Liens Univers-cerveau

Created with Sketch.

Liens Univers-cerveau

Réseau cosmique et cerveau humain

Le 16 novembre 2020, la revue américaine Frontiers publiait un article de l’astrophysicien Franco Vazza et du neurochirurgien Alberto Feletti, traitant de la mystérieuse ressemblance entre le cerveau et la structure de l’univers en filament. Il y a notamment le nombre de neurones estimé à environ 70 milliards et le nombre de galaxies, estimé à 100 milliards.

Selon la loi DUO5, le nombre de galaxies primordiales est 1,5 fois plus grand : ξ = 154 milliards, soit environ 2 fois le nombre estimé de neurones.

L’article de la revue américaine Frontiers montre également des similitudes de fluctuations entre le réseau neuronal (1 micromètre à 0,1 mm) et le réseau de la toile cosmique (5 à 500 millions d’années lumière). Cela représente dans les deux cas un ratio de ~100.

Selon la loi DUO5, ce ratio – α =137.03599 – vient de l’annihilation primordiale qui a augmenté l’intervalle élémentaire de ce facteur ! Ainsi la dualité d’échelle est concernée par : a) le rayon classique de l’électron qui a augmenté à sa longueur de Compton ; b) le ratio trou-filament observé à l’échelle cosmique.

L’article de Franco Vazza, estime que le volume du cerveau (1,35 ×10-3 m3) a une proportion utile de neurones d’environ 2/3, soit : Vn ~ (9 ×10-4 m3) . Selon la loi DUO5, toute la matière a été formée en 2D sur l’aire du  BEC-fossile. Ainsi, l’annihilation primordiale a créé des trous de ratio : α =137,0359 à l’échelle quantique et cosmique. Or ce ratio a été conservé au fur et à mesure des fusions (paires électron-positrons → protons → nuages d’hydrogène → étoiles → galaxies) pour figurer à l’échelle cosmique. Le même ratio α, existe entre la longueur d’onde de Compton de l’électron et son « rayon classique ». Les neurones (comme toute la matière) – composés de paires électron-positrons – ne dérogent pas à cette règle.

Les trous de ratio α =137.035999 à l’échelle cosmique

Bien que la structure actuelle ait subi des altérations, elle reproduit encore l’image initiale sur l’aire du BEC-fossile.

Densité de Bodys dans un BEC-fils ou BEC-étoile

Dans un BEC, la densité de Bodys est de :

Selon la loi  DUO5, toute la matière est couplée aux Bodys tissant l’espace-temps. Par exemple, la structure physique locale du muon (en unité électron) est forcée par l’information non locale relative au logarithme du nombre des ξ8 Bodys présents sur l’aire du BEC-fossile, avant annihilation. Cela donne la partie entière et nue des 103 paires électron-positrons, soit 206 éléments hors l’élément célibataire qui donne la charge :

Le coefficient k = 1+1/1841 confirme l’influence mutuelle des particules et notamment entre le muon et le proton. La précision atteint un σ > 6. Le nombre de Bodys baignant dans le volume des neurones Vn ~ (9 ×10-4 m3) est lié au ratio ξ3 selon :

Ce ratio ξ3 est celui qui existe entre le rayon du PZC (point zéro commun) d’un BEC-étoile et celui du « point de Planck » qui caractérise la taille des pôles, serrés dans le volume du PZC. Ce volume contient ξ9 Bodys soit le nombre total de Bodys oscillant en ξ3 couches et formant un BEC-étoile !

Point zéro commun du BEC

Le volume du « point zéro commun » du BEC (Vo = 890,97 cm3), donné par :

s’avère très proche du volume utile du cerveau humain, soit Vn ~ (9 ×10-4 m3) . En revanche, le nombre de galaxies initiales, déterminée par ξ = 1.54×1011 est environ 2 fois plus nombreux que le nombre de neurones, estimé à 70 milliards (0.7×1011). Il faut rappeler que le couplage des Bodys subquantiques, se révèle également dans l’expérience de l’intrication de l’état des spins, par sa causalité non locale. Mais espérer communiquer par le canal subquantique, reste spéculatif. Cependant, comme toute la matière est issue des Bodys subquantiques, il est normal de trouver certaines occurrences entre le tissu d’espace-temps et la matière, qu’elle soit inerte ou vivante.

