La dualité de l’Univers
Les cosmologistes du modèle standard ont l’habitue de parler de l’Univers comme d’une entité absolue et unique et sans en justifier l’existence. Là encore on fait un amalgame entre cause et effet. L’univers observable n’est pas né « magiquement » mais d’une cause qui relève des fondements de la physique. Ces fondements physiques, sont totalement étrangers aux valeurs absolues admises en mathématique. La loi DUO5 à largement démontré que le zéro inertie absolue parfait, est interdit en physique. La Nature peut espérer le zéro inertie absolue, alors qu’il est aisé de démontrer qu’il est impossible à atteindre dans une fonction aléatoire continue, sauf à conjecturer une fonction discrétisée (par qui ?).
La notion d’inertie
Depuis Newton cette notion d’inertie a été rattachée aux comportements classiques de l’échelle macroscopique. La masse M est considérée comme un des éléments de l’écriture dimensionnelle. Pourtant, le paradoxe existentiel démontre sans ambiguïté qu’à l’échelle quantique et subquantique, l’inertie M est couplée avec L, son amplitude d’incertitude.
Par exemple c’est l’amplitude de la masse de l’électron qui fixe son rayon de Compton. Comme le proton est divisé en 4 groupes de couches neutres de 460 unités électrons nus et entiers, son rayon de Compton est 460 fois plus petit que celui de l’électron. Planck et Compton ont utilisé ML = Cte, sans s’en rendre compte. Par exemple Planck pose sa constante en lui rajoutant le produit c dont on sait qu’il est constant.
Ainsi les pôles de Bodys causalement séparés sur le BEC-fossile deviennent des paires électron-positrons desquels des paramètres me ƛe sont déclinées la charge élémentaire et le temps élémentaire :
Ce fondement physique indique que pour toute inertie M, il correspond une amplitude L. C’est la signature claire d’un processus oscillant. Comme aucun M fixe « tombé du ciel » est également injustifiable, les différents corps oscillants reviennent à des suites de tirages aléatoires qui statistiquement peuvent se rapprocher du zéro absolu mais sans jamais l’atteindre.
Outre que le paradoxe existentiel montre bien qu’il est injustifiable d’avoir spontanément un M > 0 (absolue) mais que par ailleurs il est impossible d’atteindre le zéro absolu. Même en admettant que cela soit possible, un M ramené au zéro absolu, il y aurait une amplitude infinie tout aussi injustifiable. Mais même en admettant l’infini, alors – par définition il n’y aurait plus d’oscillation et de « recherche » permanente du zéro absolu.
Le zéro inertie absolue et le déterminisme (inconscient) de la Nature, l’obligeant à le chercher indéfiniment
C’et ainsi qu’il existe une matrice d’Univers permanente, mais qui doit absolument trouver un moyen de ramener l’inertie M à un type de zéro qui ne soit pas absolu. Comme par définition, la Dualité est consubstantielle, il vient naturellement des oscillateurs dipolaires présentant un parfait zéro symétrique. Comme un nombre « tombé du ciel » est injustifiable, il vient que le nombre de ces oscillateur dipolaires et stochastiques est infini. Cela ne pose pas de problème de bord car le continuum masse-espace-temps n’existe pas. Le temps ne s’écoule pas et la statistique de voir une synchronisation (aléatoire) formant BEC, a une probabilité unitaire.
Le BEC fossile sature avec la synchronisation de ξ11 Bodys
Il est assez difficile d’imaginer la statistique qui amène l’immense entropie de désordre à engendrer un échantillon de Bodys où l’entropie est proche de zéro, par synchronisation. Mais cette synchronisation n’est pas absolument parfaite ! Pour que le BEC soit fécond, (i.e produire ce que nous observons) il faut imaginer un nombre incalculable de facteurs aléatoires stériles avant d’arriver à s’approcher d’un facteur dont l’erreur soit admissible pour la fécondité du BEC. La fécondité du BEC est démontrée par la mitose suivant les 5 étapes de Fibonacci. Cette mitose idéale est de type 25. Ce taux d’erreur est donné par :
Avec ce taux d’erreur admissible les Bodys moyens (1D) possèdent les proportions suivantes :
Cette proportion convient avec la partie neutre du proton (en unité électron nu et entier :
Avec 207 la masses du muon en unité électron nu et entiers. Il vient que la somme des logarithmes de ces deux proportions clés permettent l’apparition du proton :
Les 26 relations (sigma >7) de l‘article sur les preuves viennent compléter ce tableau