Les 5+1 phases de mitose en détail

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Les 5+1 phases de mitose en détail

Ci-dessus, un exemple de la mitose en 5 phases de la jacinthe, héritée du Big Bang

La mitose chez les êtres vivants (végétal ou animal) n’est pas un phénomène magique arrivé par hasard. La fonction mitose est intégré à l’univers lors de la division du BEC-fossile en ξ² BEC-fils (ou BEC-étoiles). La cause de cette division est la saturation de la densité des pôles de Bodys sur chacune des couches oscillantes. La cause de la saturation vient de l’emballement du flux de synchronisation des Bodys préalablement stochastiques. La cause de l’emballement vient du taux d’influence variant exponentiellement avec le ratio : {synchronisés / stochastiques}. La saturation a créé une anisotropie en réduisant du facteur ξ, l’intervalle tangentiel élémentaire en laissant intact l’intervalle élémentaire radial. Les ξ11 Bodys du volume, sont alors répartis en ξ3 couches, comprenant chacune ξ8 = 1085 pôles de Bodys dont l’intervalle tangentiel élémentaire, est réduit du facteur ξ.

Le lien mesurable entre proton-muon

On a vu le lien entre ces deux précurseurs, exprimés en unités nues et entières soit :

Or le logarithme du nombre ξ8 , de paires électron-positrons tapissant l’aire du BEC-fossile (avant annihilation) donne précisément la masse mesurée du muon avec un sigma 6 selon :

avec :

Soit τp le taux d’habillage du proton, corrigé pour le muon. La série en 1/αn + 1/αn+1 est relative au taux de correction de l’habillage.

Relation entre ξ8 et le facteur de mitose ξ2

Le même nombre de ξ8 électron-positrons en 1D, donne le ratio d’énergie : {coulombienne / gravitationnelle}, selon :

qui se simplifie comme suit :

La convergence entre les deux paramètres de mitose, implique une variable d’ajustement qui est la justification de l’existence du proton :

avec :

Ainsi la cohérence est vérifiée, car en 1 D les ξ3 intervalles radiaux donnent bien ξ4 intervalles tangentiels saturés puisqu’ils sont réduits du facteur ξ. En 2D, ce facteur devient donc celui de la mitose soit ξ2 .

L’aire du BEC-fossile

Les pôles contraires et voisins de la couche présente au point de rebroussement coïncident avec la saturation complète, fusionnent en masquant leurs charges électriques. Ce masquage brise le lien radial et non local de chaque pôle de Bodys. Cette séparation (ou localisation) révèle les masses des pôles (qui ne sont plus annulés dans les Bodys) qui sont devenus des paires électron-positrons. Chaque paire voisine – désaccouplée de son alter ego non local, peut fusionner localement, sans s’annihiler. Si le recouvrement de paires créées localement, provoque leur annihilation, ce n’est pas le cas des pôles ayant subi une séparation par réduction de localité. Auparavant, dans le cadre des Boys, ils avaient une sorte « d’annihilation » en réduisant leur masse au cours du retour au point zéro commun. A ce point, devenu « quasi photons », il retrouve leur potentiel spatial complet. Ce dernier, en se réduisant, leur rend leur masse selon ML = Cte. C’est la raison pour laquelle les pôles voisins de charges contraires – d’origines non locales différentes – ne peuvent s’annihiler.

Vue partielle de l’aire du BEC-fossile, tapissée de paires électron-positrons

Le brusque masquage des charges : de/dt²

Les fusions provoquent un brusque masquage des charges électriques qui génère une forte variation de courant (di/dt) qui relocalise furtivement le lien radial – et donc annihile – une grande partie des pôles de Bodys. Cette annihilation créé des trous sur l’aire du BEC-fossile. Les trous correspondent à la première phase d’élargissement des intervalles qui sera poursuivi par 5 phase de mitose. On a vu que ce facteur d’annihilation 1D (α = 137,03599) est le déclencheur de mitose et donc la pseudo phase un de la mitose.

La première phase d’élargissement des intervalles par annihilation sera suivie de 5 phases d’élargissement par mitose.

Accélération de la fusion

La poursuite de la fusion des paires électron-positrons, forment des protogalaxies (points en jaune ci-dessous) organisées en filaments bordant les trous de l’annihilation. Deux effets contraires sont alors à l’œuvre : a) la poursuite de la fusion par l’attirance coulombienne accentuée par la pression des photons de l’annihilation ; b) la mitose en cours qui tend à élargir les intervalles. Chaque point représente une fusion en protogalaxie, qui sera agrandie par le taux de mitose de facteur 1D = ξ ~1.5×1011. Le rayon des trous (en gris) est 137 fois plus grand que la taille des filaments.