Synchronisation réussie du BEC-fossile

Pour qu’un candidat BEC-fossile puisse se comporter comme on peut l’observer, chaque Bodys candidat à la synchronisation, doit converger vers le ratio ξ5 = {amplitude/épaisseur} . Le brassage de la matrice univers fournit un nombre incalculable de tirages variant les combinaisons aléatoires. Mais comme le temps ne s’écoule pas (encore) alors la probabilité d’approcher ce facteur devient unitaire.

Par définition, un facteur obtenu aléatoirement, ne peut en aucun cas présenter une erreur strictement égale au zéro absolu. Ainsi l’ajustement des paramètres fins de l’univers, se fera en plusieurs autres étapes par compensations mutuelles. C’est la cause profonde du taux d’habillage des particules. Par exemple, selon la loi KOIDE élargie, le proton mesuré à 1836.15 électrons habillés contient 1840 unités électrons nus et un positron confiné. Le muon, mesuré à 206,76 unités habillées mesurées, en contient 207 unités entières et nues.

Le facteur universel ξ5 {amplitude/épaisseur} est la clé pour obtenir un BEC-fossile non stérile, apte à entrer en mitose. Ainsi son logarithme en base 5, s’avère fertile relativement aux occurrences avec les particules de matière. Selon la loi KOIDE élargie on obtient :

avec le coefficient :

qui représente le taux d’erreur admissible cohérente avec une mitose fractale idéale 25. Le coefficient Φ = 23 est intimement lié au muon et au proton. Ce dernier est la variable d’ajustement entre les deux facteurs de mitose qui sont forcés de converger. De la même manière, on obtient la masse du muon exprimée en unités entières « électrons nus » :

On rappelle que la loi KOIDE élargie, prouve que toutes les particules composites chargées se présentent avec n couches neutres + un électron ou positron célibataire qui donne la charge élémentaire. Les quarks ne sont que des effets relatifs aux interactions entre les intervalles polarisés et le positron (ou électron) célibataire et confiné.

Les 23 chromosomes humain

La loi KOIDE élargie, montre l’universalité du nombre Φ = 23 directement lié à la suite de Fibonacci relatifs aux 5 étapes de mitose (1, 2, 3, 5, 8). Par exemple, via la loi KOIDE élargie, on obtient la masse neutre du proton 1840 unités nues entières contre 1835.15 mesurés en unité électron habillé) selon :

ou avec la factorielle de 5 :

Le facteur Φ = 23 – 10eme nombre premier – est le résultat de plusieurs relations exactes telles que :

Sa source est issue du facteur ξ5 universel et du proton (en unité électron nu :

Avec un coefficient d’erreur de l’ordre de : 1,00052. L’existence de ce taux d’erreur est attendu puisque que le hasard ne saurait aboutir à une erreur égale au zéro absolu.

Dualité & Quintessence par la mitose de l’Univers

Comme on l’a vu, avec un nombre incalculable de tirages aléatoires, ouvre une probabilité unitaire pour créer un BEC-fossile. Mais la loi du hasard, ne peut que donner une hyper grande majorité de BECs stériles. Une Bulle-Univers non stérile, dépend de l’approche du facteur ξ5 qui amorce la mitose fractale avec les nombres de Fibonacci dans lesquels 2 et 5, jouent un rôle prépondérant. Or il existe une variante de la suite de Fibonacci – respectant la règle où chaque rang est la somme des 2 rangs précédents – où apparaît le nombre 23 au rang (5+1) de la mitose fractale, selon :

Comme pour la suite de Fibonacci, elle converge à l’infini, au nombre d’OR :

et

Le nombre 208 concerne l’apparition du neutrino muonique (206) accompagné du neutrino électronique (2). Toutes ces relations exactes (et les nombreuses autres montrées dans KOIDE) sont relatives aux 5 chiffres de la mitose fractale (1, 2, 3, 5, 8).

