Le télescope James Webb confirme DUO5

Révision 1 : les dernières observations du télescope James Webb, surprennent énormément les adeptes du modèle standard (MS) pour plusieurs raisons. La première surprise vient de la découverte de galaxies âgées de seulement 320 millions d’années. La seconde surprise vient de leur rythme de formation qui est plus rapide que prévu. La troisième surprise vient de la découverte de galaxies matures âgées seulement de 500 millions d’années et dont la masse lumineuse est déjà comparable à celle de notre galaxie.

La formation des galaxies primordiales, selon le modèle standard

Le modèle standard indique que les structures de l’univers se sont initialement formées par l’accroissement de la fluctuation primordiale de densité. Cette spéculative fluctuation quantique primordiale, serait apparue comme par magie. C’est une imprudente projection dans le pré-univers, des fluctuations quantiques mesurables aujourd’hui. C’est la conséquence du naïf « principe d’homogénéité et d’isotropie » qui renie par simplisme, la dualité de localité et de temporalité (qui est liée selon la loi canonique: M.L = Cte). De plus, le modèle standard, spécule sur la présence (magique) d’agrégats de matière noire qui auraient commencé à se condenser. Mai il ne justifie ni les causes physiques de l’inflation, ni la cause de ces fluctuations primordiales ni la cause et la teneur physique de la matière noire. Cet empilement de spéculations, est un flagrant délit d’amalgame entre cause et effet. Ce scénario qui consiste en une condensation de gaz d’hydrogène, sous l’effet de la gravitation (elle même non expliquée), est également une naïve projection à l’état « pré-univers », de phénomènes locaux observés actuellement. Cette théorie formerait d’abord des étoiles (en quelques 100 millions d’années) puis des condensations en galaxies. La hiérarchie d’échelle n’est pas plus justifiée que le reste. La condensation débuterait après quelques 300 millions d’années pour devenir, en un milliard d’années, des galaxies matures.

La négation de la dualité de localité et de temporalité, est sanctionnée par les observations récentes

Le télescope James Webb dément le modèle standard

En effet, plus ce télescope progresse dans ses performances, plus il observe des galaxies bien plus précoces qu’attendues par le modèle standard. Les différents niveaux de spéculations, du modèle standard, consistent à projeter imprudemment dans le passé de la genèse de l’univers, les processus actuels d’accrétion. C’est le péché originel du modèle standard qui consiste à projeter le « local » à l’échelle « non locale » . En remplaçant la saine dualité de localité et de temporalité, par des spéculations opportunes (le zéro absolu, l’inflation, les fluctuations quantiques, les « graines » de matière noire), on doit s’attendre à être déçu par les observations du réel.

La dualité contre la naïve valeur absolue

Plutôt d’évoquer ces opportunes et spéculatives « fluctuations quantiques » il suffit de considérer qu’il existe une dualité d’états d’univers, dont l’un est la Matrice (stochastique éternelle à entropie informationnelle qui tend vers l’infini et sans paramètre physique) et l’autre, la Bulle-Univers provisoire, en expansion, née de la synchronisation partielle des Bodys-zéros, en mode BEC-fossile. La dualité entropique comme la dualité de localité, sont des lois canoniques sans lesquelles on en peut rien comprendre. La saturation sur l’aire du BEC-fossile, matérialise une couche 2D pavée de paires électron-positrons (ex-pôles séparés) fusionnées et neutres. La mitose commence par la division statique des protogalaxies, sous forme de « galettes de trous noirs » présentes sur l’aire du BEC-fossile. Ensuite la mitose-expansion en 3D, conforme ces galettes en mode « trou noir de Schwarzschild « . Chacun de ces trous noirs poursuit l’opération de mitose en se divisant en étoiles.

C’est le noyau qui nourrit la pêche comme le trou noir central nourrit la galaxie

Le volume du BEC-fossile, tissé de Bodys zéros, matérialise le fibré de l’espace-temps. Les pôles (séparés) de Bodys qui pavent l’aire du BEC-fossile, matérialisent la matière. Ces pôles séparés – devenus paires électron-positrons sont les seules et uniques bases élémentaires de la matière. C’est ainsi que l’impulsion finale des pôles séparés de leur Bodys-oscillateurs, est la source de l’expansion.

Les étoiles sont accouchées des trous noirs protogalaxies

Contrairement aux spéculations standards, il n’y a pas un nuage d’hydrogène (apparu magiquement) amené à se contracter selon un ordre magique d’échelles : étoiles, galaxies, amas, feuillets. Non la base des protogalaxies est le pré-découpage par la mitose, sur l’aire du BEC-fossile. Ensuite ces « trou noir de Schwarzschild » se divisent en étoiles calibrées à 330 masses solaires. Ce scénario n’a pas le statut spéculatif de « modèle » puisqu’il découle de lois physiques des plus naturelles et se recoupe à toutes les observations. De plus cette mitose en étoiles, commence à être significative en formant quelques 100 millions d’étoiles en quelques 100 millions d’années. C’est le trou noir central qui se divise sous l’impérieuse nécessité de la mitose. Cette nécessité est poussée par les Bodys tissant l’espace-temps qui sont ξ³ = 10³³ fois plus nombreux que ceux de la matière. La source de la mitose est la tendance du BEC à recouvrer l’isotropie de ses intervalles. La mitose est le seul moyen d’y parvenir. Chaque BEC-fils recèle deux composantes de gravitation. Outre la composante de Newton en 1/r², il existe une composante constante bien observée. Cette composante constante est la seconde clé qui explique la précocité des galaxies.

La loi DUO5 est justifiée par des causes basées sur des lois physiques incontournables et justifiées par une série d’observations. Elle diffère du modèle standard basé sur des « modèles » mathématiques auto-référents et souvent démentis par les observations.

Conclusion

On ne dira jamais assez combien a été néfaste pour le modèle standard, le naïf « principe d’homogénéité et d’isotropie » de l’univers. Cette opportune commodité permettait de donner un statut universel et absolu (la religion n’est jamais bien loin) à l’expérience locale. Malgré les récentes observations montrant l’indispensable prise en compte de la dualité de localité et de temporalité, les conservateurs du modèle standard, continuent impunément d’enseigner de vieilles lunes, à nos jeunes étudiants. Cette infamie propose une grave culture de l’échec puisque les progrès d’observations à longue distance, ne font que démentir ce modèle dont l’auto-référence l’éloigne toujours plus, de la réalité physique. Cette culture de l’échec a de graves conséquences pour les générations à venir. Elle favorise le retour aux heures sombres de l’histoire, empruntes de religions.

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