Force forte par démasquage des charges

La force forte vue par le modèle standard (MS)
Le modèle standard voit l’interaction forte comme agissante sur les particules porteuses d’une charge de couleur (quarks, antiquarks et gluon). Les gluons sont considérés comme les porteurs de l’interaction elle-même comme la force électromagnétique est portée par les photons. Le modèle standard se base arbitrairement sur la neutralité de couleur. Il considère que cette force maintient les quarks entre eux pour former les hadrons. Selon le type des quarks composant un hadron, il s’agira de « baryon » pour trois quarks et « méson » pour une paire de quark/antiquark.
Selon le MS, l’interaction forte affecte les quarks et les particules constituées de quarks (les hadrons). Elle n’affecte pas les leptons. L’interaction forte affecte en revanche les gluons, ce qui fait d’elle la seule interaction fondamentale à affecter les bosons qui la transportent. En effet, les photons n’ont pas de charge électrique et ne sont donc pas affectés par les champs électromagnétiques. Les hypothétiques gravitons, porteurs de l’interaction gravitationnelle, sont prévus sans masse. La portée de l’interaction forte est d’environ 10-15 m, c’est-à-dire la taille d’un noyau atomique. Cette portée limitée « s’explique » par le fait que les gluons sont eux-mêmes sensibles à l’interaction forte, ce qui produit un phénomène appelé confinement.
Toujours selon le MS, l’interaction forte est la plus forte des interactions fondamentales. Sa constante de couplage est environ cent fois plus grande que celle de l’interaction électromagnétique, un million de fois plus que celle de l’interaction faible, et 1039 fois plus que celle de la gravitation. La théorie prévoit que l’intensité de l’interaction forte tend vers zéro quand la distance tend vers zéro. Ce phénomène, appelé liberté asymptotique, permet aux quarks de se déplacer librement au sein des hadrons. Lorsque la distance augmente, l’intensité de l’interaction forte augmente (contrairement aux autres forces). Au-dessus d’une distance limite, l’énergie est suffisante pour créer des paires quark-antiquark qui reforment des hadrons. Cette propriété est appelée confinement de couleur. La théorie standard qui décrit l’interaction forte est la chromodynamique quantique, (QCD). Elle considère que chaque quark porte une charge de couleur qui peut prendre trois valeurs : « bleue », « verte » ou « rouge ». Un hadron ne peut exister que si sa couleur totale est neutre ou « blanche » ou « singulet de couleur.
Critique du modèle standard du proton
Le modèle standard n’a pas réussi à sortir de l’erreur ancestrale qui consiste à confondre les causes et les effets. Cette tendance « vieille comme le monde » – pourtant souvent dénoncée – est un travers humain dont il est difficile de se démettre, y compris chez les scientifiques. C’est la conséquence d’une certaine paresse intellectuelle. En voici quelques exemples :
1/ le MS décide arbitrairement que l’expérimentation locale possède un statut absolu.
2/ le MS indique que la cause du halo galactique est la matière noire alors qu’il n’a que pour effet, de la contenir. On confond le sac avec son contenu !
3/ le MS indique que le photon est la cause de la médiation de la force électromagnétique alors qu’il n’est qu’un effet de cette médiation.
4/ le MS étend la spéculation (3) aux autres forces en leur affectant à chacune, une particule médiatrice spécifique. Ce travers d’auto-référence, accouche encore et encore de nouvelles énigmes.
Plutôt que de chercher la cause physique de la consistance et fonctionnement du « vide » et de son aptitude à la médiation des forces, le MS se contente de construire un modèle basé sur les effets. Ainsi devant la question posée par le fonctionnement physique de la médiation de la force forte, le MS invente le « médiateur gluon », cousin du photon, chargé de la médiation de la force forte. Il en fait de même pour la gravitation en inventant un opportun « graviton » charger de « porter » la force gravitationnelle. Cet empilement de spéculations, forme un « modèle » fait de « principes » du genre auto-référent.
Depuis l’école de Copenhague, le MS a carrément renoncé à comprendre les causes physiques. Il élude la question relative à l’existence même du proton. Il n’explique pas pourquoi le proton possède la charge électrique du positron. Habitué à poser arbitrairement des « principes » comme le naïf « principe d’homogénéité et d’isotropie », il continue à l’évoquer alors qu’il est largement démenti par les dernières observations à grande échelle. En éludant la dualité de localité, il n’envisage pas que des paires électron-positrons créées « non localement » puissent se comporter comme des bosons. Le MS préfère considérer l’expérience locale comme ayant un caractère absolu ! En résumé les erreurs fondamentales du MS, a) confondre cause et effet ; b) croire aux valeurs absolues en physique ; c) éluder la dualité de localité, ont poussé le MS à se contenter de décrire les effets, sans les comprendre.
La force forte vue par ses causes physiques
La loi DUO5, exploite le caractère dual des lois physiques fondamentale de la Nature. Le MS, en croyant aux valeurs absolues, est amené à conclure à un « début d’univers » de type « fiat lux » et coloré de « sciences » par une opportune « fluctuation quantique » et magique.
Le MS considère imprudemment que les fluctuations quantiques mesurées dans l’univers contemporain, sont exportables sans précaution, à un pré-univers en devenir. C’est une double spéculation car malgré qu’il n’explique pas la source physique de ces fluctuations contemporaines, il les projette comme existantes comme par magie dans la genèse de l’univers. C’est un cas flagrant d’auto-référence !
Avec cette approche, on débouche forcément sur l’énoncé de « principes » totalement arbitraires.
En revanche, l’approche DUO5 s’intéresse d’abord à la cause de l’existence même du proton. Il n’est pas arbitrairement classé au milieu des baryons car le proton est la seule et unique particule composite stable. Selon DUO5, le proton découle directement des deux facteurs aléatoires qui sont à la source de la dualité mitose-expansion. Le proton est la variable d’ajustement permettant la convergence de ces deux facteurs.
Le seul et unique médiateur est l’ensemble des bosons BODYS qui matérialisent le fibré de l’espace-temps dans le cadre des BECs enchevêtrés. La matière est née de la séparation (délocalisation) des pôles de Bodys présents sur l’aire du BEC-fossile. Etant héritière des BODYS de l’espace-temps, elle est intimement couplée avec eux en partageant leur spin dont le statut de non localité est maintenant largement prouvé.
Les pôles séparés deviennent des paires électron-positrons fusionnées deux à deux, et pavant l’aire du BEC-fossile. Les charges élémentaires – masquées par superposition – sont neutres. Les pôles des Bodys de l’espace-temps masquent leurs pôles par opposition en annulant leurs masses. La permutation de masquage est une des clés maitresses de la loi DUO5. Ainsi, le proton (seule et unique particule composite stable) est fait de couches neutres de paires électron-positrons, masquant leurs charges par superposition radiale. Il forme 4 groupes de 456 unités masquées et séparés par trois intervalles polarisés que sont les quarks induits par le positron.
Le positron célibataire (charge du proton), induit les intervalles polarisés (les quarks) qui par réaction, l’empêche de quitter le noyau. En effet, la couche positron tend à s’étendre vers l’extérieur car sa longueur de Compton est 460 fois plus étendue que celle d’un des 4 groupes neutres constituants le proton. Le rayon du proton est directement déduit de l’application M.L = Cte, en relation avec la longueur d’onde de Compton relative à un groupe de 456 unités habillée.
La tendance à l’extension du positron célibataire, génère trois polarisations (des trois intervalles de groupes) qui s’opposent à la source qui lui a donné naissance
L’augmentation du taux de démasquage des couches neutres fait apparaître des charges. Les charges opposées démasquées génèrent une force coulombienne qui s’oppose à la source qui lui a donné naissance. Ainsi le positron est condamné à rester confiné.
L’allure asymptotique de la force forte, découle directement du taux de démasquage (Δr = 10-17 m) qui est le quantum de la totalité de la charge. C’est donc la force coulombienne élémentaire maximale qui décroît ensuite. Puis en continuant le démasquage, l’énergie coulombienne, revient à créer des hadrons.

