Le mystère de la taille du proton
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable. IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques (non locaux) et sont devenus – localement à l’échelle quantique – les paires électron-positrons qui selon la loi KOIDE-DUO5, sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.
La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.
Rappel de la loi universelle : ML = Cte
On a vu que la constante de Planck est strictement déclinée de ML = Cte, avec le produit : masse électron × longueur de Compton. Comme la vitesse c est constante, il vient que le premier terme est constant. Cette loi physique est héritée du Bodys dans lequel la masse au point zéro : mo = me / ξ², ouvre un potentiel de longueur (ou amplitude) ξ² fois plus grand que le point zéro. Cela veut dire que le produit ML reste constant tout au long de l’oscillation d’un pôle de Bodys.
On a vu également que les paramètres de Planck (masse, longueur, temps) ont été obtenus par la jeu de la simple occurrence dimensionnelle. Ainsi Planck a procédé comme suit : si L est la longueur de Planck : ℓp = ƛe / ξ² alors M doit être : mp = me ξ². Cette énorme masse est une énigme pour le modèle standard, alors qu’elle correspond exactement à la masse élémentaire si la mitose (facteur ξ²) n’avait pas eu lieu. Mais Planck n’a pas vu qu’à ces trois paramètres, correspond une image qui est inversée par le facteur ξ². Ainsi, à la masse de Planck imaginaire : mp = me ξ² correspond la vraie masse de Planck subquantique qui vaut mpo = me / ξ² ! Dans le Bodys, à l’évolution à la hausse ΔM = mpo → me, correspond l’évolution à la baisse du potentiel ΔL = ℓz ξ²→ ƛe . Le facteur ξ4 appliqué au temps de Planck, fixe la durée de vie de la Bulle-Univers. Le même facteur ξ4 appliqué à la longueur de Planck fixe le rayon du BEC.
Ainsi pour respecter la loi universelle : M.L = Cte, le proton possède 4 groupes de 460 unités (nues et entières). En effet, c’est la masse d’un des 4 groupes, qui fixe le rayon en fonction de la longueur de Compton d’un seul électron ƛe. On peut vérifier que le rayon du proton est bien égal à : rp = ƛe / 459.
La masse du noyau de l’atome est déterminée par son nombre de groupes et son rayon est inversement proportionnel à la masse d’un de ses groupes.
Ces 4 groupes de 460 unités (électron et positron en parité) forment 3 intervalles polarisés qui induisent 3 quarks. Les quarks ne sont donc que des effets de la CAUSE relative aux interactions entre le positron célibataire et les intervalles polarisés qui s’opposent à son extension naturelle. En effet, la longueur d’onde de ce positron est 460 fois plus vaste que le rayon du proton. En essayant de forcer le passage, il démasque des charges – auparavant masquées – qui génèrent une force électrique centripète qui s’oppose à celle centrifuge de la longueur d’onde du positron célibataire.
Cinq indices forts confortent cette architecture en pelure d’oignon : 1) le rayon est mesuré selon la loi ML = Cte pour un des quatre groupes ; 2) quatre groupes impliquent trois intervalles polarisés et donc trois quarks ; 3) la charge du proton est strictement celle du positron ; 4) la loi DUO5-KOIDE généralise cette architecture aux fermions et mésons ; 5) l’absence de quark dans le muon s’explique par son seul groupe qui est donc sans intervalle.
La force forte est directement expliquée par le démasquage des charges des couches neutres
Quelques exemples
Ci-après les rayons exprimés en fermis (f = 10–15 m). Le lithium est un cas particulier car il possède un groupe de couches neutres externe de 46 unités qui forme un halo aussi étendu que le noyau du plomb.
Cet empilement en couches masquées, générant des intervalles polarisés, respecte l’incontournable loi ML = Cte que Planck a utilisée pour proposer ces constantes (M, L, T). Cette architecture respecte la mesure de la charge du proton et explique la cause des quarks. En revanche, le modèle standard ne respecte pas la loi ML = Cte, alors qu’il connait son importance dans la longueur d’onde de Compton par exemple. L’architecture naïve des noyaux ci-après :
implique un rayon selon :
avec le paramètre libre Ro = 1,4 fermis . Mais on constate que cette règle ne s’applique pas au rayon du proton qui est de 0,84 fermis et non de 1,4 fermis. En revanche, la loi ML = Cte, concerne également le proton. En outre, cette architecture résout (entre autres) l’énigme de la CAUSE de la forte forte.
Ci-après un noyau d’atome composé : a) d’une couche neutre externe dont le rayon est inversement proportionnel à sa masse ; b) d’une couche interne dont la masse mGe est définie en fonction du ratio de perte de masse relativement au proton.