La source non locale des positrons des rayons cosmiques
La communauté scientifique s’étonne du surnombre de positrons dans les rayons cosmiques, car elle considère à tort, une asymétrie fondamentale entre électron et positron. Bien sûr l’apparence locale est trompeuse car il existe une pseudo symétrie entre le proton et l’électron. Comment peut-on accepter cette symétrie boiteuse, entre deux entités dont l’une est 1836,15 fois plus massique ? Comment peut-on ignorer que la charge du proton est strictement celle du positron ? Alors 80% de la communauté scientifique spécule sur un effet (magique ?) de la matière noire dont elle ignore également sa consistance ! En rejetant la dualité de localité, elle rajoute une spéculation aux spéculations !
Attention un train de spéculations peut en cacher un autre!
Antimatière et autoréférence absolue
L’histoire montre que les pays colonisateurs ont voulu imposer leur religion aux pays conquis, persuadés qu’il détenaient la « vérité » et que celles des autres avaient le statut d’anti-vérité. La religion locale est la bonne et la religion non-locale est fausse ! C’est l’ineptie de l’autoréférence. Mais ces raisonnements ineptes ont-ils encore cours ? Avons nous évolué ? Non car dans la même veine, on a décrété que les positrons n’étaient pas dignes d’appartenir à la matière « telle qu’on la voit localement ». Ainsi, le positron est affublé du statut « anti ». Comme pour la religion, cette propension à l’autoréférence rejette le « non local » au bénéfice de la vision locale, la seule à être « vraie ». En résumé, la cause des dizaines d’énigmes du modèle standard, est cette propension à rejeter la non localité. C’est ce même réflexe, qui a poussé les « maîtres » de l’école de Copenhague à proposer le « principe » cosmologique qui confère naïvement le statut d’absolu au « local », en conformité avec le zéro absolu des mathématiques et de son autoréférence. Tous les modèles mathématiques – basés sur la seule vue étriquée locale – créent des êtres mathématiques qui éludent systématiquement les causes physiques, et ne peuvent ainsi qu’engendrer des énigmes insolubles.
La dualité de localité
L’expérience locale dit clairement qu’un atome d’hydrogène est constitué d’un proton de charge positive et d’un électron orbital, de charge négative. D’entrée de jeu, on a voulu « croire » (la croyance n’est jamais bien loin) qu’il existerait une symétrie parfaite entre un proton et un électron alors que le proton est 1836,15 fois plus massique que l’électron (mesuré) ! De plus l’un est composite alors que l’autre est élémentaire. Par ailleurs on élude le fait que la charge du proton est strictement celle du positron. On vérifie également que les particules composites, recèlent un taux d’habillage, dit « virtuel » qui augmente légèrement la masse apparente des composants élémentaires . La loi DUO5 montre clairement qu’il s’agit de l’effet retour des Bodys de l’espace-temps, dont la symétrie est perturbée par le couplage avec la matière. Ainsi un proton de masse égale à 1836,15 unités électrons habillés (ou mesurés), a une masse plus grande s’il est mesuré en unité « électron nu ». Pour couronner le tout, on vérifie localement qu’une paire électron-positron ne peut fusionner sans s’annihiler. On ne veut pas voir – selon les maîtres de Copenhague – que des paires électron-positrons causalement séparées, deviennent aptes à fusionner sans s’annihiler. Ainsi les protons sont formés de 1840 unités électron-positrons neutres, auxquels s’ajoute un positron célibataire qui lui confère sa charge.
L’expérimentation locale doit être décodée à l’aune de la dualité de localité
La non localité brise la dichotomie boson fermion
La paire électron-positron présente une parfaite symétrie relativement à la charge et la masse. Il n’y a pas d’anti électron mais bien l’existence pleine et paritaire des électrons et des positrons. La création non locale, issue d’une séparation causale, permet à ces paires de fusionner pour former par exemple un proton avec 1840 unités nues et neutres, auxquelles s’ajoute un positron (soit 1841 unités nues et entières). Voir les extraordinaires occurrences, de la loi KOIDE améliorée DUO5. Les quarks ne sont que des effets relatifs aux polarisations internes des paires disposées en couches sphériques.
Cette déviance sectaire poussant à idolâtrer les « anciens maîtres », amène 80% des physiciens à minimiser les expériences d’ASPECT, alors qu’elles prouvent clairement la non-localité et donc la dualité de localité qui dément le simplisme du « principe cosmologique ». La démarche logico-déductive relative à la dualité de localité, résout près d’une centaine d’énigmes sans utiliser de principes, hypothèses et autres spéculations. La cause des rayons cosmiques est largement expliquée par la loi DUO5.
