La non localité du spin

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La non localité du spin

Le spin est clairement un moment cinétique intrinsèque puisqu’il est exprimé en n parties de la constante de Planck de dimension [ M L2 T-1]. En première approche, il évoque une rotation d’une masse en rotation. Cependant le modèle standard dit à son sujet (Wikipédia) :

« Le spin est, en physique quantique, une des propriétés internes des particules, au même titre que la masse ou la charge électrique. Comme d’autres observables quantiques, sa mesure donne des valeurs discrètes et est soumise au principe d’incertitude. C’est la seule observable quantique qui ne présente pas d’équivalent classique, contrairement, par exemple, à la position, l’impulsion ou l’énergie d’une particule. Il est toutefois souvent assimilé au moment cinétique….« .

La gêne est là : « souvent assimilé au moment cinétique » ! Le terme « souvent » est faux car il est exprimé en constante de Planck ! Comme dirait Dirac, c’est « quantique » et donc « calcules et tais-toi« .

Il existe une profonde relation entre le caractère entier et demi-entier du spin d’un quanton et le comportement collectif d’un ensemble de tels quantons identiques. C’est ce qu’on appelle, un peu abusivement, la « connexion spin-statistique » : les quantons de spin entier sont des bosons et les quantons de spin demi-entier sont des fermions. Par là, le spin, grandeur quantique d’échelle microphysique de l’ordre de ħ, a un effet majeur sur l’échelle macroscopique. Outre ces effets, de nature essentiellement cinématique, indépendants des interactions mises en jeu, le spin intervient également dans la dynamique des processus quantiques. Propriété structurale des quantons, il conditionne les mécanismes de leurs couplages interactifs. Le cas le plus simple, et d’une grande importance, est celui des interactions électromagnétiques. Les quantons soumis à ces interactions possèdent un moment magnétique colinéaire à leur spin, ce qui donne à ce dernier un rôle dynamique crucial dans les phénomènes électromagnétiques, par exemple l’effet d’un champ magnétique sur les spectres atomiques – effet Zeeman – ou sur le mouvement d’un jet atomique – expérience de Stern-Gerlach.

Selon la cohérence générale de DUO5, il s’agit de masse M en oscillation suivant la loi générale : ML = Cte qui règne dans les Bodys. Cela soulève plusieurs questions. La première concerne la cause physique du spin. La seconde question concerne la non localité de l’état de spins intriqués. La troisième question concerne le spin du photon qui est sensé ne pas avoir de masse M. Alors on a éludé le problème en numérisant le spin. On a justifié cela par l’équivalence : h ν = m c² en oubliant que le terme h est strictement représentant de M.L = Cte. Il y a bien une notion inertielle M dans le photon. Mais selon DUO5 elle est masquée comme le sont les pôles de Bodys. Encore une fois le modèle standard est égaré par la croyance que le zéro absolu des mathématiques, puisse être transposable à la physique.

Appareil de Stern et Gerlach
Appareil de Stern et Gerlach

Spin de l’électron

Selon la loi DUO5 l’électron (ex-Bodys) possède une oscillation intrinsèque. Il oscille entre sa longueur de Compton et le Bodys subquantique auquel il est couplé. La quantification « haut » et « bas » du spin est liée au sens de l’oscillation.

La quantification du spin d’un électron (ou discrétisation de la valeur) vient du produit M.L (contenu dans h). C’est la clé du Bodys où M.L reste constant tout le long de l’oscillation.

Ci-après l’oscillation hélicoïdale de l’électron entre sa longueur de Compton et l’épaisseur de Planck d’un pôle de Bodys (non local) avec lequel il est couplé. Ainsi l’état de spin est à la fois local et non-local. Localement l’amplitude de l’oscillation, possède le ratio de ξ² entre la longueur de Compton et l’épaisseur de Planck de la corde Bodys. C’est strictement le même ratio que celui relatif au déplacement (échelle cosmique) d’un pôle de Bodys. Ce déplacement génère un courant qui se traduit par un champ magnétique, transversal, propre à l’électron couplé. C’est ainsi que le soliton électron, forme un dipôle magnétique via son couplage avec la non localité d’un pôle subquantique :

Ci-après l’égalité entre le facteur du rayon du BEC et le rayon λz du point zéro du BEC.

