Les dessous du neutrino

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Les dessous du neutrino

1/ Approche du modèle standard

Le modèle standard considère la désintégration du neutron, selon le diagramme de Feynman qui implique une commutation des quarks. Sous l’action du boson de jauge W, un électron et un anti-neutrino sont créés. Le modèle standard justifie l’anti-neutrino par la règle empirique de la conservation du nombre leptonique. Le modèle standard décrit ce phénomène mesuré localement sans tenir compte de la dualité de localité. Il y a une très grave confusion entre « toutes les localités sont identiques » et la « non localité » empreinte de séparation causale. Cette confusion entraîne l’incohérence d’une « création » d’un électron en totale asymétrie avec celle d’un positron.

le diagramme de Feynman décrit les effets sans en expliquer les causes

Fondamentalement, c’est tout le langage qui est inadapté. Par exemple :

1/ le terme « création » d’un électron serait utilement remplacé par « extraction subquantique ».

2/ le principe de conservation du nombre leptonique ne saurait remplacer celui relatif à la symétrie électron-positron, même si le second est toujours confiné. Le terme de « principe » (mot édulcoré pour « spéculation »), ne saurait remplacer la loi physique de symétrie,

3/ l’hypothèse ouverte du neutrino de type Majorana est incohérente avec le principe de conservation du nombre leptonique.

4/ le terme « d’antiparticule » relève d’une notion ancienne et mystique où il y aurait des « élus purs » faisant face à des êtres « impurs ». Il n’y a pas d’antiparticules mais juste une mauvaise interprétation de la « création » locale. Celle-ci génère un type de symétrie non généralisable à la séparation originelle non locale qui confère la stabilité au proton. Si une paire électron-positron « créée » localement est instable, l’existence d’électrons stables montre sans conteste qu’il existe une « création non locale » qui apporte la stabilité des électrons et des protons via une opération de réduction de localité qui revient à une séparation causale.

5/ la non prise en compte de la dichotomie entre d’une part, les deux seules particules stables (électron-proton) et d’autre part, toutes les autres. Ignorer le lien fondamental entre la stabilité est la non localité relative à l’opération de « création ». Il ne suffit pas d’évoquer l’équivalence énergie-masse, il faut expliquer d’où viennent les particules.

6/ le fait d’éluder le lien fondamental entre la stabilité et la non localité relative à l’opération de « création ».

7/ la difficulté ambiante d’admettre la dualité de localité alors qu’elle est largement vérifiée par : a) l’action « fantôme » relative à l’intrication conservée au-delà de la causalité relative à la vitesse de la lumière ; b) la réduction du paquet d’ondes ; c) l’effet tunnel.

8/ considérer les quarks comme entités fondamentales sans justification physique, d’autant plus qu’ils sont typiquement instables à l’état libre. Éluder l’hypothèse d’une matérialisation des quarks par induction des polarisations internes.

9/ le fait d’éluder la cause physique du boson de jauge W, inclut dans la théorie de l’interaction faible qui se borne à décrire des effets locaux, effectivement bien mesurés mais non physiquement expliqués.

10/ le fait d’éluder que les particules virtuelles sont à la fois le signe du couplage (perturbatif) des particules massiques et leur habillage. Cela implique que si la masse mesurée de l’électron est habillée, il existe donc une masse nue.

11/ le fait d’éluder que la charge électrique du proton est strictement celle d’un positron.

12/ l’erreur de considérer le positron comme étant irrémédiablement instable alors que son statut le condamne à rester confiné dans les particules composites.

13/ l’erreur de chercher une masse précise au neutrino alors que cette dernière varie de zéro à une valeur relative à son degré de perturbation (asymétrie).

Ci-après la désintégration d’un proton relativiste qui aboutit à la parité des charges. Sous les aspects proton, muon ou méson, il y a autant de positrons (confinés ou pas) que d’électrons (confinés ou pas). Cette parité se décompose en groupes neutres (majoritaire) des particules composites et en unités célibataires confinées mais trahies par leur charge.

le proton relativiste (+) donne au final une parité de charges en plus de la conservation de sa propre charge. Cette symétrie des charges est toujours respectée. Le soit-disant excès de positrons dans les rayons cosmiques n’en est pas un selon DUO5.

