Le muon
Le modèle standard considère le muon comme « un gros électron » sans apporter de réponse sur l’origine de sa masse, pas plus qu’il n’en apporte sur celle de l’électron et de toutes les autres particules, hormis la spéculation de Higgs portant sur le « freinage par une mystérieuse mélasse ». Ci-après les 5 critères de fécondité du BEC-fossile :
La loi DUO-KOIDE, montre sans ambiguïté le lien entre toutes les particules et notamment avec cette relation où les particules sont exprimées en unités « électron nu & entier ».
Dans laquelle 6 particules – dont le muon sous sa forme neutre (206) et sa forme complète (207) sont liées au proton (1841).
Dans laquelle figure le nombre originel total avant annihilation, de paires électron-positrons soit ξ8. Selon l’entropie de désordre de Boltzmann, son logarithme népérien donne le nombre de complexions. Il apparaît comme une information relative au nombre d’entités du muon :
Le résultat est précisé jusqu’à sigma 5,5. Mais en tenant compte de l’annihilation en 1/α², on obtient cette relation à sigma 6 pour la masse mesurée du muon à : µ = 206,768283 ue ou 105,6583765 MeV :
Le muon n’a pas de quarks car il ne comporte qu’un seul groupe neutre de 206 unités et donc sans intervalle polarisé et donc sans quarks. Le tableau suivant confirme la règle :
Anomalie du moment magnétique du muon
Le modèle standard amène une valeur théorique à 1.00116591810(43) pour la mesure à 1.00116592059(22). Cette simple relation est en parfait accord avec la mesure :
soit 1.001165920617 pour 1.00116592059, avec :
Cette relation implique la valeur entière du muon (207) exprimée en unité électron nu. Avec un 5eme terme qui soustrait en 1/α5 , on obtient exactement la mesure : 1.00116592059.
Le neutrino muonique
L’ambigüité sur la vitesse des neutrinos, persiste. Certaines mesures tendent à la situer au dessus de c et d’autres mesures l’infirment. Par ailleurs sa masse pose problème car elle devrait être nulle alors que les chocs sur des détecteurs appropriés montrent une masse. Ces ambigüités à répétition viennent tout simplement de l’erreur fondamentale consistant à perfuser le zéro absolu des mathématiques à la physique. La loi DUO5 indique clairement que les neutrinos se comportent comme les Bodys. A ce titre ils arborent un parfait zéro symétrique massique et peuvent donc circuler à la vitesse de la lumière. quand ils heurtent une cible, leurs symétrie est perturbée et une partie de la masse apparaît.
Tous les éléments – microscopiques et macroscopiques – de notre Bulle-Univers observable, viennent strictement des Bodys. Le neutrino muonique est le témoin de la dualité de type de masquage. Le muon passe du type masquage concentrique des charges à masquage des masses par opposition de pôles.
Quand le muon se désintègre, les transferts de masquage des charges de sa partie neutre, génère un fort de/dt² qui extrait fugacement un boson W qui n’est autre qu’un Bodys subquantique. Si le muon est positif, il émettra son positron célibataire. La disparition de sa masse est simple : il passe d’un masquage concentrique des charges de chaque couche, à un masquage par opposition de pôles. Ses 206 unités ou 103 paires, masquent leurs charges, en se divisant en 2 pôles opposés de 102 paires.
Les deux pôles du neutrino muonique oscillent en opposition à la manière d’un Bodys, mais entre les deux échelles (quantique ↔ subquantique). C’est comme un univers miroir.
La création locale d’une paire électron-positron est instable et s’annihile puisqu’il n’ y a pas eu de séparation causale. En revanche la création locale d’un muon est tout aussi instable mais plutôt que s’annihiler, il oscille à la manière d’un Bodys avec son demi partenaire subquantique.