Dans les deux cas, la loi fondamentale, ci-après est strictement respectée :

Spin du photon

L’ambiguïté pour le modèle standard est encore plus floue. Comment peut-on avoir un [M L2 T-1] sans M ? .Selon la loi DUO5 le photon est un Bodys à l’échelle quantique. Ses deux masses intrinsèques opposées s’annulent parfaitement par symétrie. Ces masses opposées, sous forme h ν, sont équivalentes à m c².

Le photon est un dipôle magnétique dans lequel les masses et les charge opposées s’annulent dans son référentiel global, comme les pôles d’un Bodys. En revanche les deux champs magnétiques transversaux , forment un dipôle magnétique. Mais la symétrie – garante de cette annulation de masse – peut-être brisée en cas de perturbation. C’est ce qui se passe dans l’impact inertiel d’une voile solaire.

Cohérence non locale des états de spins intriqués

En 1980 l’expérience d’Aspect a démontré la violation des inégalité de Bell. Cette expérience, maintes fois renouvelées depuis, a démontré clairement la non-localité de l’intrication quantique. Après avoir nié farouchement la dualité de localité, les nostalgiques de Copenhague, parlent « d’intrication quantique », ce qui complètement faux. Il s’agit bien de la conservation de causalité des particules intriquées, au delà de la causalité quantique se propageant à vitesse c. De nombreuses autres expériences montrent clairement que la causalité de l’état de spin, n’est pas « quantique » mais subquantique, supraluminique et non locale. Cela s’inscrit en faux dans le fétichisme ambiant envers les afficionados de Copenhague qui ont optés vers des modèles mathématiques, abandonnant ainsi la difficile quête des causes physiques. L’enquête de MERMIN auprès de nombreux physiciens, montre une incompréhension générale concernant la causalité non-locale relative à l’intrication des spins. Cela est confirmé par une étude de Jean BRICMONT qui montre clairement le malaise parmi les afficionados du modèle standard. Certains vont même jusqu’à imaginer l’ineptie d’une vitesse absolue instantanée ! Le mysticisme est enraciné dans les cerveaux reptiliens. D’autres avancent des arguments fallacieux pour nier cette réalité physique (↑).

Extrait de l’enquête de MERMIN :

Quelles sont les réactions des physiciens face au théorème de Bell ? Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles varient. À un extrême, H. STAPP déclare que « le théorème de Bell est la plus profonde découverte de la science » et un physicien de Princeton déclare « celui qui n’est pas dérangé par le théorème de Bell doit avoir des cailloux dans la tête ». Mais l’indifférence est néanmoins la réaction la plus courante. Il distingue deux types de physiciens [22] :

1) ceux qui sont dérangés par la non localité EPR-Bell.

2) ceux qui ne sont pas dérangés, divisés en deux catégories :

2a) ceux qui tentent d’expliquer pourquoi ils ne sont pas dérangés mais leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou à contenir des assertions physiques dont on peut montrer qu’elles sont fausses ;

2b) ceux qui ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Certains disent que Bohr a tout expliqué mais refusent de dire comment.

Comme a dit BELL : « la mécanique quantique n’explique pas vraiment ; en fait les pères fondateurs se flattaient plutôt de renoncer à l’idée d’explication ».

La clé de la physique est la dualité de localité et on regarde ailleurs

Conclusion

Malgré toutes les preuves, la dualité de localité qui impose un couplage avec l’échelle subquantique, est éludée par la majorité des physiciens. Mais une minorité finira par convaincre, c’est juste une question de temps.

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