2/ Approche de la loi DUO5

Typiquement l’approche DUO5 s’appuie sur les lois physiques originelles et fondamentales relatives à la clé existentielle des paramètres M L T ou continuum masse-espace-temps. La clé est l’obtention d’un zéro symétrique par oscillation duale, à défaut de l’impossible zéro absolu. Puis en descendant dans la complexité, la loi DUO5 s’applique à montrer les occurrences logiques et numériques avec les mesures. Cette démarche évite les mauvaises interprétations relatives aux seules mesures locales. Ainsi, la loi DUO5 qui inclut la loi KOIDE élargie, montre que le proton est composé de 1840 unités nues et neutres + 1 positron célibataire qui lui confère sa charge.

A toutes les étapes et échelles de l’univers, tout est gouverné par la notion de masquage. Le masquage M L T Q par opposition et le masquage Q par superposition. Même l’allure de la force forte est cohérente à la brusque disparition de la force dès que la superposition des charges est actée. Tout début de démasquage des charges (d très petit) commence par une force très forte pour deux raisons : a) le surfaces libérées des charges augmente en mode r² ; b) la force varie en 1/ d².

Le neutron

La loi KOIDE élargie montre les liens exactes existants entre ces 8 particules :

La loi KOIDE élargie montre que le neutron est composé de 1840 unités neutres + 1 paire, soit 1842 unités nues. Comme il est mesuré à 1838.68 unités électron habillé, son taux de couplage (perturbation par asymétrie des Bodys) est de : 1.00289. De plus, l’atome d’hydrogène (proton + électron) est en liaison avec les parties neutres du muon et du tauon.

La durée de vie du neutron – mesurée à 880.31 secondes – s’exprime en fonction du temps élémentaire du Bodys et donc de l’électron (te) , soit :

Avec β = α²/2 et τp = 1841 / P. L’ordre (5+1) vient des 5 étapes d’élargissement par mitose + celle de l’annihilation primordiale. Le produit avec le temps élémentaire te , montre que la durée de vie est contrainte par l’extraction subquantique du boson W, qui n’est autre qu’un Bodys.

Le boson W

Le couplage du neutron est de type 1D/2D car ses couches sont sphériques alors que le canal vers le Bodys a une seule dimension. De ce fait l’énergie du Bodys ξ fois plus élevée qu’un électron, apparaît sous la forme du W dans le proton comme la racine carrée de ξ.

avec :

Dans laquelle k5 est le coefficient d’erreur entre le facteur aléatoire ξ² et la mitose idéale représentée par 25. Le neutrino (de Majorana) est une extraction d’un Bodys via le boson W. L’habillage du neutron : 1842/1838.68 = 1.00180363 est plus faible que celui du proton : 1841/1836.15 = 1.0026399. La loi DUO5 montre que la stabilité du proton est relative à ce fort couplage.

3/ Le neutrino

Le modèle standard cherche à trouver une masse fixe au neutrino > 0, ce qui est incohérent avec sa vitesse c. Selon la loi DUO5, L’apparition furtive du boson de jauge W permet de changer le statut de masquage :

a) particules massiques instables : superposition de couches sphériques ne masquant que les charges pour la partie neutre majoritaire.

b) neutrino sans masse : masquage par opposition symétrique (charge et masse) comme un Bodys. C’est une sorte de Bodys transversal générant une symétrie miroir.

Le type neutrino est une variété bosonique de type Majorana oscillant entre les niveaux quantiques et subquantiques. Le passage à zéro de sa masse Mo, est une sorte d’annihilation confinée. Mais la loi ML = Cte, relance son amplitude L. Dans son référentiel extérieur, sa symétrie dipolaire permet aux deux masses opposées de s’annuler parfaitement (hors perturbation).

échelle quantique

échelle subquantique

Conclusion

La classification empirique des leptons du modèle standard, débouche sur un faisceau d’énigmes dès que l’on approche des neutrinos. Le principe de « conservation leptonique » est antinomique de la fondamentale règle de symétrie. Les neutrinos sont ici confirmés comme étant une variété bosonique de Majorana. Pour évoquer la masse du neutrino, il faut faire appel à la notion de perturbation. Cette perturbation affecte la symétrie de masquage par opposition, exactement comme le Bodys. Ainsi la masse du neutrino « non perturbé » est strictement nulle.

Une réponse

  1. […] sont utilisés dans la définition des 5 premières particules. Il faut rappeler que les bosons de jauge (issus des Bodys subquantiques) sont également dépendant des mêmes coefficients relatifs à la […]

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