LOI DUO5, la théorie du tout

Déterminisme de l'Univers d'Or

L’univers est consubstantiel à la Dualité

La loi DUO5 est l’aboutissement du modèle OSCAR (origine 1995) dévolu à chercher les causes physiques de l’existence de l’Univers . Le sigle DUO5 possède une double signification : a) Dualité de l’Univers d’Or qui repose sur le nombre d’Or issu de la suite de Fibonacci caractérisée par les nombres (2, 5) relatifs à la mitose originelle ; b) Déterminisme de l’Univers permanent stochastique qui résout le paradoxe existentiel relatif à l’impossible attracteur du zéro inertie absolue (M ≠ 0) et l’injustifiable (M>0) en forçant l’option du zéro symétrique via l’oscillateur dual.

La loi DUO√5 se distingue de la notion de « modèle mathématique », basé sur des hypothèses et des « principes ». La loi DUO√5 s’appuie sur les 5 premières lois physiques, desquelles tout est décliné.  Elle présente une occurrence multiple avec les mesures. Elle se justifie par son aptitude à résoudre les énigmes de l’univers et ce, à toutes les échelles. La loi DUO√5  généralise la dualité en physique, en opposition avec la notion d’absolu.  La loi DUO√5 s’appuie également sur le lien canonique entre la suite de Fibonacci (1, 2, 3, 5, 8) et son aboutissement au nombre d’Or caractérisé par 2 et √5. Il ne s’agit pas d’une théorie « au-delà du modèle standard » car DUO5 rejette la notion de modèle. Elle  généralise la loi de KOIDE via un chemin logico-déductif en déclinant  les 5 lois canoniques et incontournables de la nature. En interaction avec les résultats de l’expérimentation locale relative aux effets, elle se base également sur les causes. Elle montre que les comportements  locaux sont parfois très différents de leurs sources non-locales. Elle revendique le statut de « loi » car elle résout plus de 80 énigmes qui résistent au modèle standard. La loi DUO√5 met en avant l’incontournable existence d’une infinité de BODYS (Boson Oscillateur Dipolaire Yin yang Stochastique) où chacun représente le zéro physique de nature symétrique par opposition à l’impossible attracteur du zéro absolu.

La fameuse phrase de  WIGNER dénonçant « déraisonnable efficacité des mathématiques » se traduit par son inquiétante aptitude à remplacer et éluder la réalité physique.

Le théorème d’incomplétude de Gödel confirme cela en démontrant sa dérive vers l’auto-référence.

Les 8 points clés de la loi DUO 5

Le paradoxe existentiel

Fondamentalement, le « Zéro Inertie Absolu », élémentaire et parfait, est un fort attracteur mais impossible à atteindre dans le cadre d’une fonction continue où l’intervalle élémentaire est infiniment petit (il serait fixé par qui ?). Le seul zéro inertie parfait possible est donné par l’état superposé de deux pôles oscillants, contraires et symétriques. Globalement la dualité s’applique d’abord à l’univers entier sous la forme de ses deux états : 1) stochastique éternel à entropie de désordre maximale ; 2) synchronisé mais à durée et nombre limités.

L’oscillateur Bodys

Bodys signifie Boson Oscillateur Dipolaire Yin-yang Stochastique. Il est l’incarnation du paradoxe du chat de Schrödinger car son état superposé « mort ET vivant » se traduit par « rien ET quelque chose » et non par « rien OU quelque chose ». Cette question – initialement posée par Leibniz – génère encore des débats rendus stériles à cause de la difficulté à admettre la notion de superposition d’états contraires. La matrice globale de cet état stochastique, est composé d’une infinité de Bodys-zéro non connexes dans le cadre d’une entropie de désordre, qui tend vers l’infini. La loi canonique de l’oscillateur Bodys est la constance du produit {inertie × amplitude} soit M L = Cte.

Condensat de Bose Einstein à l’échelle cosmologique

Dans l’état stochastique, les paramètres physiques masse-espace-temps sont au niveau « zéro symétrique », donc le temps ne s’écoule pas. La probabilité d’un flux de synchronisation partielle de Bodys formant un Condensat de Bose-Einstein (BEC) devient unitaire. C’est le BEC-fossile dont la taille est quasiment celle d’un halo de galaxie. Le flux de synchronisation abouti à une saturation qui se traduit par une réduction critique des intervalles élémentaires. Ces derniers se superposent en annulant brusquement les charges e. Cela crée un très brutal de/dt² ou di/dt qui déclenche : séparation → révélation → mitose → impulsion (expansion) → annihilation partielle.

