Désintégration de l’uranium 238

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Désintégration de l’uranium 238

Cette image qui montre les électrons comme des billes, est juste une vue d’artiste. En réalité il s’agit plus d’électrondes qui diffusent en partie dans le niveau subquantique des Bodys. C’est la perturbation créée par la mesure qui permet de les situer.

La désintégration de l’uranium 238 s’effectue en alternant 8 émissions alpha et 6 émissions bêta. Selon le modèle standard, l’atome d’uranium contient 92 protons et 146 neutrons = 238 unités entières. Sa masse atomique, de 238,02891 u. Soit un nucléon moyen confiné, réduit à : pum = 1822,888 unités « électrons habillés » ou mesurés. Le terme de la désintégration est sous la forme d’un atome de plomb 206., Le modèle standard décrit fort bien cette désintégration sans toutefois expliquer les causes de l’instabilité de l’uranium 238 et celle toute les étapes menant au plomb 206.. Cependant cela suffit amplement à en exploiter au mieux les applications technologiques. Cet attracteur lucratif est devenu plus gratifiant que le besoin de comprendre les causes.

Selon la loi DUO5, la cause du comportement des désintégrations, est strictement lié à la mitose originelle pour laquelle seul le proton (mesuré à 1836.15 électrons habillés) a servi de variable d’ajustement. Sa partie nue et neutre (1840) doit se retrouver dans tous les atomes. Les 1840 unités du proton, sont divisées en 3 intervalles polarisés et donc 3+1 groupes de 460 unités neutres. Son positron célibataire (dont on mesure la charge +) est maintenu confiné par ces 3 intervalles polarisés. Ainsi les paquets neutres du noyau stable du plomb 206, doivent être structurés pour confiner les 82 positrons célibataires qu’il contient. Les positrons perturbent les couches de paires neutres d’électron-positrons, en démasquant leur empilage pour induire des charges qui s’opposent à leur migration vers l’extérieur. On montre ici que la structure permettant la stabilité du plomb 206 n’est jamais reproduite dans atomes intermédiaires des 14 étapes de désintégration menant au plomb 206. Le maintien de chaque positron nécessite la dualité de polarisation : négative interne & positive externe.

Principe de confinement des positrons

Selon DUO5, la stabilité du plomb 206 vient de ses paramètres soit 82 positrons confinés dans 206 paquets neutres de 1840 unités neutralisées par masquage par superposition. Le schéma ci-après, montre le principe du maintient du confinement des couches de positrons célibataires. La masse moyenne pondérée des groupes ( 0,75 ×1840), fixe le rayon du noyau selon la loi fondamentale :

Relation 1

Selon la même loi, la masse d’une couche « positron célibataire » lui confère un rayon de Compton nettement plus grand que le noyau. De plus, comme les charges positives se repoussent entre elles, les positrons ont vraiment tendance à sortir du confinement du noyau. Mais toute tendance à l’expansion d’un positron, génère une dualité de démasquage des couches neutres empilées. Cela revient à polariser les intervalles créés pour maintenir le confinement des positrons, selon le schéma suivant :

Schéma de principe des couches de positrons du plomb 206

Soit 2 positrons représentés pour les 82 du plomb 206

Chaque positron se trouve équilibré s’il est entouré de 2,5 groupes de 1840 unités neutralisées. Toute tentative de déplacement du positron vers l’extérieur, génère une polarisation intérieure négative. Toute tentative de démasquage des couches neutres superposées, entraine de facto l’apparition d’un intervalle polarisé dont la charge induite s’oppose à celle qui lui a donné naissance.

Relation 2

Dans laquelle on retrouve le +1 du proton entre 3 intervalles et 4 groupes

Le schéma montre que la « peau » extérieure comporte un paquet neutre supplémentaire de 1840 unités nues entières et neutres. C’est de là que sont prélevées 6 paires neutres composées de 6 positrons et 6 électrons. Leur séparation produit les 6 électrons des émissions bêta et les 6 positrons venant renforcer provisoirement la charge positive confinée. Au terme de la désintégration, les 8 paquets alpha ont libéré 2–8 =16 positrons mais les 6 émissions bêta en déduisent 6. C’est effectivement le bilan des positrons, soit : 82–92 = –10.

Les paquets neutres à 0,75 × 1840 = 1380, sont strictement égaux à 5 fois la masse du pion 276.

Les 3/4 de 276 donnent le muon 207 exprimée en unités nues et entières

Le nombre 206 donne la partie neutre exprimée en unités nues et entières

La loi KOIDE élargie montre les liens profonds entre les arrangements des particules et des atomes

Le tableau suivant montre en dernière ligne, que l’équilibre de la relation 2, n’est atteint qu’avec le plomb 206.

tableau 1

il reste à expliquer la stabilité du (rare) plomb 204

Les 8 émissions α, suppriment 2 positrons et 4 paquets neutres de 1840 unités. Les 6 émissions βreviennent à 6 séparations de paires neutres avec 6 positrons confinés et donc 6 électrons émis. On note que le nombre 206 est également celui qui compose le muon neutre avec cependant un compte établi en unité électron, contre un compte établi en paquets neutres de 1840 unités pour le plomb 206.