La cause de la mitose du vivant est une énigme non résolue en médecine. Les 23 chromosomes, sont directement liés à la dualité intrinsèque de l’univers transmise à la morphologie de tous les vivants (organes, double hélice de l’ADN, etc..). La quintessence héritée de la mitose (BIG BANG), amène les 5 doigts, les 5 parties du corps les 5 composants de l’ADN : Adénine, Thymine, Guanine, Cytosine, Base azotée et les 5 éléments propres à la vie : Hydrogène, Carbone, Azote, Oxygène et Eau.

Taille du cerveau = point zéro commun d’un BEC

Ci-après le point zéro d’un BEC-étoile. Son rayon lui confère un volume de 900 cm3 . Or cette valeur est proche du volume moyen du cerveau d’homo-erectus.

Le point zéro commun est une sorte de centre nerveux de gestion des pôles de Bodys. L’information d’état de spin, de la médiation des photons, etc… passe par ce centre.

Le noyau d’un neurone ressemble au noyau d’un proton.

La dualité structurelle du cerveau est évidente

La non localité est largement mesurée

1/ la décélération anormale des sondes Pioneer. Dans cet article au chapitre « étude de l’anomalie » , les auteurs confirment que les sondes Pioneer ralentissent mystérieusement avec un gamma de 8,741 ×10-10 m/s².

2/ Les observations récentes de WEBB nous indiquent que les galaxies primordiales se sont formées bien plus rapidement que le calcul ne le laissait entrevoir.

3/ De nombreuses expériences confirment que l’intrication des spins reste en relation bien au-delà de la causalité relative à la vitesse de la lumière.

4/ Schrödinger a introduit l’idée de la « réduction du paquet d’ondes » qui sous-tend une dualité de localité qui implique une dualité : {quantique ↔ subquantique}.

5/ L’effet tunnel qui selon Hartman, implique une vitesse supraluminique.

6/ le mystère de la médiation des photons à vitesse constante c, qui est très bien décrite mais non expliquée.

7/ la température énigmatique de la couronne solaire.

8/ la matière noire de même source que les rayons cosmiques et de l‘excès de positrons

Conclusion

Le déterminisme de l’état stochastique de l’univers, est né du paradoxe existentiel relatif à l’impossible zéro absolu pour l’inertie. La Nature – consubstantielle à la dualité oscillante – est forcée de se contenter du zéro symétrique pour annuler les paramètres physiques dans le référentiel extérieur aux Bodys. A ce premier paradoxe, suit le paradoxe de survie. En effet, la synchronisation d’un BEC (à basse entropie de désordre) se nourrit de Bodys stochastiques présentant une entropie de désordre qui tend vers l’infini. Il y a ainsi, une sorte de « pré-conscience » motivée par le paradoxe du danger extérieur qui nourrit tout en cherchant à désorganiser. C’est la dualité {interne ↔ externe}. Selon DUO5, l’apparition des premières cellules vivantes sur Terre, ressemble à la naissance du BEC-fossile. C’est le paradoxe du brassage intense de l’écume des océans sur les rochers. Cette haute entropie de désordre (ou informationnelle) est ultra riche de potentiels de combinaisons moléculaires, aptes à la vie. Mais leur apparition est aussitôt détruite par le brassage. Avec la dualité entre la stabilité offerte par les microfissures des roches côtières, et ce brassage, une probabilité non nulle apparaît pour figer une des combinaisons moléculaires qui serait en adéquation avec la forme et la taille de la microfissure hôte. Ainsi ces « nids de vie » primitifs continuent à être nourrit par les éléments apportés par la fougue des écumes. La statistique offre une probabilité non nulle à une part infime, de se développer et de saturer. Statistiquement cette saturation est majoritairement stérile mais il reste une probabilité pour amorcer une mitose. Cette mitose s’expose encore plus au danger du désordre externe mais une petite fraction réussit à se développer. Ainsi l’exposition à l’entropie extérieure apporte des erreurs dont la conséquence est majoritairement l’extinction. Mais là encore, il reste un petit potentiel pour qui l’erreur coïncide avec une évolution non stérile adaptative aux changement du milieu.

