Mitose fractale & première galaxie visible

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Mitose fractale & première galaxie visible

Le télescope spatial James-Webb découvre la galaxie la plus lointaine jamais observée dans l’Univers. Cette galaxie – JADES-GS-z13-0 – a été observée à 320 millions d’années après le Big Bang. Cette précocité dément le processus standard, basé sur une lente accrétion d’hydrogène sensée former les galaxies. Cet article Galaxie noire indique clairement que les galaxies n’ont pas besoin de processus d’accrétion car elles sont naturellement hyper denses sur l’aire du BEC-fossile.

Naissance des étoiles dans les galaxies

L’aire du BEC-fossile avant annihilation, est tapissée de ξ8 paires électron-positrons séparées par l’intervalle réduit ƛo . Le nombre des masses rescapées après annihilation est réduit à : ξ8 / α². Le ratio des trous-annihilation / matière est de α². Comme il y a ξ galaxies, la masse de chacune vaut : MG = me ξ7 / α² = 1.02×1044 kg. Le rayon de chacune les classe largement comme des trous noirs primordiaux :

Mais la somme de ces rayons de galaxie, équivaut au rayon moyen du BEC-fossile où tout à été annihilé. Grâce l’ l’erreur de synchronisation, la sphère du BEC-fossile n’est pas lisse. Ainsi 1/α² des galaxies – situées au-delà du rayon moyen – sont épargnées :

Par définition, leur rayon est légèrement plus grand que celui des galaxies . Les galaxies rescapées correspondent à un rayon légèrement supérieur au rayon moyen du BEC-fossile. Leur vitesse d’expansion est de 2,5 c, soit 5 fois plus grand que celui de nôtre couche dont la vitesse à 0,5 c, la situe à 7 G.y.l du BEC-fossile. Avec le ralentissement relatif à la gravitation, le rayon d’expansion de la couche moyenne n’est pas à 7 × 5 = 35 G.y.l mais plutôt à 34 G.y.l.

Âge des premières galaxies

La mesure estimée à 33 Gyl de la galaxie JADES-GS-z13-0. est proche de ce calcul. Le ralentissement de la couche moyenne se mesure également selon : 33 G.y.l / 13.8 G.y = 2.4 c. Ainsi si le temps passé après le BEC-fossile est bien de 320 M.y, et la distance est 2.4 fois plus grande. Le volume d’Univers à cette période est de :

Ce volume d’univers de rayon R320 contient ξ galaxies en tenant compte de l’intervalle α (annihilation 1D), le rayon de chaque galaxie est plus grand que le rayon de Schwarzschild et elles peuvent peut donc effectivement briller :

et :

Le rayon RG2 est environ 45 fois plus petit que le rayon RG de la Galaxie. En négligeant l’épaisseur du Bulbe (1/15 rayon) on considère un profil plat en 2D, pour ξ étoiles uniformément réparties, ce qui permet d’estimer l’intervalle moyen iE2 entre les étoiles :

L’intervalle moyen est alors de plus de 25 milliards de km soit ~10 000 fois leur rayon moyen (109 m). Ainsi la mitose du trou noir central permet aux étoiles libérées, d’entamer leur fusion nucléaire et deviennent ainsi visibles. Le chapitre ci-après indique comment le halo empêche l’effondrement gravitationnel.

Mitose de l’échelle cosmique

La mitose s’opère aux deux échelles {cosmique ↔ quantique} en même temps :

Mitose de l’échelle quantique

Résolution de l’énigme de la rotation d’une galaxie typique

En première analyse, il n’y a pas de réduction du rayon qui provoquerait la rotation d’une galaxie typique. Mais la partie visible d’une galaxie n’est qu’un composant faible d’un ensemble qui comprend le halo (4 fois plus étendu). Ce halo contient une grande quantité de matière noire. Il est constitué d’un enchevêtrement élastique de BEC-étoiles.

Il y a un équilibre entre la force centripète relative à la gravitation qui tend à resserrer l’enchevêtrement et donc ramener la matière noire vers le centre et la force centrifuge de la rotation qui tend à écarter le halo en desserrant le taux d’enchevêtrement .

C’est cet équilibre qui est la cause de la rotation de la galaxies.

Au-delà de la mitose fractale de l’expansion cosmique

Le tableau suivant montre les 5 premières phases de mitose-expansion cosmique. A chaque étape, les galaxie-noires se divisent jusqu’à développer les ξ étoiles qui les composent. Cela coïncide avec la constitution des protons et donc des noyaux d’hydrogène. Ce scénario est le contraire d’une accrétion, car les masses sont naturellement condensées sur l’aire du BEC-fossile. Cela est cohérent avec la précocité des galaxies.

Mais la mitose fractale continue ensuite vers la complexité.

Le 8eme rang correspond à 34 de la suite de Fibonacci. Au 17eme rang, apparait une relation entre 1840 (le proton) (270 (un pion) et le neutrino muonique (204). Le nombre 23 du 23eme rang est central dans la loi KOIDE-Duo5. Enfin au 34eme rang de la complexité, correspond le nombre de molécules recensées sur terre. Le cerveau humain comporte environ 1011 neurones proche de ξ = 1.54×1011 qui correspond au 54eme rang de la suite de Fibonacci. Le potentiel de composés chimiques se situe également autour du 54eme rang de la site de Fibonacci. A ce stade le nombre d’Or est atteint avec une précision de sigma > 7.

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