Masse atomique traduite en unité électron

L’unité atomique soit 1,66053892×10-27 kg peut s’exprimer en unité électron (mesuré), soit : mu =1822.88848 < 1836.15. Selon DUO5, cela traduit un taux d’habillage plus élevé que celui du proton. L’arrondi nécessaire en unités entières, nécessite le coefficient correcteur : ka = 238,0289 / 238 = 1.0001214 pour fixer le taux d’habillage du plomb 206 :

Relation 3

Le taux d’habillage du proton, τp = 1,0026399 correspond à 1 positron pour 1840 unités neutres. Le ratio du plomb pour 206 paquets d’unités neutres est de : 206/82 = 2.512 fois plus grand que τp auquel il s’ajoute :

Relation 4

Ainsi, en première approche, il apparaît une proportionnalité entre le ratio {nombre d’unités neutres}/{nombre de positrons} et le fort taux d’habillage de ce noyau.

Conclusion

Le tableau 1 indique (dernière ligne) qu’aucune des 14 étapes intermédiaires de la désintégration de l’uranium 238 en plomb 206, ne satisfait la relation 2 qui fixe le ratio 2,5 entre le nombre de positrons et un nombre adéquate pour assurer le confinement des positrons. La règle du modèle standard concernant la conservation leptonique, s’accorde avec le neutrino de Majorana, dans la loi DUO5. En effet, DUO5 montre que le noyau des particules composites, possèdent plusieurs positrons. Ainsi la force faible appliquée au neutron, découle juste de la séparation d’un couple neutre {positron + électron}. Ainsi, s’il y a émission de neutrino, il est toujours de Majorana, car il est la réplique quantique d’un un Bodys subquantique. Selon DUO5, le neutrino dit « électronique » est juste un couple neutre dont les masses opposées sont masquées par opposition. Toute perturbation génère une asymétrie qui démasque une partie de masse. C’est cela qui lui permet de se changer en d’autres variétés de neutrinos. Le nombre de nucléons est conservé mais pas leur habillage qui est augmenté. Cela veut dire que les noyaux d’atomes diffusent plus d’énergie-masse que le proton, dans les canaux subquantiques des Bodys. La force forte est le résultat du démasquage des charges empilées. Elle s’exprime en deux phases d’action coulombienne : a) lors du démasquage des charges à très courte distance ; b) puis son action classique variant en 1/r². La cause profonde de cette unique force coulombienne, vient du déterminisme de la nature qui tend vers un « zéro parfait symétrique« , réalisable dans la dualité du Bodys. Ce zéro apparent de l’inertie n’est possible qui si les deux pôles contraires sont causalement reliés par la force coulombienne. Or on a vu que la charge élémentaire est déterminée par la relation fondamentale M.L = Cte. La charge électrique est une composante inséparable du produit M.L (inertie × amplitude spatiale). Elle est implicitement inscrite sous cette forme dans le système d’unités M.K.S.A. Elle représente une condition essentielle pour la cohérence du système M.K.S.A. Le masquage par opposition implique obligatoirement le lien coulombien, car il garantit le zéro paramètre physique. La séparation partielle, déclenchant la mitose primordiale, a fait apparaître les masses confinées car le mode de masquage a changé. Il est devenu un masquage par superposition qui ne concerne que les charges. Mais pour autant est-ce que la nature a renoncé à son déterminisme du « zéro paramètre physique » ? Bien sûr que non, car le lien coulombien s’est transformé en lien gravitationnel. On a vu que ce dernier est juste le gradient de la force coulombienne lors de la séparation primordiale sur l’aire du BEC fossile. Ainsi, au terme de l’expansion, tous les pôles séparés seront de nouveau réunis dans chaque dualité des Bodys stochastiques. Ce recouvrement a déjà commencé dans le cadre des collisions de galaxies qui – phases après phases – dégénèrent la matière (matière noire) jusqu’à aboutir, à terme, au retour à l’état stochastique éternel. Encore une fois, le genre humain (y compris les scientifiques) a du mal à se séparer de la notion naïve d’absolu. La nature physique à soif de zéro. Mais comme le zéro absolu est impossible, elle utilise la clé de la symétrie dans le cadre des oscillateurs dipolaires pour obtenir un zéro tout aussi parfait mais évolutif. La grande erreur du modèle standard, est de prétendre appliquer cette notion d’absolu à la physique, sous prétexte qu’elle est autorisée par la mathématique, dont l’horizon est limité par son incontournable auto-référence.

A suivre : cas de la stabilité du plomb 204

28 réponses

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