Fluctuations quantiques

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Fluctuations quantiques

Comment le modèle standard qualifie-il ce phénomène de fluctuations quantiques ?

« …. une fluctuation quantique du vide, est le changement temporaire du niveau d’énergie à un certain point de l’espace, expliqué par le principe d’incertitude de Heisenberg qui permet la création spontanée d’une paire virtuelle constituée d’une particule et de son antiparticule.« 

Comment le modèle standard qualifie-t-il le vide ?

 » Le vide est rempli d’ondes électromagnétiques fluctuantes. Il serait comme un océan où les fluctuations seraient représentées par des vaguelettes à sa surface. Les ondes produites ont toutes les longueurs d’onde possibles. Le vide contient donc une certaine quantité d’énergie due à des photons à une échelle atomique appelée « énergie du point zéro ».

Selon la loi DUO5

Ces descriptions ne sont en rien des explications ! Selon la loi DUO5, il ne s’agit pas de la vague notion de « vide » mais de la structure physique de l’espace-temps. Sa structure physique élémentaire est représentée par le maillage d’oscillateurs Bodys-zéros dipolaires, formant BEC. Ces Bodys seraient strictement invisibles de par leur symétrie, s’ils n’étaient pas couplés avec la matière. Ces couplages perturbent la symétrie entre pôles de Bodys, qui révèle une partie de leur impulsion au niveau quantique, selon :

Dans le cadre du paradoxe existentiel, cette loi est le « moteur éternel » des oscillateurs dipolaires Bodys stochastiques 1D, peuplant l’Omnivers. A l’aléa qui « cherche » à chaque cycle, le plus petit Mo au point zéro, correspond un (grand) potentiel d’amplitude spatiale Lo qui répond à cette relation. Comme toute présence M est injustifiable, la Nature cherche en vain, éternellement à la ramener à l’impossible zéro absolu. La constante M.L = Cte, est à l’origine de la constante de Planck. Mais dans le cadre de ce monde déjà constitué, le couplage local d’un pôle avec la matière, altère l’amplitude potentielle L. Ainsi le Bodys extrait une partie de la masse du pôle M, au niveau quantique.

Les spéculations du modèle standard sur « l’origine de l’univers » :

« … Les fluctuations quantiques ont pu être à l’origine de la structure même de l’Univers. En effet, selon le modèle de l’inflation cosmique, les fluctuations qui existaient (?) juste après le Big Bang ont été amplifiées (?) et ont été la source des structures observées actuellement ».

Non ces fluctuations mesurées dans ce monde déjà établi, ne peuvent en aucun cas, être la cause de son établissement. Il y a là encore un amalgame entre cause et effet.

La réalité physique de ces fluctuations quantiques

L’espace-temps n’est pas un « être mathématique », mais un être physique doté de structures élémentaires subquantiques, héritées de l’état permanent d’univers, soit l’omnivers. L’espace-temps est un enchevêtrement de BECs cosmiques, eux-mêmes constitués d’oscillateurs dipolaires Bodys 1D. Ces BECs sont hérités de la mitose du BEC-fossile, lui-même issu de la synchronisation partielle de Bodys stochastiques matérialisant l’omnivers dépourvu de continuum masse-espace-temps. Cet état d’univers permanent – dont l’entropie informationnelle tend vers l’infini – est entièrement justifié par le paradoxe existentiel. L’inévitable synchronisation partielle en BEC-fossile, est entièrement justifiée par le paradoxe de l’entropie informationnelle. En effet plus l’entropie (informationnelle) augmente plus elle génère un brassage statistique ouvrant une probabilité non nulle de synchronisation féconde.

Depuis le point zéro commun du BEC-fossile, les pôles oscillent en couches successives jusqu’au point de rebroussement formant le rayon du BEC-fossile virtuel. Le flux de synchronisation arrive à un stade de saturation, où l’intervalle tangentiel entre pôles voisins, devient critique. Ainsi seule la couche externe de pôles fusionne en brisant le lien causal radial qui annulait les paramètres des pôles visés. Les autres couches conservent leur bodys en état « zéro ». Ainsi la mitose de ces Bodys est concomitante à l’impulsion (conservée) de la matière ainsi révélée. Par définition l’annulation parfaite des pôles de Bodys de l’espace-temps dépend de la bonne symétrie de ceux-ci. Or cette symétrie est mise à mal à cause du couplage matière ↔ Bodys. C’est ainsi qu’apparaît l’habillage virtuel des particules sous la forme d’un large spectre de sous harmoniques extraites du niveau subquantique.

L’espace-temps existant est un enchevêtrement de BEC-fils subquantiques, dont les Bodys constitutifs sont couplés avec la matière. Ainsi les fluctuations quantiques mesurées n’ont rien à voir avec les oscillations stochastiques de l’état omnivers. Elles ne peuvent donc pas être à l’origine de l’état d’univers observable. Il ne faut pas confondre les causes avec les effets !

La cause de l’indétermination de Heisenberg

Le modèle standard indique que les fluctuations quantiques sont « expliquées » par l’indétermination de Heisenberg. Non cette indétermination est juste décrite et non expliquée par le modèle standard. Là encore c’est confondre « cause et effet ».

En revanche cette indétermination est la clé fondamentale de la loi M.L = Cte, déjà présente dans les oscillateurs harmoniques Bodys stochastiques de l’état permanent de l’omnivers. Elle fait partie de la cause du paradoxe existentiel. C’est le « moteur » de la recherche aléatoire de l’impossible zéro absolu de l’inertie M, au point zéro. A chaque cycle aléatoire, le faible Mo (indéterminé) au point zéro ouvre un grand potentiel (indéterminé) d’amplitude spatiale Lo. Puis comme l’expansion du pôle, réduit son potentiel spatiale, alors la masse des deux pôles opposés, augmente. Comme leur existence (même confinée) est injustifiée, les masses de ces deux pôles opposés, comportent un paramètre de type « lien causal mutuel » qui permet en tout point, leur annulation. C’est la condition ultime qui permet de justifier leur existence de nature virtuelle. Ce lien causal mutuel est une composante « charge » Q de M. C’est la charge élémentaire, uniquement propre à la masse de l’électron ou du positron, issue des pôles causalement séparés lors de la mitose-expansion de la Bulle univers observable . En effet, l’extension de la loi KOIDE, montre que la charge du proton (ou de toute particule chargée) est strictement celle de son positron (ou électron) célibataire.

Ne disposant pas d’explication physique de ces comportements bizarres, les afficionados du modèle standard, se contentent d’établir des descriptions. Aux questions des étudiants cherchant à comprendre, il leur est invariablement répondu : « c’est quantique » ! Cela laisse entendre qu’il existerait une magie mystique dotée de « voie impénétrables ». Pourtant de multiples expérimentations récentes indiquent clairement qu’il existe une dualité de localité dont l’origine est la dualité quantique ↔ subquantique, que BOHM avait envisagée à son époque.

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