Monopôle magnétique
Aux échelles macroscopiques et quantiques, les équations de Maxwell montrent la différence entre le champ électrique qui diverge et le champ magnétique de divergence nulle. La source du champ magnétique provient de l’existence d’un courant électrique et donc d’un mouvement de charges électriques. Paul Dirac a prédit que l’existence des monopôles magnétiques est compatible avec les équations de Maxwell si la charge électrique est quantifiée.
La notion de monopôle n’a de sens que dans le cadre de la dualité de localité. Dans la non localité de la corde 1D du Bodys subquantique , le carré de la charge électrique – f(M.L) – est non divergent, car il est limité dans l’axe 1D du Bodys pour conserver l’indispensable condition d’inséparabilité des pôles. En revanche, le champ magnétique d’un pôle en mouvement, ne profite pas de ce vecteur supraluminique, car il est émis perpendiculairement à l’axe 1D du Bodys. Il ne peut donc pas se reboucler avec le pôle opposé, situé à une distance non locale. Ce pôle – privé de son bouclage magnétique – est donc un monopôle magnétique. Comme les Bodys structurant l’espace temps sont ξ3 (> 1033) fois plus nombreux que ceux devenus matière, on peut dire que l’univers est très majoritairement constitué de monopôles magnétiques.
Origine du champ magnétique du neutron et du proton
Hormis le facteur de Landé, Il est plus faible que celui de l’électron proportionnellement au ratio inverse des masses comparées.
Cette forme pour l’électron, s’écrit également :
Selon la loi Duo5, l’électron oscille autour de son « point zéro » radialement à la vitesse c. Son « point zéro » est matérialisé par le couplage subquantique qui est à l’origine de de son anomalie. L’électron est l’aimant le plus élémentaire qui soit. Mais dans le proton, ce sont les intervalles polarisés (quarks) qui oscillent en face du positron célibataire à la vitesse : vp = c/4. Le rayon rp est ~459 fois plus petit que la longueur de Compton de l’électron. Le magnéton nucléaire vaut :
Dans laquelle on retrouve le fameux M.L = Cte, relatif au fonctionnement du Bodys subquantique. L’amplitude spatiale (ici le rayon) est inversement proportionnel à la masse. Les quarks – représentant les 3 intervalles polarisés – entraine l’inertie des 4 groupes, ce qui est la cause physique de la réduction de la vitesse et donc du plus faible moment magnétique.
La couche « électron célibataire » oscille symétriquement avec son image matérialisée par les intervalles polarisés (les quarks). La masse – mN = 1836,15 fois plus intense que celle de l’électron – limite la vitesse d’oscillation à c /mN . C’est ce qui explique physiquement le faible moment magnétique, comparé à celui de l’électron. La magnéton nucléaire – égal pour le proton et le neutron – s’explique par le fait qu’ils ont strictement la même masse « neutre ». La différence du facteur de Landé du neutron (+5,586) et du proton (-3.826), peut s’expliquer par le fait que le neutron possède une paire célibataire intégrée alors que le proton n’a plus que son positron célibataire en plus de ses 4 groupes électriquement neutres.
Un pôle de Bodys subquantique est un monopôle magnétique
La première question à se poser concerne la cause de l’existence de la charge électrique élémentaire.
Aux coefficients près, le carré de la charge électrique élémentaire, représente :
1) le fameux M.L = Cte, qui confirme la constante de Planck (M.L ×c) ;
2) la quantification de la charge vue par Dirac ;
3) la matérialisation de l’exigence d’inséparabilité des pôles pour conserver un zéro physique de nature symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.
Dans le cadre subquantique du Bodys, les pôles oscillent en opposition, ce qui – à l’échelle non locale du Bodys – annule le courant électrique. Dans la corde 1D d’un Bodys, la charge confinée d’un pôle, est non divergente, car elle est limitée à l’axe 1D de la corde Body pour garantir l’inséparabilité des pôles opposés. On a vu que le paradoxe existentiel exige la condition d’inséparabilité des deux pôles opposés pour garantir le zéro de nature symétrique à défaut du zéro absolu. Il n’en reste pas moins qu’à l’échelle locale, chaque pôle émet un champ magnétique perpendiculairement à son mouvement. C’est un monopôle car ce champ magnétique ne peut se reboucler avec son pôle opposé dont le seul lien (non local) est limité à la corde 1D d’un Bodys.
