Photons et voile solaire
Localement, en injectant une énergie de 1,022 MeV, on obtient une paire électron-positron qui s’annihilent rapidement en photon gamma. Le modèle standard se contente d’expliquer l’apparition des masses inertielles par l’équivalence existant entre l’énergie m c² et hν et selon l’équivalence de type impulsion :
Cette équivalence est exacte mais n’explique pas la source de l’inertie m présente dans le second terme. Cette question est donc éludée car le paradoxe relatif au photon sans masse, n’est pas résolu. Cela vient de l’emploi erroné du zéro absolu des mathématiques, en physique fondamentale. Il n’existe que le zéro de type symétrique et donc relatif à une dualité. La masse d’un photon est annulée comme pour les pôles contraires constituant un boson oscillateur Bodys.
La masse nulle du photon ne peut être ramenée au zéro absolu mais au zéro symétrique relatif à la dualité de ses deux composants contraires.
Par ailleurs pour obtenir physiquement une poussée par rebond de photons sur une voile solaire de type « miroir », il faut impérativement l’action d’une inertie m décélérée. Cette inertie m apparaît lors d’une perturbation qui affecte la symétrie des pôles, brisant le zéro relatif. Cette perturbation est totale lors du choc sur la voile solaire de type « miroir ». Ainsi, les masses des pôles apparaissent et agissent sur la voile. Mais le photon non perturbé, conserve sa symétrie de son zéro relatif et circule donc à vitesse c, dans les BECs formant l’espace-temps. La cause et la constance de la vitesse c quantique, est déclinée de la grande vitesse d’oscillation subquantique des pôles de Bodys.
Origine subquantique de l’inertie de la paire électron-positron
Selon DUO5, la fréquence ν ~1020 Hertz de hν , nécessaire à l’extraction d’une paire électron-positron, est strictement celle d’un des Bodys subquantiques qui maillent l’espace-temps. La loi ML = Cte, montre que la masse moyenne mo d’un pôle subquantique – ξ3 fois inférieure – évolue à une longueur de Compton λo qui est ξ3 fois supérieure et ce , à la fréquence de l’électron. Ainsi :
mo λo = m λ
L’apparition d’une paire électron-positron, de masse 2 m, ne relève pas de la « génération spontanée », mais vient de la localisation quantique d’un Bodys subquantique, d’essence non locale. La paire électron-positron, née de la fréquence universelle des oscillateurs Bodys, réémettra l’onde gamma.
On rappelle que la constante de Planck, est dérivée de la loi ML = Cte, multipliée par la constante c.
Le spectre des photons est un ensemble de sous-harmoniques de Bodys
Une simple antenne émettrice pour la radio, fournira des photons de quelques électronvolts, très loin des 1,022 MeV capable d’extraire complétement, des pôles de Bodys, sous la forme d’une paire électron-positron, amenant une émission de photons gamma. Ces fréquences intermédiaires génèrent des sous-harmoniques, sous la forme de pôles de masses intermédiaires. On voit ci-dessous que la fréquence de la lumière visible – de l’ordre de 1014 Hertz – génère des pôles intermédiaires 108 moins massique que l’électron. Leur longueur d’onde, est donc 108 fois plus longue que la longueur de Compton de l’électron.
La masse des pôles extraits du niveau subquantique est fonction de l’intensité de la fréquence émise. Selon ML = Cte, la réduction de la longueur d’onde revient à l’augmentation de la masse des pôles.
La dualité de localité est consubstantielle à la Nature.
Vitesse et vecteur de propagation des photons
On constate que la vitesse c est constante mais on ne l’explique pas. Voici ici l’explication de son origine qui est strictement cohérente avec l’ensemble des éléments de la loi DUO5. Les pôles de Bodys subquantiques, oscillent radialement et alternativement entre le point zéro commun et la périphérie d’un BEC, élément macroscopique de l’espace-temps. La vitesse subquantique moyenne vaut : cs ≡ ξ² c. Ci-dessous l’intervalle tangentiel A-B local, est totalement imperméable entre deux pôles de Bodys voisins. Il en est de même pour l’intervalle radial entre deux couches voisines. La seule façon de passer d’un pôle à l’autre, est le vecteur subquantique via le point commun central. La simple application de Thalès montre le rapport constant entre Δx / Δℓ ≡ ξ² . De ce fait la transition du photon d’un Bodys à l’autre se fait à la vitesse constante strictement égale à : c ≡ cs / ξ² .
La dualité onde-corpuscule, largement décrite n’est pas expliquée par le modèle standard. Selon la loi DUO5, une particule quantique non observée (non perturbée) est potentiellement présente sous forme d’onde dans tout le BEC à l’échelle subquantique. Mais son « centre d’onde local » reste soumis à la vitesse c dès qu’elle est observée. C’est l’expression de la loi générale de la dualité de localité. L’équation de Schrödinger décrit fort bien (mais sans l’expliquer), la réduction du paquet d’ondes lors de l’observation. La loi DUO5 indique clairement qu’un électron est juste un pôle subquantique qui est révélé au niveau quantique car il a été causalement séparé de son alter ego dans leur Bodys respectif. Ce la se traduit par la superposition quantique ↔ subquantique, largement observée.
Contrairement à ce qui le modèle standard (qui décrit sans expliquer) la réduction du paquet d’ondes n’est pas instantanée (ou magique) mais relative à un temps très court porté par la vitesse subquantique : cs ≡ ξ² c. Les valeurs absolues des mathématiques ou des religions, n’existent pas en physique fondamentale.
Quand Schrödinger dit dans « Physique quantique et représentation du monde » :
« Une variable n’a, en général, pas de valeur déterminée avant que je ne la mesure ; la mesurer ne signifie donc pas trouver la valeur qu’elle a…. »
Il a tout simplement tort car il utilise la probabilité statistique comme un échappatoire à l’explication. En effet, avant la mesure, le paquet d’onde de cet électron, occupe tout le BEC dont il est l’hôte. Ainsi la forme onde non locale et subquantique d’un électron, existe précisément à l’intensité de sa mesure quantique et locale. Sa fréquence quantique est la même que celle d’un pôle de Bodys, qui occupe tout le BEC. La forme « onde », selon la loi M.L = Cte, réduit M pour obtenir une amplitude (ou incertitude) L immense. Les pôles de Bodys devenus matière par séparation causale, sont extrêmement minoritaires en regard des pôles de l’espace-temps, restés causalement liés à leur alter ego dans leur Bodys respectif. C’est ce qui explique que l’échelle quantique des mesures locales, est emprunte de dualité onde-corpuscule. Elle montre sans ambiguïté la dualité de localité et donc de la la dualité quantique↔ subquantique.