Origine de la masse
La Nature ne correspond pas à l’alternative des absolus : « quelque chose » OU « rien ». Elle est consubstantielle à la dualité : « quelque chose ET « rien ». C’est le paradoxe du chat de Schrödinger où son état superposé « mort ET vivant » se traduit par « rien ET quelque chose » et non par « rien OU quelque chose ».
Le modèle standard s’appuyant sur les expérimentations locales, a découvert les quarks au sein des baryons parmi lesquels figure le proton, seul élément stable et composite, formant toute la matière. Les estimations relatives à la masse des quarks, s’est révélée décevante car ils ne représentent qu’environ 1% de la masse d’un proton. Alors Higgs a pensé que les quarks pourraient interagir avec un boson de jauge (le boson de Higgs) pour « expliquer » la masse. Ce boson est bien réel et une (petite) partie de la masse est extirpée de l’échelle subquantique sous forme d’habillage. Higgs ne fait que reporter la question de l’origine de la masse. Il pense « expliquer » l’inertie comme un rapport entre la viscosité dynamique et la viscosité cinématique dont le « vide » serait doté comme les fluides en mouvement décrits par les équations de Navier-Stokes. Outre le fait qu’il tente d’expliquer l’inertie par l’inertie, la notion même d’inertie n’a rien à voir avec un quelconque « frottement ». Cette approche naïve ressemble à l’amalgame que l’on peut faire entre la notion de « résistance » et la notion d' »impédance ». Fondamentalement, la notion d’inertie [M] ne s’oppose pas au déplacement mais à l’accélération [L T-2]. Elle est indissociable du continuum masse-espace-temps. L’origine de cette indissociabilité permanente [M L T-2] est dans son expression oscillatoire où l’accélération est permanente. Mais cette explication ne se suffit pas à elle-même, car elle découle d’une origine encore plus fondamentale, le paradoxe existentiel. Pour comprendre le « paradoxe existentiel » il faut abandonner les « vieilles lunes » de l’absolu mathématique et religieux. Les mathématiciens n’ont pas compris que si leur talent est avéré pour décrire et appliquer la physique, il sont incapables de l’expliquer.
Le zéro absolu et l’infini sont applicables à des êtres soit mathématiques, soit physiques, si et seulement si, les êtres physiques présentent un zéro de nature symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.
La dualité des états d’univers
La physique de l’univers observable nous indique clairement que l’entropie de désordre est en croissance. Cette croissance a une origine caractérisée par une entropie de désordre quasi nulle. Comme cette croissance ne peut atteindre l’infini, elle s’inscrit forcément dans un cycle entropique. Ce cycle entropique indique que l’univers observable en expansion et en croissance et en entropie de désordre, est un état d’univers provisoire. Cela implique un état d’univers permanent, soit l’Omnivers. Encore faut-il justifier physiquement son existence éternelle. C’est un truisme de dire que la probabilité de déboucher sur l’univers observable est unitaire.
Inertie et dualité des zéros dans l’Omnivers
Une démarche physique sérieuse doit chercher à justifier l’existence même de la notion d’inertie et par là même du continuum [M L T-2]. L’inertie M n’a aucune raison d’exister magiquement et par ailleurs elle ne peut être ramenée au zéro absolu.
Ainsi la Nature – consubstantielle à la dualité symétrique – devant l’impossible zéro absolu, incline naturellement vers le parfait zéro symétrique. Ce zéro symétrique est exprimé dans un mode d’oscillation dipolaire. L’Omnivers possède une infinité d’oscillateurs Bodys-zéro à paramètres confinés totalement aléatoires et changeants. L’entropie informationnelle est à son paroxysme. Il n’y a pas de continuum masse-espace-temps.
