Les 5 éléments fondamentaux

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Les 5 éléments fondamentaux

Ci-dessus, l’homme de Vitruve – enfant de l’Univers – hérite comme toutes choses, des nombres principaux 2 & 5, relatifs à la mitose du BEC-fossile. A ce titre, sa morphologie affiche 5 types d’éléments : 5 protubérances empruntes de dualité : tête (bicéphale), 2 bras, 2 jambes. Chacune se termine par 5 éléments. Pour les bras et jambes, il s’agit des 5 doigts et la tête qui possède une dualité de 5 sens : a) les 5 aptitudes sensitives : ouïe, vue, odeur, gout, touché ; b) les 5 aptitudes cognitives qui s’expriment dans la dualité {conscient ↔ subconscient}.

Exit la naïveté propre aux 5 éléments ancestraux (Espace, Eau, Terre, Métal, Feu) avec sa variante (Bois, Eau, Terre, Métal, Feu). En revanche, si depuis des millénaires les humains sont fascinés par le nombre 5, c’est qu’il existe des indices réels qui révèlent la Nature profonde de l’Univers. On a vu que la mitose en 5 phases – base de la vie – est juste une reproduction de la mitose de l’univers qui s’est effectivement produite en 5 phases.

La loi DUO5 repose en partie sur la loi KOIDE élargie qui mesure les particules à l’aune de l’électron (habillé ou nu et entier) plutôt que d’user d’unités arbitraires . Ainsi la masse du proton, mesurée à 1836.15 électrons habillés, revient à 1841 unités nues. L’astucieux système d’unité MKSA reste limité, car il a conservé les anciennes unités, arbitrairement basées sur les paramètres de la Terre, naïvement vus comme ayant un caractère absolu et et universel. Depuis, on sait que les paramètres physiques de la Terre (temps, espace, masse) n’ont rien d’universel. Le seul et unique élément universel est la paire électron-positron. Mais il y a également le piège relatif à la dualité de localité. En effet l’observation locale dément cette universalité car on ne trouve pas de positron libre stable. Pire, les paires électron-positrons – crées localement – s’annihilent en fusionnant ! Même les plus conservateurs du modèle standard, savent qu’il existe une dualité de localité. Ils savent que la non-localité porte en elle la notion de séparation causale qui ne saurait exister localement. Mais ils ont préjugé qu’il était impossible de mettre la non localité en équation. Alors ils ont posé à tort, le fameux « principe cosmologique » qui dans un flou artistique opportun, décrète que l’observation locale possède un statut d’universalité. Si cela peut-être vrai pour certaines observations, sa généralisation est pure spéculation. Sur la base du « principe cosmologique », on a éludé l’exploration de la dualité de localité. C’est ainsi que les découvertes sur la causalité de l’intrication conservée dans le cadre de la non localité, créent un trouble chez les plus conservateurs du modèle standard, Cela a été très bien analysé par Jean BRICMONT. Il montre que certains physiciens préfèrent parler d’instantanéité (vitesse infinie) plutôt qu’ admettre une grande (mais limitée) vitesse subquantique. Ces découvertes indiquent clairement qu’il existe une dualité {quantique ↔ subquantique} et donc une dualité de localité qui rend caduque le simplisme du « principe cosmologique ». Ainsi la question : « où est passée l’antimatière ? » est mal formulée ! cette formulation relève de la croyance en l’absolu (ou l’auto-référence) et se permet de sacrifier la symétrie alors que c’est la clé de l’univers . C’est une sorte de réminiscence de l’héliocentrisme ! Il est pourtant clair que la charge électrique du proton est celle du positron. Il est pourtant simple d’admettre que le neutron comporte une paire neutre célibataire noyée dans 1840 unités neutralisées. Qu’il éjecte la couche « électron » située vers la périphérie et toujours garder le positron. Ainsi, exit la naïve question de l’antimatière puisque la symétrie est sauvée. A la question : « pourquoi seul le positron serait condamné à rester confiné ? », la réponse est claire : juste avant la réduction de localité originelle, la non localité de la causalité a généralisé cette structure avec une probabilité sur deux. C’est ainsi que le proton – unique particule stable – possède précisément la charge du positron. Mais dans le cadre d’une création locale (donc instable) comme le muon, l’émission est alternativement un électron ou un positron. Sans prendre en compte, la dualité de localité, on est contraint d’avaler les couleuvres suivantes : 1/ il y aurait symétrie entre le proton et l’électron alors que l’un est 1840 fois plus massique ; 2/ le proton aurait magiquement la charge du positron ; 3/ le muon est magiquement un gros électron ; 4/ l’univers ne serait pas symétrique.