7 réponses

  1. Dans la matrice-univers-stochastique ou « omnivers », il règne un désordre qui tend vers l’infini. Le paradoxe de ce brassage aléatoire est qu’il possède un entropie informationnelle énorme sans pour autant contenir la moindre information ordonnée.
    Il n’y a donc pas de « conscience » innée si ce n’est le déterminisme de la Nature qui consiste à chercher l’impossible « zéro absolu » en matière d’inertie. Comme la dualité est consubstantielle à la Nature, alors elle l’utilise sous forme d’oscillateurs dipolaires, où chacun permet un zéro parfait mais de type symétrique. Mais même dans le confinement de chaque dipôle, la nature continue de chercher l’impossible zéro absolu.

    D’où le brassage éternel.

    D’accord avec vous s’agissant d’ordonner l’entropie informationnelle pour chercher à obtenir une société la plus équilibrée possible. Mais attention à ne pas confondre ce type d’entropie sociétale avec celui relatif à la dégradation de l’entropie de désordre cosmique qui tend naturellement vers le retour à la matrice stochastique.

    • paradigm dit :

      « Une précision concernant le concept d’information. Ce concept est ici entendu dans une perspective ontonomique absolue, ce qui signifie que le concept ne correspond pas exactement à celui d’information phénoménale considéré habituellement, par exemple, dans la théorie de l’information d’un shannon et weaver. Ainsi, l’information ontonomique se situe avant les notions d’entropie et de néguentropie. L’onton ne lutte pas contre un désordre, il ne fait que se différencier du nihil. L’information ontonomique n’a donc aucun rapport avec la thermodynamique, ni avec les questions de probabilité/improbabilité. Toutefois, tout comme l’information shannonienne, l’information ontonomique peut être quantifiée, c’est le déploiement informationnel des niveaux ontonomiques à partir de l’onton unique. Déjà, en théorie classique de l’information il ne faut pas confondre l’information et son support matériel (l’information n’est pas les caractères alphabétiques et numériques imprimés dans le journal, les bits gravés sur le cédérom ou les ondes sonores du tam-tam). L’information est un événement ou une succession d’événements (chaque caractère imprimé du journal est un événement perceptif pour le lecteur et c’est l’apparition et la succession des caractères qui forment l’information, il en est de même pour le cédérom ou le tam-tam). En ce qui concerne l’information ontonomique, c’est pire ! Cette information se situe avant même tout support matériel. En soi, elle est sans support, puisqu’elle est elle même à l’origine de tout support. Concevoir l’information ontonomique consiste à réaliser une gymnastique intellectuelle qui va abstraire les ontons et les nihils de tout support et de toute autre chose… »

    • S’agissant de comprendre la physique fondamentale de l’univers, la loi DUO5 va largement au-delà de l’ontonomie puisque son préalable est d’éviter tout « concept descriptif » ou toute hypothèse, en identifiant 5 lois physiques fondamentales dont il est prouvé qu’elles sont la sources des lois physiques connues. De plus, l’exigence est poussée jusqu’à résoudre et expliquer – sur la seule base de ces 5 lois – la centaine d’énigmes qui rongent le modèle standard. En résumé : a) pas d’hypothèse ; b) exigence de résoudre les énigmes standards. On est loin de l’ontonomie qui permet de concevoir des applications et non des explications ! Le paradoxe existentiel est bien relatif à l’entropie de désordre qui est différente de l’entropie thermodynamique. Certes il reste la difficulté sémantique car elle est très influencée par la religion et les absolus ! La sémantique est difficile car par exemple le mot « information » au sens de Shannon n’est pas tout à fait adapté à DUO5. Selon DUO5, Le concept « d’absence de support », ou le « zéro support » tombe dans le piège classique des absolus. En revanche, le zéro de type symétrique de chacun des Bodys stochastiques (nombre infini), est à la fois le support ET l’information sous la forme d’une infinité de fréquences. Encore une fois, l’informatique et sa théorie ontonomique, n’ont pas quitté les valeurs absolues issues de la religion. L’humain a hérité de « sa mère univers » dans sa dualité intrinsèque où des rêves de bonheur absolu impossible, jouxtent avec la dure réalité imparfaite. Merci pour ce débat contradictoire.