L’espérance de la notion d’absolu
Les humains, comme toutes choses, sont les héritiers de la Bulle-Univers en expansion mais également de l’état d’univers permanent (Omnivers). Il y a cette profonde dualité entre le rêve et la réalité. Le « rêve » permanent de l’Omnivers consiste à ramener la notion d’inertie au zéro absolu. On démontre qu’il s’agit d’une impossible espérance. Mais le paradoxe est que l’existence même d’une inertie M aussi petite que l’on veut, est injustifiable. Alors la Nature – consubstantielle à la Dualité – n’a d’autre solution que la symétrie pour obtenir une quasi infinité de « zéro inertie parfait ». Cela se traduit par une quasi infinité d’oscillateurs stochastiques dipolaires (Bodys-zéros) où chaque pôle possède un moment d’inertie (non scalaire) de type M.L = Cte, qui s’annule parfaitement avec son alter ego. Cette réalité symétrique ne satisfait pas complétement la Nature qui continue éternellement la recherche (via les oscillations stochastiques) d’un zéro absolu au point zéro de chaque Bodys. C’est la clé du paradoxe existentiel qui justifie l’existence permanente de l’Omnivers. Ce « rêve » de la physique fondamentale, fixe le comportement des êtres vivants qui cherchent en permanence l’idéal absolu à travers la religion, par exemple.
L’entropie informationnelle de l’Omnivers tend vers l’infini
Si cette entropie tend vers l’infini sans jamais l’atteindre, c’est quelle porte en elle le paradoxe de la dualité. En effet un grand désordre stochastique, se traduit forcément par un immense brassage. Cela favorise statistiquement l’émergence d’une synchronisation partielle et donc d’un ordre. Dans le cadre d’un non écoulement du temps, la probabilité de former un BEC par synchronisation est unitaire. Ainsi la haute entropie de désordre global, génère forcément un ordre partiel. Après la phase de croissance entropique (au sens de Boltzmann) de la Bulle Univers en expansion, elle se dissous dans l’Omnivers dans lequel l’entropie devient de type informationnelle, au sens de Shannon.
Ci-dessus le cycle entropique entre les deux états d’univers relatifs à la dualité « Shannon ↔ Boltzmann ». La notion de temps est ambigüe car il ne s’écoule pas dans l’état Omnivers. En revanche, on peut estimer le pseudo temps de la phase de synchronisation qui est très largement plus grand que le temps de l’expansion. Le flux de synchronisation augmente d’une manière exponentielle car la densité du BEC influence de plus en plus, les Bodys alentours. Le seul temps mesurable est celui de la phase expansion, actuellement estimé à 13,8 Gy. La durée de vie de la Bulle-Univers (chapitre 7-18), est calculable avec 5 relations différentes, présentant entre elles, une occurrence numérique à sigma >7 . La croissance de l’entropie de la phase expansion, concerne d’abord, les deux types d’entropie. Puis l’entropie informationnelle prend le pas sur l’entropie de Boltzmann, pour disparaître graduellement dans le chaos de l’état Omnivers. Le ratio entre le pseudo temps de synchronisation et le temps de l’expansion de la Bulle-Univers est plus grand que 101000 ! Ainsi la probabilité d’avoir des multivers, est quasiment nulle. En revanche, si le pur hasard a peu de chance de reproduire les caractéristiques de notre bulle-Univers en expansion, il est possible qu’il existe potentiellement d’autres formes non stériles, avec des ratios différents. On rappelle que c’est le taux d’erreur k5 qui épargne de l’annihilation, une partie des masses fusionnées sur l’aire du BEC-fossile. En effet ce taux génère des imperfections de rotondité de la « peau » du BEC-fossile, qui sauve les masses situées au-delà de la couche moyenne de la peau. Ces masses se trouvent hors du lien causal, vecteur de l’annihilation générale. Par définition, le hasard peut donner d’autres taux qui sauveront plus ou moins de masses élémentaires de la Bulle-Univers naissante. Ces variantes sont relatives à la valeur numérique du ratio ξ qui fixe entre autres, la masse du proton.
Exemples connus de la dualité entropique
Durant l’activité volcanique, l’émergence des montagnes, représente une croissance de l’entropie informationnelle et dynamique. Puis, les montagnes tendent à disparaître par l’action de l’érosion et de la gravitation. A terme, une croute terrestre lisse et uniforme (le 3D devient 2D), témoignera d’une baisse de l’entropie informationnelle relative à la géographie.
Les cellules vivantes, également héritières du BEC fossile en construction, se nourrissent du désordre externe pour croître et entretenir leur ordre interne. Quand leur croissance arrive à saturation, elles se divisent par mitose (en 5 phases) pour se multiplier. L’opération de mitose n’est pas magique, car elle est héritée, comme toute chose, de celle du BEC-fossile.
L’héritage sociétal de la dualité entropique, est direct : la multiplication des vecteurs d’information, diffusent la complexité géopolitique du monde. Pour beaucoup, ce flux d’informations est tellement perturbant qu’ils ont tendance à opter pour le raisonnement simpliste des populistes et autres complotistes. C’est juste ce besoin impérieux de voir baisser l’entropie informationnelle. Ainsi, les humains, se conforment à l’héritage de l’Omnivers dont ils sont issus.