Evolution des pôles dans un BEC de l’espace-temps
Localement le déplacement des charges électriques des pôles de Bodys subquantiques, génère un champ magnétique perpendiculaire à la corde 1D d’un Bodys. Hors de l’axe 1D de la corde Bodys, le pôle opposé situé à distance non locale, est inatteignable. Seul le champ électrique est efficace car il est garant de l’inséparabilité des pôles. Ainsi chaque pôle est un monopôle magnétique. Le champ électrique dans l’axe du Bodys 1D, se propage à la vitesse subquantique des pôles soit c ξ².
Les pôles voisins contraires, évoluant dans le BEC, se repoussent mutuellement à cause champ magnétique local généré par les charges électriques en mouvement. C’est la clé du fonctionnement d’un BEC.
Evolution des pôles au point de rebroussement du BEC-fossile saturé
La saturation des pôles synchronisés diminue l’intervalle tangentiel élémentaire, jusqu’à atteindre un seuil critique où la force coulombienne a le temps de fusionner les pôles contraires. ils ne s’annihilent pas puisqu’ils sont chacun issu d’un Bodys différent. La fusion – qui revient à un masquage des charges – brise le lien électrique radial non local.
Evolution des pôles éjectés du BEC-fossile
La fusion en paquets de 921 paires, forme le neutron où 1842 unités sont empilées et masquées.
Puis l’électron de la paire isolée du neutron, est éjecté avec neutrino et boson W pour laisser apparaître le proton et donc l’hydrogène atomique s’il est accompagné de son électron orbital.
La brisure du lien entre pôles amène une réduction de localité qui permet – pour chaque entité séparée – un rebouclage du champ magnétique.
L’électron, aimant élémentaire issu d’un pôle subquantique séparé
L’électron reproduit le fonctionnement d’un pôle de Bodys dont il est issu, mais sans l’anisotropie entre le lien électrique non local et son champ magnétique local, car transversal. Il oscille en opposition avec un pôle subquantique via le canal du « point zéro ». Cela crée deux courants contraires, générant un dipôle magnétique. Ce dipôle – perturbé par le couplage subquantique – présente une anomalie de son champ qui est bien mesurée.
Conclusion
Le monopôle de Dirac existe à l’échelle subquantique. Il y règne une anisotropie de localité entre le champ électrique évoluant dans la non localité de la corde 1D du Bodys et son émission magnétique typiquement locale. Quand un pôle subquantique est séparé de son lien non local, il subit une réduction de localité qui annule l’anisotropie de localité.
Le modèle mathématique d’Einstein de l’espace-temps, est limité au seul EFFET géométrique, sans ne rien révéler de sa structure et de la CAUSE physique de son existence. La loi DUO5 démontre que l’espace-temps est matérialisé par un enchevêtrement de BEC-fils, tissés par les Bodys. Ces BEC-fils sont nés de la mitose-expansion du BEC-fossile saturé, dont la trace est largement visible du côté de l’Eridan.
4 réponses
Encore un article très intéressant ! Merci.
– Si au niveau macro, on peut comprendre ce qu’est un courant électrique, je trouve cela plus difficile à conceptualiser à l’échelle d’un body.
– Dans un body quelle serait la cause physique de l’opposition de deux charges, au delà du fait qu’elle matérialise le lien entre les deux pôles?
– Si le seul argument est que les deux pôles se déplacent en opposition vectorielle, alors il n’est pas suffisant pour expliquer l’opposition de charge entre deux pôles de body adjacents allant dans la « même » direction. La convention + et – n’est pas une cause physique.
– Les variations au sein d’un body sont-elles physiques ou seulement potentielles? Si la réponse probable est « physique » alors quelle est la nature physique de ce qui est en mouvement dans un body?
– Est-il correct de dire que le champ magnétique est toujours local et que le champ électrique peut être local ou non local?
