BEC-étoile et espace-temps

Point de rebroussement
La cause de la mitose du BEC-fossile relève de deux facteurs :
1/ l’anisotropie des intervalles entre Bodys. En effet, l’intervalle radial unitaire pour les ξ3 couches – fixé à ƛe – est ξ fois plus grand que l’intervalle tangentiel critique ƛo. En effet, la saturation s’exerce sur la densité surfacique des couches.
2/ la fusion des pôles de Bodys voisins de la couche externe. Cette fusion revient à superposer (annuler) les charges, ce qui brise le lien non local entre les deux pôles des Bodys concernés. Cela révèle leur libre impulsion radiale. Les pôles (+; –) deviennent des paires électron-positrons, dotées d’un couplage avec les Bodys des ξ3 autres couches. Ce taux de couplage (0.0026) est le lien indéfectible entre la matière et l’espace-temps. Par exemple, l’état de spin d’un électron est à la fois local et non local. Cela est avéré dans l’expérience relative à l’intrication des spins.
Force attractive de Coulomb
Dans le court instant de l’arrêt du point de rebroussement, les pôles voisins subissent une force attractive. Mais l’intervalle tangentiel est devenu ξ fois plus grand pour atteindre ƛe., la longueur d’on de Compton de l’électron. Comme cette force varie au carré de l’intervalle, elle est donc réduite du facteur ξ².

L’accélération tangentielle est donnée par :

Ce qui permet de donner l’infime inflexion spatiale durant le temps d’arrêt dt.

Valeur négligeable en regard de ƛe = 3.86×10–13 m. Ainsi, les Bodys des BEC-étoiles, résultant de la mitose, conservent leur écartement, y compris à l’arrêt du point de rebroussement.
Haute densité au centre des galaxies
On observe souvent un énorme trou noir au centre des galaxies. Les étoiles du centre ont fusionné sous l’effet de la gravitation. Cela veut dire que le taux d’enchevêtrement de leur BEC-hôte se trouve quasiment en état de superposition. Ce n’est pas le cas pour la moyenne de l’ensemble d’une galaxie dont le taux d’enchevêtrement se situe vers 1/3. En effet, le rayon visible d’une galaxie est de 50 000 milles années-lumière (50 kyl) alors que la loi DUO√5 fixe le rayon d’un BEC à 150 000 kyl. Cela est confirmé par les mesures du rayon du halo des galaxies qui avoisine les 200 kyl = 150kyl + 50 kyl .
La circonférence d’un BEC ( ξ3 ƛe ) contient ξ3 pôles espacés chacun de ƛe . Comme le Point Zéro Commun (PZC) doit contenir le même nombre ( ξ3 pôles), l’intervalle est contraint à la longueur de Planck lp. Il vient le rayon du PZC = RZ = ξ ƛe = 0,05969 m. A la sortie du PZC, l’intervalle tangentiel est égal à l’épaisseur d’un Bodys. La masse d’u pôle vaut alors : mo = me / ξ3 et sa vitesse co = c ξ2 . Cela revient à une énergie : wo = me c² ξ . Ainsi, si n Bodys se trouvent superposés à un taux proche de 100%, les pôles voisins superposent leur charges contraires ce qui les annulent. Cela revient à libérer des pôles avec une énergie ξ fois celle d’un électron. Or après fusion en protons, les mesures indiquent que l’énergie des rayons cosmiques saturent justement à ξ fois l’énergie de masse d’un proton (1.5×1020 eV).
Rayons cosmiques et matière noire
Si une partie de ces rayons cosmiques, arrive sur Terre, une majorité est piégée dans les lignes de champ magnétique. Cela tend à réunir les pôles séparés. Si les pôles opposés forment un angle 180° et se percutent, alors il y a annihilation à 100% par relocalisation totale. Mais ce cas est rare car la plupart des rencontres se font avec un angle < 180°. Ainsi la relocalisation est partielle. De ce fait l’annihilation affecte l’intégrité d’une paire électron-positron, qui devient une paire dégénérée. Ces paires ne pouvant plus fusionner en protons se présentent sous la forme de gaz noir. C’est la cause de la matière noire (DM). Elle forme des étoiles noires qui migrent en dehors de la galaxie en entrainant des BECs. Ces nombreux BECs noirs, forment l’espace-temps inter galactique avec un faible taux d’enchevêtrement. C’est la raison pour laquelle l’expansion est limitée au milieu inter-galactique. Les photons passent d’un BEC à l’autre via leur point zéro.
Conclusion
Ce que le modèle standard nomme le « vide » est en fait un enchevêtrement de BEC ayant deux taux de superposition : 1/ le taux élevé des galaxies, relatif au fort couplage {BEC} ↔ {matière visible} puisque cette dernière est à forte densité ; 2/ le faible taux intergalactique relatif à la faible densité de ce milieu et accentué par le fait que le taux de couplage de la DM, est faible. Le couplage {BEC} ↔ {matière visible} est dérivé de celui propre aux Bodys. Ce couplage est le vecteur de la force gravitationnelle. La concentration de masse influe sur la concentration de BECs. Cela donne l’explication de la cause physique de la courbure de l’espace-temps, très bien décrite par l’approche mathématique d’Einstein basée sur l’équivalence entre la courbure et la densité d’énergie.

Cette cause physique qui découle directement de la mitose du BEC-fossile, explique directement: 1/ la cause de l’expansion ; 2/ la cause de sa seule expression au niveau des BECs intergalactiques ; 3/ la médiation des photons via les points zéros des BECs ; 4/ la cause des rayons cosmiques; 5/ la cause de leur limitation à 1020 eV ; 6/ la cause de la matière noire ; 7/ la cause de l’accélération (locale) de l’expansion ; 8/ la cause de la légère anisotropie de cette expansion ; 9/ la structure (BECs) et la taille des halos autour des galaxies ; 10/ la cause du cisaillement observé de DM à ces limites qui est relative au brusque changement de densité de BECs.
Une réponse
[…] matière}. La matière noire s’évade car son couplage aux BECs est faible. On a vu que la superposition des BECs du centre galactique amenait à saturer les pôles de Bodys. Cela provoque l’éjection de pôles relativistes […]