Les impossibles : infini & zéro absolu
Les mathématiques sont fondées d’employer ces termes tant qu’ils ne concernent par le continuum masse-espace-temps. En effet la physique fondamentale est incompatible avec ces notions, sauf s’il s’agit d’éléments présentant un zéro parfait comme les Bodys-zéros par symétrie, car ce zéro parfait ne peut-être absolu.
La dualité – consubstantielle à la Nature – concerne en premier lieux, les 2 types de zéros.
Le paradoxe existentiel démontre que la notion de masse inertielle, ne peut ni exister spontanément, ni être ramenée au zéro absolu.
La seule solution possible est l’existence permanente d’un multitude d’oscillateurs Bodys qui, par leur forme dipolaire, présentent un réel zéro symétrique. A l’échelle subquantique (ou quantique), la masse M et son amplitude spatiale L forme un couple inséparable.
Cette loi démontrée universelle (base de la constante de Planck) implique une oscillation entre un point zéro à faible M et un point d’amplitude L où la masse est forte.
Ce zéro parfait mais de nature symétrique permet d’avoir un nombre infini (ou indéfini) d’oscillateurs Bodys.
La Nature « espère » l’impossible zéro absolu pour la masse. C’est pour cela que les Bodys-zéros de l’Omnivers oscillent en permanence. Dans ce « but », chacun des oscillateurs stochastiques de l’Omnivers, cherche à s’approcher à chaque cycle stochastique, du zéro absolu au point zéro.
En admettant que l’aléa trouve un impossible zéro absolu au le point zéro, alors l’amplitude serait infinie. Cette éventualité (impossible) amènerait un Omnivers de type néant statique et nous ne serions pas là pour en parler.
Enfin, le nombre incalculable de brassages aléatoires et stochastiques des Bodys stochastiques de l’Omnivers, génère un potentiel de BECs stériles. Mais le non écoulement du temps, ouvre une probabilité unitaire de s’approcher des ratios aptes pour réaliser le BEC-fossile fécond dont la mitose-expansion est observable dans la Bulle-Univers qui est la nôtre. Ces ratios sont :
La fécondité de la Bulle-Univers observable est contrainte par l’obtention du facteur aléatoires avec un taux d’erreur proche du taux idéal (erreur zéro absolue) soit 25 :
Grâce à ce taux d’erreur, il est possible de fixer la partie neutre du proton, exprimée en unité électron nu et entier (sans dimension).
L’expression en unités « électron nu et entier » complète les travaux de KOIDE, relatifs aux liens précis qui existent entre les particules. Ces occurrence multiples confirment que la paire électron-positron – issue des Bodys subquantiques – est la seule et unique particule élémentaire qui compose toute la matière.
1/ Masse totale de l’univers et observation
Les différentes estimations des astronomes admettent une masse de 1084 kg pour pour un rayon de 45 Gyl. Selon DUO5 le nombre de masses élémentaires est de :
soit une masse totale :
Le ratio de 15 entre DUO5 et standard, est largement expliqué dans l’article portant sur l’énergie noire.
2/ Le zéro masse subsiste dans la globalité de l’univers en expansion
La somme des masses est strictement égale à la composante masse de la constante de gravitation.
Tout comme dans un Bodys, la dualité des éléments est perceptible à l’intérieur du confinement mais est strictement ramenée à zéro depuis l’extérieur. La constante de temps d’un Bodys, pour maintenir la causalité confinée est le temps élémentaire te. La constante de temps pour que la bulle-Univers conserve son unité causale, est donnée dans le premier terme de cette relation :