Force faible (2)

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Force faible (2)

Il convient de rappeler que le modèle standard est juste un modèle mathématique basé uniquement sur les effets. Son approche débouche sur plusieurs absurdités :

1/ conclure à une violation de symétrie alors qu’elle est la clé de la physique de l’univers. C’est juste oublier la contrepartie subquantique, non-locale.

2/ mettre en avant les quarks alors que ce ne sont que des effets induits

3/ négliger la très importante dualité de localité

4/ prétendre l’expliquer par le mécanisme de Higgs, alors qu’il n’est qu’un modèle mathématique descriptif qui élude les causes physiques.

5/ éluder les cause physiques de la masse inertielle.

5/ spécifier un boson particulier pour chacune des forces alors qu’il s’agit toujours du Bodys subquantique.

En revanche le modèle standard décrit bien ses applications et sa portée limitée au noyau atomique.

La spéculation « physique » du mécanisme de Higgs

Comme le modèle standard n’est qu’un modèle, il n’a pas cherché les causes physiques qui confèrent de la masse inertielle aux particules. Dans un premier temps il a conjecturé que les quarks étaient les composants ultimes de la masse. A cette époque on a pudiquement fermé les yeux sur la non compatibilité avec les muons (sans quarks). Puis il a fallu déchanter car les quarks ce sont avérés bien plus légers qu’espéré pour expliquer la masse des protons par exemple. Devant cet échec flagrant, Higgs a spéculé sur un mécanisme qui implique une sorte de mélasse dans laquelle baignent les particules. Ainsi ce serait le taux de pénétration des particules dans la « mélasse » qui donnerait l’illusion de la masse.

Ainsi comme le photon n’a pas de masse (on ne dit pas pourquoi) il aurait une portée « infinie » car se mouvant sans difficulté dans le champ de Higgs. Outre l’absurdité de l’infini, il y a là une autoréférence inadmissible !

C’est le résultat de la « dangereuse efficacité des mathématiques » qui ne fait qu’éluder les causes physiques ! On se croirait au moyen âge !

Voir les 16 erreurs du modèle standard

Les causes physiques de la masse inertielle

Parmi les 16 erreurs du modèle standard, la 6eme porte sur la spéculation qui donnerait un statut universel à toutes les expériences locales. Parmi elles, il y a l’annihilation incontournable d’une paire électron-positron, créée localement. L’école de Copenhague en a tiré la conclusion simpliste qu’il ne pouvait exister une telle paire stabilisée par une séparation causale originelle. On a préféré se baser sur les quarks (qui ne sont que des effets induits) comme élément ultimes « expliquant » la masse. Puis, les années passant, catastrophe !!! On s’est aperçu qu’ils « n’expliquaient » qu’une toute petite partie de la masse. Devant cet échec, on a spéculé sur une mystérieuse « mélasse » qui offrait une « résistance masse » aux particules. Ainsi on a éliminé l’idée que les protons (ou autres comme le muon) pouvait-être composé de paires électron-positrons stables. Si tel avait été le cas, on aurait (peut-être) travaillé le mécanisme séparateur originel. Il y a également cette incompréhension s’agissant de la notion d’inertie, aggravée par l’erreur n°1 (donner un statut physique au zéro absolu des mathématiques). Par définition la loi DUO5 n’est pas un « modèle » car elle s’appuie sur des bases physiques incontournables et notamment sur le paradoxe existentiel relatif à l’inertie. C’est le chemin logico-déductif qui débouche sur le boson subquantique qui unifie toutes les forces.

Pourtant la dualité de localité via la dualité quantique subquantique sont bien présentes :

La force faible via le couplage avec les bosons Bodys

Ci-après, les diagrammes tauon, neutron et muon lors de leurs désintégrations :

Le neutrino (de Majorana) émis dans chacun des cas, est la version quantique d’un Bodys extrait du niveau subquantique. Son oscillation dipolaire, annule les paramètres physiques de ses deux pôles. Tant qu’elle n’est pas perturbée, la masse du neutrino reste strictement au zéro. C’est la raison pour laquelle il se propage comme un photon.

Ci-après un neutron formé de 4 groupes neutres de 230 paires électron-positrons dont les charges son masquées par superposition. Une onde électron célibataire se situe en périphérie. Une onde positron célibataire se situe en retrait. Le tout forme une paire célibataire neutre. Les 4 groupes forment trois intervalles polarisés (3 quarks) par l’influence combinée du positron et de l’électron., Le jeu de ces influences en vient à exclure l’électron.

Selon DUO5, la durée de vie moyenne d’un neutron est réglé par le processus de la mitose primordiale effectué en 5+1 phases.

Ce temps est cohérent avec la moyenne des mesures. Le paramètre te est le temps élémentaire de l’électron.

Ci-après le proton après éjection de l‘électron. La courbure du Bodys subquantique, préfigure la perturbation furtive émise vers le niveau subquantique qui, selon la loi ML=Cte, émet furtivement et par symétrie, un Bodys subquantique sous la forme du boson W. La perturbation vient du réarrangement des polarisations. Il y a notamment la barrière de potentiel externe qui garantit le confinement du positron. On rappelle que la charge du proton est strictement celle du positron.

L’extraction de l’énergie subquantique 1D, au niveau quantique vaut strictement ξ fois celle de l’électron. Voir les rayons cosmiques. Mais quand elle diffuse dans le 2D des couches des particules composites, elle apparaît avec le ratio réduit √ξ . Ainsi on trouve très précisément l’énergie fugace des bosons W et Z.

Le boson de Higgs

Avec les coefficients (2, 3, 5, 8) de la mitose de Fibonacci, on trouve également le boson de Higgs selon :

Autres bosons & assimilés

La particule X17 et le super neutrino répondent également au même facteur √ξ

et

Conclusion

Les trois premiers bosons ont des mesures assez précises qui permettent d’ajouter à la cohérence physique une occurrence numérique précise. En revanche, ce n’est pas le cas pour les deux derniers cas (X17 et super neutrino) qui n’ont pas encore de mesures assez précises pour justifier d’une occurrence numérique suffisante.

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