    • paradigm dit :

      De rien ! Rien de tel qu’un débat contradictoire pour secouer les méninges et éclairer les esprits. C’était comme un tour de montagnes russes intellectuelles, non ?🤭
      Votre modèle des bodys me font penser à celui des univers des âmes collectives ( selon les ummites nos amis venu d’ailleurs ) qu’à celui où sont logé l’âme ou la conscience…

      univers des âmes collectives : Le WAAM-BB est de masse nulle, la lumière n’y aurait pas de vitesse. Il est dépourvu d’anti-cosmos (il est lui même son anti-cosmos). Il est dépourvu de masse (réelle ou imaginaire). Toutes ses particules sont annulées c’est à dire que son réseau d’IBOZOO UU est un réseau statique qui ne constitue ni temps, ni masse, ni longueur, ni moment, etc… au point que parler de la vitesse d’un mobile en son sein n’a pas de sens. Exprimé de façon philosophique, ce WAAM EXISTE et N’EXISTE PAS.
      Le WAAM-BB est adimentionnel et éternel.

      – C’est sans aucun doute l’univers le plus important de la création de WOA (« Générateur » ou « Dieu »).

      – C’est un univers singulier relié aux autres WAAM (univers). Cet univers n’est pas accessible physiquement, mais les Ummites savent qu’il existe et connaissent un certain nombre de ses caractéristiques.

      – Les êtres pensants de notre univers sont les « capteurs » en sensations, sentiments, peurs, rêves, haines, amour, étonnement, plaisir, etc… de leur cellule du WAAM-BB, ainsi que du WAAM-B.

      Tout cela est interconnecté …

      – Le WAAM-BB, comme le cerveau des êtres vivants, a une fonction de traitement de l’information (au sens d’élaborer, de combiner, de créer des données)

      – Le WAAM-BB est une matrice de formes ainsi qu’une matrice de comportements (comportements déterminés par les âmes des êtres pensants ayant vécu antérieurement).

      – Le WAAM-BB non seulement mémorise et traite les patterns intellectuels et émotionnels des êtres vivants… mais encore il dirige l’évolution des êtres vivants. Cette évolution est gérée par les mutations et la sélection du milieu, non pas de façon sauvage et aveugle comme le pensent les scientifiques terrestres, mais modulée et dirigée par l’intermédiaire d’une chaine d’atome transmetrice (« BAYODU ») située aux 2 extrémités de l’ADN.

      – Le WAAM-BB est divisé en « enceintes » qui n’ont pas de relations entre elles. Chaque enceinte correspond à une planète sur laquelle est apparue la vie… Mais les Ummites disent qu’en fait ils n’ont pas de certitude sur ce point.

      – Chacune des « enceintes » de ce WAAM-BB est en communication avec chacune des espèces et donne « l’ordre », quand il est nécessaire, d’une mutation nécessaire, déjà « pré-programmée » dans les BAYODU.

      – Le BAYODU relie le génome de tout être vivant au WAAM-BB . Ce réseau d’atomes de krypton a une double fonction : En premier lieu il emmagasine, depuis la création de l’univers, au sein des êtres vivants, une information codée émanant de tous les êtres organiques qui le composent. Et en second lieu il capte l’information du milieu écologique environnant et la compare avec celle citée précédemment. Ce BAYODU dispose, en mémoire, d’un codage de potentialité d’évolution. Jusqu’à 18 millions de mutations potentielles peuvent être « activées » par le WAAM-BB, à chaque noeud d’un réseau d’évolution. C’est le WAAM-BB qui engendre en retour la conception de toute chose.

