Critères de fécondité du BEC-fossile
Ci-dessus un dessin d’artiste montrant le BEC-fossile né de la synchronisation aléatoire de certains Bodys-zéros de l’état Omnivers permanent et stochastique, sans continuum masse-espace-temps.
La référence de fécondité est justement l’univers observable découlant du BEC-fossile relatif à la synchronisation de certains Bodys de l’état omnivers. On a vu que la permanence de l’état Omnivers stochastique – sans continuum masse-espace-temps – existe sans écoulement du temps global. Cet aspect stochastique s’exprime sous la forme d’un énorme brassage statistique. Cela offre un nombre incommensurable d’essais aléatoires pour approcher certaines valeurs critiques qui rendront fécond le BEC en cours de synchronisation, prélude à l’univers observable .
Les 5 critères de fécondité, prélude de l’univers observable
Le premier critère de fécondité est la synchronisation autour de ce ratio :
Le second critère de fécondité nécessite cette cohérence qui implique les paires électron-positrons :
Le troisième critère de fécondité concerne la mitose fractale à venir, de facteur ξ² en 5 phases. L’impossible idéal 25 amène un coefficient d’erreur dont on verra qu’il se révélera salvateur :
Le quatrième critère de fécondité concerne l’émergence du proton à partir de sa partie neutre exprimée en unité électron nu et entier, selon la loi avérée KOIDE-DUO5.
Le cinquième critère de fécondité concerne la variable d’ajustement entre les deux composantes de la mitose :
a) la division des masses en 5 phases après la première, déclenchée par l’annihilation α² soit 5+1 phases en tout.
b) le facteur de mitose ξ² relatif à la division du volume du BEC. Cette division est motivée par l’anisotropie de facteur ξ entre les intervalles élémentaires radiaux et tangentiels (1D) et donc ξ² en 2D.
Cette variable d’ajustement est le proton, exprimé en unité « électron mesuré ou habillé ». Le proton est base de toute la matière.
Les conséquences mesurables
La première concerne le ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle qui découle de la séparation des pôles de Bodys, devenant des paires électron-positrons . En cohérence avec la réduction de l’intervalle tangentiel, la circonférence du BEC-fossile, comporte ξ4 éléments. Ainsi le facteur α = 137,03999, est l’incidence 1D de l’annihilation. Cela implique un nombre originel de ξ8 éléments sur la surface 2D.
La seconde conséquence concerne les masses rescapées suite à l’incidence de annihilation en 2D. Ainsi 1/α² des masses originelles sont sauvées grâce au coefficient d’erreur de synchronisation k5 . En effet, cette erreur implique une « rugosité » de la surface du BEC-fossile. Ainsi certaines 1/α² des masses se trouvant au-delà du rayon moyen, sont épargnées par l’annihilation. Ci-après la masse totale de l’univers observable dont seulement 1/15 est visible. Cela est cohérent avec la mesure (1054 kg).
La troisième conséquence est matérialisée par ces deux relations inédites qui fixent la valeur numérique de c (sigma 7) :
Des dizaines d’autres conséquences mesurables sont cohérentes avec l’observation.
Conclusion
Ces critères et ces preuves incontestables et observables démontrent que seules les paires électron-positrons sont à l’origine de toutes les particules et de toute la matière, via le proton. Elles sont matérialisées par la séparation causale des pôles.