Anomalie moment magnétique de l’électron

Révision du 30/12/2022
Le modèle standard pose la relation suivante :

Dans laquelle αe= 1.00115965218218 représente le taux d’anomalie du moment magnétique de l’électron par rapport à la valeur très précise de la mesure. Devant l’incompréhension de la cause de cette anomalie, le modèle standard a cherché une cohérence à partir d’un modèle mathématique extrêmement complexe partant de cette coïncidence numérique totalement empirique :

qui donne une valeur brute assez approchée de la mesure. Ensuite il procède à une série d’ajustements mathématiques en utilisant les boucles de Feynman qui permettent de s’approcher de la mesure, soit :
avec mesure expérimentale : 1,00115965218076 (14 décimales)
théorie modèle standard : 1,00115965215….. (9 décimales)
Sans justification physique réelle, le modèle standard met surtout en avant, le résultat numérique qui pourtant n’est pas si proche que cela. Feynman a dit à cet égard : « il aura fallu cette supercherie pour sauver la QCD » .
La loi DUO√5 s’appuie sur les lois physiques canoniques qui ont présidé au ratio entre la masse d’un groupe du proton (P/4) et l’influence du couplage {électron-Bodys} relatif à ξ . C’est au demeurant la clé des ratios originels lors de la mitose du BEC-fossile. On rappelle que ħ est déterminé par les paramètres de l’électron, selon :
Relation 1

En remplaçant ħ / me, par les paramètres dont ils sont issus, on obtient :
Relation 2

Cette forme met en avant la réduction Δƛe, relative à l’apport Δme issu du Bodys via le couplage. La loi ML = Cte nous indique clairement que le taux d’anomalie est provoqué est l’indication du taux d’habillage qui n’est plus masqué en supprimant (ħ / me) dans cette relation. La constante ħ est parfaitement déterminée par la relation 1 – grâce à M.L = Cte – qui cache l’altération de ƛe par l’habillage de me . Mais dans la relation 2, la présence de la constante ħ verrait l’altération de ƛe qui n’est plus compensée par l’habillage de me. Le taux d’anomalie magnétique de l’électron est égal à son taux d’habillage mesuré à :
1,00115965218076 (source PDG 2022)
On verra dans le chapitre « force faible » que le couplage passe par le canal entre le Bodys 1D et l’aspect 2D des couches des particules. L’anomalie est fonction de l’habillage de l’électron qui lui-même est fonction de la relation entre le proton (1841 unités nues) et le muon (207 unités nues) , le tout influencé par les caractéristiques de la mitose, fonctions des 5 ratios canoniques : 1, 2, 3, 5, 8 et la dualité ξ α . Soit avec des coefficients τµ et k1 :


avec 207, la masse nue du muon, (voir la loi KOIDE élargie), on atteint le résultat de la mesure du taux d’anomalie de l’électron avec une précision inédite de 14 décimales après la virgule (sigma > 7)

En occurrence inédite avec la mesure (PDG 2022) fixée à : 1.00115965218076.
Une réponse
[…] a vu que le taux d’anomalie est juste le taux d’habillage de l’électron et les relations suivantes, le […]