Les quarks sont des effets et non des causes

Comme très souvent, on interprète l’observation comme une cause alors qu’elle n’est qu’un effet. Ainsi, avant l’observation des quarks, on cherchait désespérément l’élément de base des particules composites. On avait éliminé – à tort – la paire électron-positron car créée localement, elle s’annihile. Mais on a vu que la séparation causale lors de la création non locale, leur permet d’annuler leur charge par masquage par superposition, sans s’annihiler. C’est ainsi que la partie neutre des protons (1840 unités masquées) contient le positron célibataire confiné. On a vu comment les effets de polarisation des couches neutres, s’opposent à leur migration. Ces polarisations sont matérialisées par les quarks. Ils sont donc induits et dépendants de leur confinement. La preuve est qu’ils s’annihilent à l’état libre.

Les quarks du proton, matérialisent les polarisations qui s’opposent à la migration du positron célibataire dont la charge est parfaitement mesurée.

La cause des 2 particules originelles, proton et muon

La mitose originelle en 5 phases, a nécessité une variable d’ajustement qui a fixé la masse du proton en terme d’unités électron-positrons. Sa création est à caractère non local, en fait la seule et unique particule composite stable. Son caractère informationnel non local (soft) est intiment lié à son caractère massique locale (hard). Sil le proton est créé localement, alors il perd son caractère de stabilité. La notion d’antimatière n’a de sens que localement. Il en est de même pour la paire électron-positron, même si l’état stable de ce dernier est toujours confiné. Si la base informationnelle du muon est bien non locale, sa base physique, typiquement locale, le rend instable. On a vu que son nombre neutre 206 unités nues et entières (103 paires), le rendait indivisible et le condamnait à être structuré qu’en un seul groupe de couches neutre. Par définition, il ne peut avoir d’intervalle polarisé et donc pas de quark. Cette dualité de particules a un caractère fondamental. Le proton relève des paramètres de la mitose (α et ξ) :

Avec 1840 unités nues et neutres. En revanche, le muon relève des ξ8 paires électron-positrons ayant subit une réduction de localité sur l’aire du BEC-fossile :

On note que le taux d’arrondi du muon (206.11192 / 206) = 1.0005433, est très proche du ratio proton / sa partie neutre, soit : 1841/1840 = 1.0005434.

Les 5 éléments fondamentaux

Avec 206 unités nues et neutres. Le lien entre cette dualité de base se présente sous 5 éléments fondamentaux :

1

Avec dans l’ordre le neutrino (Majorana), le muon, le pion, l’atome d’hydrogène ou un proton (1841) muni de son électron orbital et le tauon. On peut dire que l’existence du muon et du proton (+1) est strictement compensée par les 3 autres, soit :

2

qui apparaît également sous cette forme avec la partie neutre (276) du pion chargé :

3

Ainsi l’existence des particules : neutrino (dit électronique), tauon et pion (sous ses deux formes), est justifiée comme étant une compensation de la dualité des deux particules fondamentales.

Le lien direct proton-muon

4

Bien sûr cette exactitude ne concerne que les nombres entiers puisque le taux d’habillage est également en partie, la variable d’ajustement de l’arrondi en nombre entier.

Les 8 éléments dérivés

Cette relation dans laquelle la somme des 5 éléments : électron + neutrino + muon neutre + pion + proton (1840 + positron), est strictement égale au ratio de ces 3 autres : tauon × pion chargé / muon chargé.

Conclusion

Toutes les particules – sans exception – sont composées d’électron-positrons. Au niveau des particules composites comme au niveau des noyaux d’atomes, la présence des positrons célibataires génère des intervalles polarisés qui s’oppose à leur migration. Les relations 2 et 3 indiquent que les deux particules originelles (proton et muon) sont compensées par l’existence du tauon (3480), du neutrino (2) et du pion (276). La relation 4 montre le lien direct en proton et muon. Ce lien représente une face de la dualité de localité. La création local du muon le rend instable alors que la réduction de localité originelle durant la mitose, rend le proton, stable.

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