Fonctionnement d’un Bodys stochastique
La clé en Or du fonctionnement est largement observable notamment avec la constante de Planck :
Cela veut dire que la petite masse Mo d’un pôle au point zéro du Bodys, possède un grand potentiel d’amplitude Lo. Mais lors de sa progression, son potentiel L se réduit et donc, la masse augmente. Cette augmentation se traduit par un ralentissement et un arrêt au point de rebroussement. Bien que chaque Bodys présente un parfait zéro symétrique, la Nature conserve l’espérance du zéro absolu. Donc les 2 pôles opposés sont contraints de retourner au point zéro pour aléatoirement s’approcher au mieux du zéro absolu. Il est bien entendu impossible car il se traduirait par un amplitude infinie qui ruinerait la notion d’évolution et donc la probabilité unitaire d’aboutir à notre univers observable. Cette « attirance » des ML opposés se vérifie parfaitement :
La charge élémentaire de l’électron – porteuse du lien coulombien – est bien fonction du produit M×L de sa masse et de sa longueur de Compton. L’origine de la force coulombienne est l’obligation du lien causal entre les pôles opposés ML et ML’ du Bodys. Ainsi chaque Bodys-zéro 1D, oscille en permanence sans « frottement » ni « mélasse ». Il vient naturellement :
Les deux pôles à masse proche du zéro absolu, se croisent à grande vitesse au point zéro. Il vient donc cette relation qui montre que le temps se dilate avec la masse.
Synchronisation partielle en BEC-fossile
Statistiquement un tel brassage stochastique – dans le cadre d’un temps global qui ne s’écoule pas – ne peut que synchroniser une partie des Bodys stochastiques. Après un nombre incommensurable d’échecs le flux de synchronisation forme le BEC-fossile qui est à l’origine de de l’état d’univers observable. L’augmentation de la densité synchronisée dans le BEC, augmente leur influence sur les Bodys stochastiques alentour, ce qui accélère la saturation du BEC-fossile. Cette saturation réduit l’intervalle élémentaire sur la circonférence du BEC-fossile. Il se produit une anisotropie entre l’intervalle radial et l’intervalle tangentiel.
Fonctionnement d’un Bodys seul et synchronisé
Saturation → fusion → masquage → séparation → expansion
La réduction de l’intervalle tangentielle en pôles de Bodys voisins, provoque leur fusion et masque donc les charges. Cela provoque la séparation radiale des pôles situées sur l’aire du BEC-fossile. La séparation causale révèle leur continuum MLT sous la forme de paires électron-positrons. Cette opération se produit alors que la vitesse minimale des pôles subquantiques est ralentie à la vitesse c. C’est donc la mitose expansion en 5 phases.
Le temps lui-même est un cercle, un éternel retour
Friedrich NIETZSCHE
Conclusion
L’origine de la masse inertielle est ainsi totalement dévoilée. La fusion généralisée sur l’aire du BEC-fossile s’opère autant à l’échelle quantique que cosmologique. La mitose présente une dualité entre :
1) la matière qui fusionnent en 5 phases suite au taux d’annihilation α² ;
2) et le volume du BEC-fossile qui entre en mitose de facteur ξ² à cause de son anisotropie de surface ξ².
Pour que ces deux composantes de la mitose puisse converger, il faut impérativement une variable d’ajustement. Elle est la cause du proton qui est à la base de toute la matière.
4 réponses
[…] réponse à la seconde question fait appel à la dualité des zéros {absolu ↔ relatif}. C’est le paradoxe entre l’impossible attracteur du zéro inertie […]
[…] consiste à résoudre ce paradoxe posé par ces deux impossibles issues : ℳ ≡ 0 ; ℳ > 0. La seule et unique solution est la dualité. Elle consiste en des oscillateurs dipolaires (Bodys) dont les deux pôles […]
[…] nature qui tend vers un « zéro parfait symétrique« , réalisable dans la dualité du Bodys. Ce zéro apparent de l’inertie n’est possible qui si les deux pôles contraires sont causalement reliés par la force […]
[…] ↔ symétrique) qui génère l’état stochastique instable et éternel, seule solution au paradoxe existentiel. Cet état forme une dualité avec l’état d’univers synchronisé à durée limitée. […]