      – Le WAAM BB abrite les diverses âmes ou esprits de tous les êtres décédés de notre univers.

      – Il s’agit d’une psyché collective, mais jusqu’à présent les Ummites ne savent pas si l’interconnexion entre ces différentes consciences planétaires est possible.

      – Le WAAM-BB explique : La conscience collective entre les hommes d’une même humanité, les sentiments collectifs d’un réseau social, la survie après la mort, la psyché collective contenant l’information qui module l’évolution biologique sur chaque planète, la communication que vous nommez extrasensorielle entre les organismes vivants.

      l’univers où sont logé nos âmes:
      Le WAAM-B a une masse infinie qui se divise de façon égale en masse de matière et masse d’antimatière. Son rayon est constant. La vitesse du photon y est infinie.

      – Il n’y existe aucune galaxie, planète, animal ou végétal.

      – Le WAAM-B ressemblerait à une éponge avec une multitude de cellules, chaque cellule (réseau pur d’IBOZOO UU) est une âme.

      – Si nous pouvions « voir » ou pénétrer dans cet univers si étrange, nous apercevrions un conglomérat de filaments et de nodules flottants dans l’espace.

      – Par les nodules et filaments entrant en vibration, le WAAM-B a une capacité d’information. Ce réseau hyperspatial complexe possède les fonctions de stockage de l’information et de traitement des données.

      – Nous disposons dans notre cerveau d’un réseau d’atomes de krypton (mais d’autres types d’atome auraient pu convenir) appelés OEMBUAW, dont le rôle est de transmettre les informations entre le cerveau et l’âme qui, pour les Ummites, n’est pas située dans le cerveau mais dans ce WAAM-B.

      – Le WAAM-B intègre tout ce que captent nos sens, qui lui est retransmis depuis notre cerveau (par l’intermédiaire de l’OEMBUAW). Grâce au WAAM-B, l’Univers voit et ressent la vie à travers les êtres vivants, qui sont comme des « capteurs » de l’univers.

      – Cet univers encode tous les processus mentaux et dirige la conduite des êtres pensant (humains, ummites et autres). C’est en cela que l’on peut dire que le siège de l’âme n’est pas dans le cerveau, mais dans le WAAM-B.

    • Ma théorie DUO5 faite de Bodys n’est pas un modèle (construit avec les prémisses hypothétiques) mais la déclinaison de 5 lois physiques fondamentales dont il est prouvé qu’elles sont à la source des toutes les lois connues. De plus elle a l’exigence de résoudre la centaine d’énigmes que les chantres du modèle standards n’ont même pas recensées. Ce niveau d’exigence est inédit, y compris pou les théories spéculatives relatives aux Ummites.

      Cependant il y a en effet des ressemblances approximatives car l’expression statistique consubstantielle à l’oscillation aléatoire, ne peut-être statique.

      Si les Ummites existaient, ils auraient communiqué la longue liste de la résolutions des énigmes. En poussant loin les conséquences des lois statistiques, DUO5 prouve qu’il n’y a pas de multivers.

      Les êtres pensants de notre univers sont les héritiers des nombreuses caractéristiques de la mère-univers, déterminisme, mitose, dualité, symétrie, etc..

      Moi qui lutte depuis 30 ans contre toutes les spéculations, comprenez que je ne puisse adhérer à aucune croyance, même celle que vous décrivez à des points de ressemblance.
      Bien à vous

  2. Le bodys subquantique est hérité de l’onde pilote de BOHM pour laquelle BELL a dit : « comment se fait-il que l’on ne m’en a parlé avant ? ». Mais plus fondamentalement, c’est la déclinaison physique normale du paradoxe existentiel que j’ai développé dans ce site. Je vous renvoie donc à cet article.
    Cordialement

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.