Les filaments galactiques

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Les filaments galactiques

Les grandes campagnes d’observations comme celle du Sloan Digital Sky Survey ont permis de cartographier jusqu’à un certain point, l’univers observable en montrant que les amas de galaxies se rassemblaient au cours du temps dans des filaments enlaçant des sortes de vides cosmiques, beaucoup moins riches en galaxies et en gaz que ces filaments. L’échelle caractéristique de ces structures est de l’ordre de quelques centaines de millions d’années-lumière.

Selon DUO5, ces vides cosmiques sont les traces de l’annihilation primordiale, lors de la fusion généralisée sur le BEC-fossile. Cette annihilation primordiale est juste l’effet d’extra-rupture relatif à une coupure « sèche » de courant par fusion-masquage. Les pôles subquantiques fusionnant au point de rebroussement, masquent brutalement leur charge (de/dt²) ce qui génère dans les pôles libérés, un « court circuit » radial non local, qui annihile une très grande majorité d’entre eux.

Sur la circonférence du BEC-fossile, les masses rescapées ne représentent plus que 1/ 137,035, du total. C’est la cause physique du ratio appelé « constante de structure fine ». C’est le ratio initial entre le rayon de ces vides (1024 m) et l’épaisseur moyenne d’un filament d’une centaine de galaxies (1022 m). Au cours de l’expansion ce ratio s’est dispersé. C’est également le ratio entre le rayon « longueur de Compton de l’électron » et son rayon dit « classique ». C’est le déclencheur et la première composante de la mitose fractale.

Selon DUO5, l’expansion de l’univers est bardée de collisions de galaxies qui sont les causes de la matière noire, par recouvrement des angles de séparations initiaux. Au cours du temps, la diminution graduelle de la masse globale et celle de la vitesse moyenne d’expansion, sont les causes de la rotation globale. En effet, si l’expansion accélère en aval de la vitesse moyenne (univers observable), elle diminue plus fortement en amont de la vitesse moyenne en cour se dé réduction. La répétition des annihilations partielles par collisions, amène à terme, une annihilation totale sous forme de photons (de masse nulle par opposition duale de leurs composantes contraires) comme des « Bodys quantiques ».

Il n’y a pas d’énergie noire, mais juste une accélération locale qui est compensée par une décélération non locale. La vitesse moyenne d’expansion diminue par l’effet gravitationnel, car à terme, tous les masses des pôles séparés doivent impérativement s’annuler mutuellement, selon la loi universelle du paradoxe existentiel qui impose le zéro symétrique versus l’impossible zéro absolu.

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