Janvier 2024 : actualité de James-Webb

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Janvier 2024 : actualité de James-Webb

En janvier 2024, le télescope James-Webb vient encore de permettre une découverte étonnante. Un trou noir massif de quelques millions de fois la masse de notre Soleil décrit par une équipe internationale de chercheurs dans la revue Nature. Ce trou noir supermassif est le plus vieux jamais observé. Il a environ 13,40 milliards d’années. Cela signifie qu’il existait déjà alors que notre Univers n’était pas âgé de 400 millions d’années. Les théories actuelles du modèle standard, ne prévoient pas qu’un tel trou noir supermassif puisse exister aussi tôt dans l’histoire de notre Univers.

Malgré toutes ces observation, les aficionados du modèle standard continuent de « croire » (car il s’agit bien de croyance) qu’un trou noir primordial se formerait à partir d’étoiles qui s’effondreraient par l’action de la gravitation. A ce train, il faudrait bien plus qu’un milliard d’années !

En revanche, cette nouvelle, vient conforter la loi DUO5 qui montre que la première fusion généralisée de matière est calibrée en masse de galaxie avec un telle densité qu’elles sont sous la forme de trous noirs. Quand le BEC-fossile saturé, libère ses 1085 paires électron-positrons, elles fusionnent en 1011 galaxies noires, car super denses, réparties sur la sphère 2D du BEC-fossile. La mitose-expansion (Big-Bang) s’effectue à la fois globalement (radialement) et dans tous les axes de chaque galaxie noire. Perdant ainsi de la densité par étirement, les étoiles de chaque galaxie, apparaissent graduellement. Les galaxies sont plates car nées sur l’aire 2D du BEC-fossile. La mitose les pousse à s’étendent au-delà de leur rayon classique. Ainsi, dans un second temps, elles se contractent autour de leur trou noir et entre en rotation.

Ci-dessous l’évolution des GTN (Galaxies Trous Noirs) dont la perte de densité permet l’apparition des étoiles primordiales calibrées à 330 masses solaires. Elles explosent rapidement et leurs restes se contractent à nouveau pour former des étoiles plus modestes, diverses et variées.

L’accrétion des gaz en trou noir, est une phase lente et secondaire que l’on peut effectivement observer bien après le Big Bang. Cependant, ce processus est dérisoire à côté de celui qui a régné aux premiers temps de la mitose-expansion (appelée naïvement Big-Bang). La spéculation de l’accrétion primordiale est battue en brèche par les observations de James-Webb. En revanche actuellement, il existe une sorte d’équilibre entre les forces d’accrétions et celles relatives à l’expansion subquantique dont les rayons cosmiques et la DM, en sont la trace.

Merci James-Webb !

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