les autres particules composites.
Tableau 1
Le tableau 1 que les pions ne se divisant que par 3, forment 3 groupes, 2 intervalles polarisés et donc 2 quarks (induits dans le confinement). Les 4 groupes du proton sont cohérents avec 3 quarks. La relation suivante, regroupe 8 particules selon :
Relation 1
Soit, dans l’ordre, les 8 particules suivantes : un électron (ou un positron), un neutrino (oscillateur dipolaire qui annule ses masses opposées), la partie neutre du muon, un pion (zéro), un proton, la partie neutre d’un tauon et celle du pion chargé et dessous, un muon (entier). Ce résultat est largement au-delà de la quête de KOIDE qui a très logiquement cherché des liens logiques entre les particules.
Soit le nombre Φ = 23 qui est la somme des factorielles des 3 premiers nombres entiers, selon :
Le nombre Φ = 23 répond également à la différence entre le pion (276) et le muon (207), selon :
Il produit une relation exacte entre le muon (207) et la partie neutre du proton (1840) selon :
Ou celle-ci :
Il y a cette relation qui utilise la somme des 5+1 premiers nombres de la suite de Fibonacci :
Il y a également ces deux relations entre muon et pion :
Une autre relation se révèle exacte, entre les 5 particules : neutrino (–2) et la partie neutre (masquée) des muon, pion, proton et tauon.
d’où l’on tire :
A l’instar de la non-localité des spins intriqués, la partie neutre du muon (instable car de création locale), est liée à la non-localité, relative au nombre de complexions donné par le logarithme du nombre total de paires séparées sur le BEC-fossile.
L’occurrence de la valeur numérique est proche de sigma 7 et sa relation exacte avec :!
et :
Ici l’occurrence numérique – largement au delà de sigma 7 – est considérée exacte.
Taux d’habillage du proton
La loi DUO5-KOIDE rappelle que le proton (1841 unités « électron nu », et mesuré à 1836,1526 unités « électron habillé »), est la seule particule composite stable. A ce titre il est la référence universelle relative au taux d’habillage issu du couplage avec l’échelle subquantique.
Conclusion
La loi KOIDE élargie DUO5 permet des relations exactes entre particules si elles sont exprimées en unité « électron nu entier ». Il suffit de rendre plus prudentes les concluions hâtives du « principe » cosmologique qui laissent entendre qu’il y aurait égalité entre le comportement local et le comportement non local et la séparation causale généralisée issue du Big Bang. Les paires électron-positrons qui s’annihilent lorsqu’elles sont créées localement, fusionnent à leur origine qui est caractérisée par une séparation causale globale. Le tableau 1 montre la cohérence entre les nombres et le lien « intervalle ↔ quarks ». Le positron (ou électron) confiné – donnant la charge exacte à la particule – cherche à lui échapper car sa longueur de Compton est plus grande que celle de particule plus massive. Dans le proton, la loi M.L = Cte, fait son effet par l’action du positron qui polarise l’intervalle extérieur qui s’oppose ainsi à sa propension à sortir.
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