Vue partielle de l’aire du BEC-fossile tapissée de protogalaxies en 2D

Les protogalaxies

Les galaxies se forment au cours des 5 phases de mitose. La galaxie primordiale typique est un trou noir de masse relative à : N = ξ7/ α² paires électron-positrons sur ξ8/ α² en tout. Sur l’aire du BEC-fossile, l’intervalle tangentiel entre les pôles libérés de leur Bodys respectif est réduit à ƛo = ƛe / ξ. Les pôles ont une forme oblong car leur longueur radiale est ξ fois plus grande, soit ƛe. C’est cette anisotropie qui est la cause de la mitose car celle se corrige naturellement après un facteur de mitose de ξ. Ainsi les premiers trous noirs galactiques forment des galettes en 2D dont le rayon est donné par :

Les protogalaxies sont représentées ci-dessus par les points jaunes. L’expansion-mitose transforme cette galette en sphère après avoir parcourue cette distance à vitesse c soit après 7 heures seulement.

Si la forme du trou noir devient une sphère après 7 heures d’expansion-mitose, l’ensemble des BECs hôtes de la galaxie typique, conserve sa forme plate en « galette ». C’est cela qui est la cause des galaxies elliptiques et spirales. Les irrégulières sont les restes de collisions.

Ainsi la mitose divise ce proto trou noir en ξ étoiles de population III. Le trou noir galactique est juste le vestige fossile de sa masse initiale. Il est équivalent à 4 millions de masses solaires, soit un nombre dérisoire face aux 150 milliards de masses solaires lumineuses.

La dualité de la mitose, concerne : a) la masse, fonction de αn ; b) l’espace-temps fonction de ξ². Les pôles des Bodys tissant l’espace-temps, sont ξ3 fois plus nombreux que les pôles devenus des particules massiques car elles viennent d’une couche sur ξ3 .

Après diverses étapes d’explosion-mitoses, les galaxies primordiales laissent la place aux étoiles de générations suivantes, caractérisées par des étoiles moins imposantes. On observe que la taille d’une galaxie moyenne actuelle – via la mitose – est environ ξ fois plus grande que celle occupée sur le BEC-fossile, soit : ~1021 m.

Le ratio de mitose 1D, soit ξ , est commun aux échelles quantiques et cosmiques. Ainsi l’intervalle élémentaire optimal entre Bodys formant le tissu d’espace-temps, devient la longueur de Compton de l’électron.

Ci-après une vue actuelle des filaments de galaxies qui malgré une forte croissance de l’entropie de désordre, reflète en moyenne, les trous de l’annihilation primordiale.

Les 5+1 incréments de mitose

On a vu que le proton est la variable d’ajustement entre les deux paramètres de la mitose selon :

1

Cela veut dire qu’il n’apparaît qu’au terme des 6 incréments de mitose qui correspond au nombre 8 de la suite de Fibonacci, ci-après :

On note que le 8eme incrément arithmétique correspond au nombre 21 de la suite de Fibonacci. Ci-après, le tableau de l’évolution de la variable d’ajustement entre les deux paramètres de la mitose :

b = 2,5+1

On obtient la masse du proton exprimée en unités entières et nues.

Conclusion

La cause de l’existence du proton (base de toute la matière stable) est la conséquence du besoin de convergence des deux paramètres de la mitose, précisés dans la relation 3. Il n’est donc pas étonnant de retrouver partout les traces des nombres de Fibonacci de la mitose primordiale en 5 phases, puisque c’est elle qui a tout généré.

5 réponses

  1. […] c’est la cause du ratio α entre la longueur de Compton et le rayon « classique ». A l’échelle cosmique, c’est la cause des intervalles au centre des filaments de galaxies qui présentent ce même […]

  2. […] est relative à l’annihilation partielle sur l’aire du BEC-fossile. Cette annihilation génère des trous à toutes les échelles encore visibles aujourd’hui. La propagation tangentielle à vitesse c, de la température à […]

  3. […] Cette vue en 2D montre des filaments qui forment les feuillets observés en 3D. En rajoutant les trous causées par les tâches d’annihilation, on retrouve les 5+1 échelles de la loi DUO5. […]

  4. […] de la saturation-fusion-séparation – au point de rebroussement (annulé) – les pôles (+/-) deviennent des paires […]

  5. […] DUO5, la durée de vie moyenne d’un neutron est réglé par le processus de la mitose primordiale effectué en 5+1 […]

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