L’énigme des rayons cosmiques
Révision : le 24/01/2024
Ci-dessus une image d’artiste montrant la Terre bombardées de rayons cosmiques. Le modèle standard s’appuie sur les mesures précises qui indiquent que le rayonnement cosmique est principalement constitué de particules chargées très majoritairement représentées par des protons relativistes. La source de ce rayonnement se situe selon les cas dans le Soleil, ou au centre de notre Galaxie. Certaines particules qui composent le rayonnement cosmique ont une énergie qui dépasse 1020 eV et qui n’est pas expliquée par aucun processus physique identifié par e modèle standard.
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable. IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques (non locaux) et sont devenus – localement à l’échelle quantique – les paires électron-positrons qui selon la loi KOIDE-DUO5, sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.
La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.
La saturation des pôles au centre d’une galaxie
Il est inutile de rajouter des hypothèses (donc des spéculations) aux 5 lois fondamentales, pour solutionner cette énigme. En effet, la loi DUO5 indique clairement qu’une galaxie-type est entourée de ξ BEC-étoiles fortement enchevêtrés et formant halo. On a donc :
a) l’aire du point zéro commun (PZC) d’un BEC a un rayon égale à ξ ƛe (5 cm)
b) l’aire contient donc ξ6 pôles chacun de taille de Planck ℓp
c) l’aire du point zéro commun des ξ BECs est donc saturé
d) comme pour le BEC-fossile des pôles sont libérés à vitesse c au point de rebroussement
e) à la différence du BEC-fossile, cette libération s’établit dans un espace-temps statique
f) ainsi un électron ou un positron à vitesse c sera relativiste dans le halo.
g) comme dans le BEC-fossile, Ces paires fusionnent en protons
h) l’énergie d’un électron au repos, We = 511 keV passe à Wp = 9,38×108 eV pour un proton
i) le ratio relativiste mesuré est ξ fois l’énergie du proton !
L’impulsion subquantique est constante
En tout point radial dans un Bodys, règne la loi M.L = Cte. Cette loi revient également à m v = Cte. En effet, à la sortie du point zéro d’un BEC-fils, le produit mp × vp est également constant puisque car pour mp = me / ξ², on a : v = c ξ². Or quand le BEC-fossile saturé, libère ses pôles séparés, il existe alors une impulsion élémentaire p = me c, qui est la source de l’expansion. Mais comme les BECs de l’espace-temps subissent la même vitesse d’expansion, il n’y a aucun effet relativiste. Mais si un pôle est extrait de l’échelle subquantique avec cette impulsion, dans le cadre d’un espace-temps statique, il y a alors un effet relativiste.
Le facteur de Lorentz
l est donné selon :
Selon cette formule, ce facteur atteindrait l’infini si v = c. Mais la loi DUO5 s’inscrit en faux devant tout paramètre physique infini (hormis les nombres). Cette formule – basée sur les seuls effets et donc ignorant les causes – n’imagine pas l’existence d’un seuil de saturation. Selon la loi DUO5, ce seuil de saturation est donné par le facteur ξ .
Si v = c, alors le maximum d’énergie extractible des Bodys subquantiques est le facteur ξ. Dans un BEC-étoile, ce seuil est atteint par le produit : mps cs² = me c² ξ², avec la masse de Planck subquantique selon :
Au-delà de ce seuil, le chemin subquantique par le point zéro commun des Bodys, est saturé. La vitesse quantique, c est induite par la vitesse subquantique cs :
Les deux cas d’extraction relativiste
a) Extraction dans une particules composite : ce cas concerne l’émergence d’un pôles dans le contexte d’une particule composite telle le proton ou le muon. Dans les deux cas on a des couches 2D empilées et concentriques qui forment majoritairement la partie neutre. Le pôle passe de la dimension subquantique 1D à la dimension 2D de la particule. Ainsi le facteur relativiste ξ devient √ξ comme dans les bosons de jauges et notamment le boson de Higgs :
avec τp le taux d’habillage du proton et :
Avec les coefficients de mitose (2, 3, 5, 8).
b) Extraction directe : ce cas concerne l’émergence d’un pôle devenant un électron (ou u positron) relativiste. Son facteur relativiste reste à sa valeur nominale soit ξ. Au-delà de ce seuil, le facteur de Lorentz ne progresse plus. La valeur maximale mesurée se situe autour de 3,2×1020 eV . Cela se vérifie avec :
Avec P = 1836.15 exprimé en unité électron. Cette valeur maximale est légèrement supérieure à la mesure la plus énergétique à ce jour.
Les protons se désintègrent en gerbes de particules
L’image suivante montre l’arrivée dans la haute atmosphère, de protons relativistes ici limités à 1015eV et instables. Ils forment une gerbe de particules telles que : pions, muons, électrons, positrons. Ce lien inter-particules est établi par la loi KOIDE élargie, proposant une dizaine de relations dont celle-ci :
Conclusion
Le phénomène de saturation du BEC-fossile, concerne vient de la réduction de l’intervalle tangentiel élémentaire. Lors de l’arrêt au point de rebroussement (rayon du BEC), la force de Lorenz qui repoussait mutuellement les charges opposées, est annulée au profit de la force coulombienne. Cela provoque la réaction en chaîne suivante : fusion des pôles voisins (+/–) en protons → annulation des charges → séparation radiale des pôles des Bodys → révélation des masses des pôles (électron-positrons) → poursuite de l’impulsion à vitesse c → mitose-expansion. Mais cette expansion à vitesse c est la même que celle des BECs de l’espace temps. Il n’y a donc pas d’effet relativiste.
En revanche, la saturation du trou noir galactique, revient à une expansion à vitesse c présentant un différentiel avec l’espace-temps statique déjà présent. Ainsi les protons peuvent acquérir le facteur de Lorentz maximum.
46 réponses
[…] centre, reproduit (en beaucoup moins intense) l’extraction de pôles de Bodys sous forme de rayons cosmiques. Comme pour le centre galactique, les champs magnétiques courbent la trajectoires de certaines de […]
[…] subquantique 1D, au niveau quantique vaut strictement ξ fois celle de l’électron. Voir les rayons cosmiques. Mais quand elle diffuse dans le 2D des couches des particules composites, elle apparaît avec le […]
[…] IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques […]
[…] revanche, au centre d’une galaxie hyper-condensée, les pôles sont éjectés depuis le point zéro saturé, directement en mode « électron ou […]
[…] ne permet pas la fuite des BEC-étoiles. Mais on a vu que les rayons cosmiques relativistes émis par les galaxies – qui provoquent en partie de la matière noire – […]
[…] infini ; 2/ c’est la limite haute de l’extraction d’un pôle ; 3/ cela est confirmé dans les rayons cosmiques […]