La vie déclinée du BEC-fossile
Il faut bien prendre conscience que toutes choses (hard et soft) ont pour origine la synchronisation, saturation, et mitose du BEC-fossile. La première loi canonique de la Nature relève de l’incontournable Dualité. Il y a d’abord la dualité des zéros (absolu ↔ symétrique) qui génère l’état stochastique instable et éternel, seule solution au paradoxe existentiel. Cet état forme une dualité avec l’état synchronisé à durée limitée. Le brassage intense de l’état stochastique – bien que créateur de combinaisons complexes – ne sait pas les figer ou les fixer à lui seul. On a vu que les conditions statistiques de cet état stochastique éternel, débouchent forcément sur un processus aléatoire d’en-cours chaotique de synchronisation.
Fonction « peau » et dualité d’influence
Cette dualité d’influence commence par des soubresauts de synchronisations instables qui offrent une très faible probabilité – mais non nulle – de passer un cap où le flux de Bodys synchronisés commence à influencer les Bodys stochastiques « alentour ». La surface sphérique de rebroussement des couches oscillantes du BEC-fossile, forme une « peau ». Le BEC devient un corps qui se « nourrit » de l’agitation extérieure tout en s’en protégeant. Le BEC-fossile apparaît comme un corps pseudo-statique, comparé à l’agitation stochastique. Il existe un seuil d’influence, à partir duquel le flux de synchronisation s’accélère d’une manière exponentielle. Ce seuil est atteint quand la densité interne dépasse la densité stochastique (fluctuante) externe. Il arrive à saturation quand la réduction de l’intervalle élémentaire entre Bodys, provoque la superposition des charges des pôles de Bodys.
Écume des océans et microfissures des roches des côtes
On retrouve ici une déclinaison de la dualité originelle : {stochastique → synchronisé}. Le brassage intense de océans formant l’écume sur les rochers, est riche en combinaisons moléculaires qui statistiquement se brisent aussitôt.
Il reste cependant une très faible probabilité pour une occurrence fertile entre une combinaison moléculaire « propre à la vie » et son image géométrique (statique) offerte par certaines microfissures adéquates parmi un très grand nombre de configurations aléatoires.
On sait que les éléments indispensables à la vie sont les acides aminés. La base de ces acides aminés sont les CHONs. En rajoutant l’eau, on trouve les 5 éléments de base. Les deux premières conditions à la vie la plus simple possible, sont : a) la fonction « peau »
b) la fonction « mitose ».
Or ces deux fonctions sont déjà présentes dans le BEC-fossile.
La « peau » minérale des toutes premières cellules vivantes archaïques, formait la géométrie adéquate pour figer une combinaison « gagnante ». Elle devait laisser passer des éléments nutritifs tout en se préservant des perturbations dynamiques. Ce premier type de filtre devait permettre à nourrir jusqu’à « saturation », la cellule, afin qu’elle puisse se scinder par mitose. Au cours des différentes évolutions cruciales, la peau (toujours minérale) a acquis le statut de mobilité.
Face à l’aspect chaotique et nourricier de l’écume, les premières cellules vivantes avaient une sorte d’organisation interne dérivée de la fonction « synchronisation ». C’est la séparation cruciale entre la forte entropie de désordre externe et la faible entropie interne. Les 5 clés principales sont strictement les mêmes que celles qui ont régit la formation du BEC-fossile : 1) la dualité d’influence (externe↔interne) relative à la fonction « peau » ; 2) la synchronisation ; 3) la saturation ; 4) la mitose ; 5) l’empreinte de la suite de Fibonacci.
Dualité, Fibonacci, mitose et nombre d’OR
Dans le chapitre relatif aux bosons de jauge, on a vu que l’empreinte de la mitose en 5 étapes (1,2,3,5,8) est présente sous forme de ratios de type 2/5 ou 8/5. Le nombre d’OR de la Bulle-Univers est limité à 1,6 = 8/5. On a vu également la cause de l’expansion parce que les pôles ont conservé l’impulsion m.c, une fois séparés. A chacune des 5 étapes de mitose, la vitesse c a été cumulée jusqu’à un maximum de 5 c. Ainsi l’expansion de la bulle-univers possède un gradient de couches de vitesses. Cela explique directement pourquoi les couches en retard sont en cours d’accélération sans évoquer une mystérieuse énergie noire…. Ignorant la dualité de localité on confond allègrement l’accélération locale (des couches en retard) avec l’accélération globale ! Les 5 étapes et ces ratios, sont également présents dans le développement de la vie végétale et animale.
Ce-après, le facteur ξ donne des valeurs approchées pour une bulle-univers caractérisée par une mitose en 5 étapes. Il vient que les nombres 2 et 5 sont canoniques puisque issus du nombre d’Or φ et de π, eux mêmes canoniques.
C’est le résultat de la suite de Fibonacci amenée à l’infini :
Cela laisse entendre que d’autres facteurs ξ’ proches de ξ ont une probabilité extrêmement faible mais non nulle, de générer les conditions pour la Bulle-Univers équilibrée que nous observons.
Cette molécule dendrimère imite la mitose du BEC-fossile, car elle se multiplie par 2, 5 fois de suite. Dans chacune des 2 branches, la mitose arrive au nombre 25 = 32.
Le logarithme de ξ5 en base 5, donne directement le proton (en unité électron nu) selon :
avec le salutaire facteur d’erreur de mitose :
et
le facteur 23 relevant des 5 premiers nombres de la suite de Fibonacci de la mitose en 5 phases et de la masse nue et entière du muon intiment lié à la masse neutre du proton (1840) :
La mitose des trous noirs du BEC-fossile
La mitose des trous noirs galactiques est générée par la réaction des BEC-halos qui entourent les galaxies.
Une réponse
[…] les humains sont fascinés par le nombre 5, c’est qu’il existe réellement des indices qui révèlent la Nature profonde de l’Univers. On a vu que la mitose en 5 phases – base de […]