La Mitose-Expansion

Le flux de synchronisation de l’état stochastique arrive à saturer le BEC-fossile. Cette saturation brise l’équilibre du BEC en saturant la couche située au point de rebroussement.  Cela réduit l’intervalle élémentaire tangentiel entre pôles devenus électron-positrons. Cela se traduit par deux conséquences : a) l’anisotropie de densité du BEC tend à se rétablir par mitose de l’ensemble volumique du BEC ; b) la réduction de l’intervalle élémentaire provoque la fusion des pôles. Le masquage des charges libère les pôles qui conservent leur impulsion à vitesse c. Cette mitose-Expansion suit la loi de Fibonacci, amenant des couches de vitesses de 0 à 5 c. Cela donne l’illusion que chaque coordonnée se trouve au centre de l’expansion, telle qu’observée. Les paramètres de la mitose originelle, se retrouvent partout, y compris à l’échelle quantique.

Le déterminisme fondamental

Le paradoxe de l’état stochastique se traduit par la recherche permanente de l’impossible zéro physique absolu et parfait. La seule solution évitant toute quantification mystique (telle qu’un nombre particulier), est l’oscillation dipolaire et symétrique d’une infinité de Bodys-zéro. Le zéro physique est alors de type symétrique. La loi canonique de dualité s’applique d’abord, aux deux types de zéros : {impossible zéro absolu ↔ zéro par opposition symétrique}.

La loi KOIDE généralisée

La loi KOIDE originelle montre un lien intéressant mais approximatif entre certaines classes de particules. Sa généralisation exprime la masse des particules en unités électrons nus et entiers (ex : proton = 1836.15 devient 1841 hors habillage).  Associée à la dualité de localité, la paire électron-positron de création non locale se comporte comme un boson dans le noyau, contrairement au principe d’exclusion de Pauli.  Ainsi les relations entre particules s’élargissent à des classes différentes et deviennent strictement exactes. Cela confirme que la paire {électron-positron}  est la seule unité physique élémentaire et universelle, issue physiquement des pôles séparés, des bosons Bodys. Les quarks ne sont que des effets induits.

Localité & Masquage

La dualité de localité s’exprime déjà dans le Bodys entre son point zéro (inertie M faible) qui génère sa très large amplitude spatiale : L = ƒ(1/M). Le point zéro masque les paramètres physiques par «opposition symétrique». Un autre type de masquage s’exprime localement par superposition. Il concerne seulement les charges électriques. La dualité de masquage {opposition ↔ superposition} joue un rôle prépondérant à toutes les échelles. La masse majoritaire des particules composites (neutron, proton, pion, muon…)  voit ses charges masquée par « superposition » alors que tous les paramètres physique du Bodys sont annulés en mode opposition.

Le Ratio ξ (xi)

Le non écoulement du temps dans l’état stochastique ouvre un potentiel infini de « Condensats de Bose Einstein ratés ». Seul un Condensat de Bose Einstein  ayant des proportions (approchées) adéquates, se traduira par la Bulle-Univers équilibrée en expansion que nous observons. Le potentiel infini de brassage de l’état stochastique possède une probabilité non nulle « d’accoucher » d’un BEC compatible. Parmi tous les états compatibles potentiels, notre Bulle Univers observable est déterminée par le ratio ξ . La moyenne des Bodys en cours de synchronisation répondait à : ξ3 = épaisseur / longueur. On vérifie également le ratio : ξ² = long Compton / long Planck et ξ4 = Force coulomb / Force gravitationnelle et bien d’autres.  Le non écoulement de temps de la matrice stochastique ouvre un potentiel infini de brassages avec une probabilité unitaire d’obtenir divers modes générant une Bulle-Univers équilibrée à temps limité.

Le paradoxe existentiel

Fondamentalement, le « Zéro Inertie Absolu », élémentaire et parfait, est un fort attracteur mais impossible à atteindre dans le cadre d’une fonction continue où l’intervalle élémentaire est infiniment petit (il serait fixé par qui ?). Le seul zéro inertie parfait possible est donné par l’état superposé de deux pôles oscillants, contraires et symétriques. Globalement la dualité s’applique d’abord à l’univers entier sous la forme de ses deux états : 1) stochastique éternel à entropie de désordre maximale ; 2) synchronisé mais à durée et nombre limités.

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QUI SUIS-JE ?

Dominique Mareau

Ingénieur Chercheur Enseignant

Après une carrière dans l’industrie et dans l’enseignement, je consacre mon temps à comprendre – plutôt que décrire – les lois physiques de l’Univers. Cette démarche s’inscrit non pas en termes de « modèle mathématique » mais en terme de lois physiques comparées à l’expérimentation et la mesure. Avec certains de mes collègues enseignants, nous constatons avec regret, que les étudiants ont tendance à privilégier l’apprentissage « par cœur », délaissant la démarche logico-déductive. Cette grave dérive tend à se limiter à la description passive plutôt qu’à la recherche de l’explication.