Conclusion
Fondamentalement, le déterminisme de la Nature consiste à chercher éternellement le zéro absolu parfait du paramètre « inertie ». Devant l’impossibilité d’atteindre le caractère absolu, la Nature opte pour l’oscillation dipolaire BODYS qui est la seule solution pour obtenir un zéro (certes non absolu) mais parfait via la symétrie. Mais le paradoxe n’est pas résolu pour autant car dans l’intimité de chaque pôle confiné, il reste impossible de trouver le zéro absolu. Cet impérieux besoin de zéro inertiel appelle une infinité de tirages aléatoires successifs. C’est la cause de l’oscillation puisqu’elle permet la recherche éternelle et aléatoire du zéro absolu, à chaque passage au point zéro. Ce paradoxe est la clé de l’existence permanente de l’état stochastique d’univers.
Le premier travers des adeptes du modèle standard, consiste à croire que le zéro absolu des mathématiques est applicable à la physique. Cette croyance les empêche d’accéder au paradoxe de la genèse et les pousse à verser dans le « Fiat Lux ». Leur second travers est de prendre les effets pour des causes. Ainsi ils transforment imprudemment l’effet actuel « fluctuations quantiques » en cause originelle. De la même manière l’effet « photon » est imprudemment considéré comme la cause de la médiation des forces électromagnétiques, alors qu’il n’est qu’un effet. Non content de commettre cette erreur, ils cherchent à la généraliser aux autres forces, telles que le gluon pour la force forte et le graviton pour la force gravitationnelle.
Pourtant il existe bien un médiateur universel des forces, soit le Bodys. Il est le fibré élémentaire de l’espace-temps. Einstein avait raison d’évoquer le continuum masse-espace-temps, puisque la matière est héritée de des Bodys de l’espace-temps, largement dominants. Mais le Bodys n’est pas un être mathématique, puisqu’il découle physiquement du paradoxe existentiel relatif au déterminisme de la Nature.
Par ailleurs, le MS pose une (fausse) symétrie entre le proton et l’électron en affirmant que le ratio entre force électromagnétique et gravitationnelle est de 1039 ! Or la vraie symétrie {positron – électron} révèle clairement ξ4 / α = 1042 soit le nombre de pôles séparés sur la demi circonférence du BEC-fossile ! Exit le très spéculatif « graviton » puisque : 1/ la cause de cette force est le gradient (1/1042) de la force coulombienne avant séparation et 2/ le médiateur universel est le Bodys, particule élémentaire de l’espace-temps.

Dans tous les cas la médiation passe par l’asymétrie relative au couplage avec les Bodys vecteurs tissant l’espace-temps.
Une réponse
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