Les galaxies naissent trous noirs

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Les galaxies naissent trous noirs

Les astronomes du modèle standard, considèrent la naissance des trous noirs supermassifs comme une énigme. Ils se posent avec raison la question de savoir qui du trou noir où de la galaxie arrive le premier dans l’histoire. En effet, on détecte déjà des trous noirs alors que l’âge de l’univers était seulement d’environ 200 millions d’années. Cela remet en question la théorie selon laquelle les trous noirs se formeraient graduellement par accrétion. Par ailleurs, le modèle standard s’appuie sur une « miraculeuse » inflation pour résoudre le problème de l’horizon et le problème de la platitude. Considérant qu’à l’origine toutes les régions devaient être causalement reliées, le problème se pose pour des régions actuelles très éloignées, qui apparaissent comme étant « déconnectées ». Enfin, il y a ce scénario de la réionisation qui aurait rendu l’univers opaques durant 380 000 ans. Selon ce scénario les photons auraient empêché les électrons de se lier aux protons. Ci-après, les contraintes de la loi DUO5 mènent inexorablement à une fusion des galaxies en mode trou-noir, bien plus concentré que le trou noir de Schwarzschild !

Les ξ8 paires électrons sur l’aire du BEC-fossile

Contrairement aux spéculations du modèle standard, la loi DUO5 explique pourquoi – par le paradoxe existentiel – il existe en permanence une matrice d’Univers appelée Omnivers. Cette matrice est matérialisée par une infinité d’oscillateurs dipolaires, stochastiques et non connexes, soit les Bodys-zéros. Il n’y a pas de continuum masse-espace-temps et donc pas d’écoulement du temps. L’entropie de désordre est quasi infinie. Le brassage est tel que la probabilité est unitaire de synchroniser une partie des oscillateurs Bodys en un Condensat de Bose Einstein (BEC). Ainsi la loi DUO5 démontre sans ambiguïté qu’au bout du flux de synchronisation (aléatoire), ξ11 Bodys arrivent à saturer le BEC-fossile.

La figure 1, montre une vue partielle et simplifiée des ξ3 couches de pôles de Bodys formant le BEC-fossile. Chaque couche contient ξ8 pôles soit ξ11 en tout ! Le ratio entre l’aire de rebroussement et le point zéro commun (PZC), est de ξ. L’aire du PZC admet ξ8 pôles dont l’intervalle élémentaire est la longueur de Planck (10–35 m); soit en 1D, ξ4 pôles pour un rayon (~ 109 m) égal à ξ2 fois la longueur de Compton de l’électron. Le transfert des couches à haute vitesse, favorise la force de Lorentz qui écarte les charges contraires voisines. Quand le BEC est saturé, l’intervalle à l’aire de rebroussement est ξ fois celui de Planck et donc la longueur de Compton / ξ . Cet intervalle – critique à vitesse réduite c – favorise la force de Coulomb qui tend à fusionner les pôles contraires. L’intervalle final radial est celui de la longueur de Compton de l’électron, alors que l’intervalle tangentiel est ξ fois plus petit.

L’équilibre interne du BEC est instable au cause de l’anisotropie des surfaces élémentaires de ratio ξ2. Il suffira d’un déclencheur pour provoquer la mitose de facteur ξ2.

Selon la règle ML = Cte, la masse d’un pôle atteint celle de l’électron arrivée à l’aire de rebroussement.

Figure 1

La figure 1 montre que la synchronisation n’est pas parfaite. En effet, il existe des éléments qui ont une amplitude qui va au-delà de l’amplitude moyenne. Cette « erreur » va s’avérer cruciale pour sauver la Bulle-Univers en devenir.

La fusion des ξ8 paires électrons sur l’aire du BEC-fossile

La fusion masque les charges ce qui provoque la rupture du lien causal radial subquantique. Par ailleurs ce masquage – qui revient à une forte variation de type de/dt² – provoque un court-circuit radial qui annihile une majorité des paires électron-positrons à peine séparée de leur alter ego radial. Seuls les éléments situés au-delà de la couche moyenne, sont épargnés.

Figure 2

La matière rescapée : ξ8/α²

La figure 3 montre le court-circuit radial qui relocalise un court instant les pôles situés aux antipodes du BEC. Cela annihile tous les éléments de la couche moyenne en provoquant une énorme émission de photons dont la température est celle de l’électron. Les éléments rescapée ont conservé la vitesse subquantique c mais ne sont pas rattrapés par l’onde de l’annihilation qui progresse à la même vitesse d’expansion.

Figure 3

La rusticité de la figure ne rend pas compte de l’hyperdensité de la matière relative à la réduction d’intervalle à ƛo = ƛe / ξ . Chacune des ξ/ α² galaxies comporte donc ξ7/ α² paires électron-positrons. Ainsi le rayon d’une galaxie primordiale est donné par :

Cependant cette autre relation est plus grande du facteur : k= 1,0026513098524.

Cela vient confirmer que les tous noirs ont bien été disposés sur un rayon du BEC légèrement plus grand pour être épargné de l’annihilation. Ce facteur k – très proche du facteur d’habillage du proton (1,0026399380) – est une conséquence de l’erreur de synchronisation avec son effet sur l’amplitude des Bodys (rayon du BEC-fossile).

Rayon de Schwarzschild

Le rayon (RG1 ou RG2) est largement inférieur au rayon de Schwarzschild pour une masse calibrée de galaxie primordiale ! Sans conteste, les galaxies primordiales sont des trous noirs !

L’annihilation déclenche la mitose du BEC

Les surfaces élémentaires de matière sont séparées par le taux d’annihilation α². C’est la première étape d’agrandissement d’intervalle. Or la raison de la mitose est justement l’élargissement de l’intervalle tangentiel élémentaire pour recouvrer son isotropie garante de son équilibre. La figure 4 montre que la matière (trous noirs) entraine les BEC-fils à la même vitesse. L’onde de l’annihilation se disperse également à vitesse c, mais avec son retard.

Figure 4

La figure 4 montre la suite de la progression de l’expansion, y compris celle du « trou » laissé par le BEC-fossile.

Figure 4

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La figure 5 montre le début de mitose des galaxies-trous-noirs (GTN).

Figure 5

Ainsi se poursuit la mitose qui réduit à la fois la densité des BEC-fils et celle des la matière. Graduellement la baisse de densité permet l’émission du rayonnement des galaxies, comme le montre cette diapo :

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