– quelle est la conséquence physique d’une réduction de localité du champ électrique lors de la séparation ? (car c’est un changement de statut énorme pour les deux pôles opposés)?
Une partie des réponses se trouve dans cet article, mais je sens bien que je n’ai pas tout compris correctement et/ou qu’il manque une clé !
Bonjour LC,
La dipolarité de la charge électrique est une entité pratique dont la source physique est héritée des moments de masses inertielles opposés (M.L + M’.L’) des Bodys et dont la symétrie sauve le paradoxe existentiel. Les signes + et – sont justes les représentants des M.L opposés. La raison d’être des pôles opposés est le zéro obtenu par la symétrie chirale.
Il ne faut pas s’étonner de la dipolarité car la dualité est consubstantielle à la Nature et l’unicité absolue est une ineptie.
S’agissant de la CAUSE physique de l’oscillation des pôles dans un Bodys (pas un corps Body) il faut relire l’article traitant du paradoxe existentiel. Les Bodys stochastiques ne peuvent qu’osciller aléatoirement au point zéro car la Nature cherche éternellement le zéro absolu par le biais du passage au « point zéro », jamais précisément au zéro absolu.
Le zéro physique absolu est la quête éternelle de la Nature et c’est la seule raison de notre existence.
Les humains, (enfants de l’univers) cherchent aussi l’absolu. Il est atteignable avec les mathématiques mais ces dernières – très utiles pour décrire ou appliquer – sont totalement incapables d’expliquer les causes de la physique. (Voir cet article : https://loiduo5.com/wp-admin/post.php?post=10132&action=edit ).
Unitairement, la réduction de localité suit la Loi M.L = Cte. L’oscillation de la masse M de l’électron va de son rayon de Compton L au canal de la corde Bodys (longueur de Planck) avec le même ratio ratio ξ² que dans son ex-état, pôle de Bodys .
Collectivement, la réduction de localité est contournée par le gradient des ξ^4 entités distribuées sur la circonférence du BEC. Ce ξ^4 est vérifiable par le ratio mesurable entre la force coulombienne sur la force gravitationnelle entre un électron et un positron. Ce même ξ^4 est cohérent avec tous les autres ratios de la loi DUO5. Cela veut dire que l’existence de la gravitation a pour but de réunir à terme, les pôles séparés pour que collectivement l’univers respecte le zéro symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.
Dans le vecteur 1D de la corde Bodys, la force qui lie les deux pôles a une CAUSE impérieuse, soit l’inséparabilité des pôles pour garantir le zéro à l’échelle non locale du Bodys. Le champ magnétique est juste un effet transversal de cette CAUSE.
Dans l’espace 3D la divergence du champ « électrique » (en fait celui relatif à l’inséparabilité), diminue en 1/r² jusqu’au seuil de la gravitation qui est la garante du recouvrement à terme des pôles (provisoirement) séparés. Dans ce même espace 3D, le champ magnétique circule entre les deux pôles de l’aimant et il est donc limité à la localité.
Amitiés
Dominique MAREAU
Bonsoir Mr Mareau,
– qu’est ce qui permet de conclure que la symétrie dans un bodys est chirale?
– quelles en sont les conséquences?
– y a t-il un effet de rotation, même en 1D?
Bien cordialement
Bonjour LC,
Les pôles d’un Bodys ne sont pas plus remplaçables qu’une main gauche avec une main droite. C’est leur complémentarité par cette différence, qui forge le parfait zéro physique. En fait la symbolique du « + » et du « – » devrait plutôt s’exprimer en « droite » et « gauche ». La somme vectorielle de « droite » et « gauche » permet l’équilibre du zéro symétrique, représenté par un cap rectiligne.
Dans le référentiel 1D du BODYS, seul le mouvement rectiligne est possible. Cependant il y a émission transversale d’un champ magnétique généré par le courant électrique local du pôle en mouvement. C’est grâce à ce champ (repoussant pour des polarités voisines contraires dans l’axe tangentiel) que les Bodys restent équidistant les un des autres.
Cordialement