Les isotopes de l’atome de plomb
A l’instar de la structure du noyau du plomb 204, tous les isotopes stables de l’atome de plomb (204, 206, 207, 208) répondent strictement à cette égalité avec comme variable d’ajustement, le nombre de la dernière couche (ici 1112 > 920).
Dans l’isotope 206 de l’atome de plomb, la couche extérieure – soit 1840 – offre encore une meilleure stabilité que le plomb 204. On voit que la couche neutre séparant 2 cortèges de positrons, est calibrée à 1840/2 = 920 pour que la somme des séparations neutres soit bien égale à 1840.
Cas général des isotopes de plomb
Le cas général nécessite de respecter la totalité de 3 conditions pour assurer la stabilité :
1/ la stricte relation donnant n entier et pair, avec (82 a + e) / 1840 ;
2/ l’existence d’une couche extérieure efficace (e >b) ;
3/ le ratio (a/1840) doit s’arrondir à 5/2, soit < 2,6.
Cause de l’instabilité de l’isotope 205
Paradoxalement cet isotope produit parfaitement les deux premières conditions mais il est instable à cause de l’absence de « peau » extérieure. Il ne peut donc contenir l’instabilité des positrons confinés.
Ce cas est celui du 206 mais sans la couche externe. Paradoxalement, les couches de paquets neutres entourant les couches positrons, sont faites de 3/4 × 1840 = 1380 unités. Or 1/5 de ce nombre donne 276, le nombre nu et entier du pion π+/-. Ainsi il existe un lien direct entre le muon et proton via le pion π+/-, selon :
Et le muon :
Ce tableau résume une partie des liens entre le nombre clé de la stabilité (1840) et le muon (206). La masse habillée du premier (1836,15) est la variable d’ajustement de type hard et non local, entre les deux bases de la mitose en 5 phases (α²)5+1 et ξ². Sa non localité est gage de stabilité. La clé 206 qui justifie l’existence du muon, est de type informationnel au sens de SHANNON (soft) comme nombre de complexion par le logarithme népérien des ξ8 électron-positrons séparés sur l’aire du BEC-fossile.
Cas de l’Uranium 238
Les caractéristiques de l’uranium 238 sont contraintes par celles du plomb 206. En effet, lors de sa désintégration, il perd 8 × 4 = 32 (unités 1840) sous forme alpha et 6/1840 sous forme bêta et 6/1840 sous forme de positrons célibataires confinés, soit 12/1840 de perte d’unités neutralisés par masquage par superposition. Autrement dit 6 paires neutres ont donné 6 positrons restés confinés et 6 électrons émis (bêta).
Son instabilité vient essentiellement de la pauvreté de sa couche neutre externe (e = 12).
Le nombre de paquets de couches neutres « a », est contraint par la différence 32+12/1840 entre l’uranium 238 et le plomb 206. La couche externe du plomb 206, est ainsi reconstituée à sa valeur optimale 1840 (moins 12) au cours des 15 étapes de désintégrations, par redistribution de la somme {a + e}.
Conclusion
A toutes les échelles, la loi DUO5 s’appuie sur la notion de « couches ». Structurellement, un BEC fonctionne en couches (oscillantes) de pôles de Bodys. Puis l’expansion qui s’effectue en couches de vitesses, explique directement l’isotropie observationnelle et l’accélération des couches en retard vers l’attracteur représenté par la vitesse moyenne (2,5 c). Il y a ensuite les particules composites – à l’instar du proton – qui sont composées majoritairement de couches neutres masquées par superposition. Les intervalles (forcés par les positrons) se polarisent pour s’opposer aux forces qui leur ont donné naissance. Il y a enfin, les couches neutres de paquets entiers qui se polarisent dans les noyau d’atomes, pour contenir plusieurs positrons confinés. Dans tous les cas les couches sphériques 2D délimitent une zone 3D. Dans tous les cas, il existe un couplage – via un canal 1D – avec les Bodys structurant l’espace-temps.
L’interprétation standard fait souvent des amalgames entre cause et effet.
Exemple 1 : les quarks ne sont que des « effets » sous forme de polarisations de couches neutres dont la cause est générée par les positrons célibataires confinés. Les positrons de création non locale sont stables mais toujours confinés contrairement aux électrons. Mais cela s’explique par le fait que la paire célibataire du neutron présente toujours la couche électron vers l’extérieur. Cela est fixé et généralisé avec 1 chance sur 2, lors de la mitose primordiale dans le cadre de la séparation non locale. Ce n’est pas une spéculation ou « un paramètre libre », puisque l’on on mesure effectivement la charge d’un positron pour le proton. C’est la même chose pour le muon mais comme sa création est locale il exprime une certaine symétrie dans la charge émise lors de sa désintégration.
Exemple 2 : les particules virtuelles ne structurent pas l’espace-temps car elles ne sont que les effets du couplage matière ↔ Bodys. Elles forment un large spectre d’harmoniques de la fréquence propre des Bodys perturbés.
Exemple 3 : les halos galactiques ne sont pas « faits de matière noire » mais les BECs enchevêtrés les structurant, en sont juste le contenant. La cause de l’effet de cisaillement de DM au bord du halo, est juste une différence de densité d’enchevêtrement des BECs formant halo. Si la densité de Bodys est invariable, ce n’est pas le cas du taux d’enchevêtrement des BECs. C’est ce qui explique (pas seulement décrit) que l’expansion ne concerne que les BECs intergalactiques.