La voie lactée

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La voie lactée

La Voie lactée

Comme toutes les protogalaxies, la masse initiale de chacune des  ξ galaxies présentes sur l’aire 2D du BEC-fossile, était de :

L’intervalle élémentaire saturé ƛo est ξ fois inférieur à la longueur de Compton de l’électron, ƛe qui est la norme à l’image de l’intervalle radial. C’est cette anisotropie qui est la cause de la mitose. La surface d’une protogalaxie est donnée par le produit : ξ7  ƛo . Son rayon en 2D, est fonction de la racine de ξ7  :

C’est un trou noir plus dense que celui de Schwarzschild :

La croissance à ce rayon dure environ 8 ans. On note le lien direct entre le rayon de Schwarzschild et le rayon d’un BEC-étoile. Cela veut dire qu’à ce stade, les ξ BEC-étoiles sont strictement superposés pour se confondre en un seul BEC.

La cause de la rotation initiale de la Galaxie

Par définition, sur l’aire (2D) du BEC fossile, les clusters sont sous forme de galette. Cela explique la forme aplatie des galaxies spirales ou lenticulaires.

La forme irrégulière de certaines galaxies, s’explique par les collisions et la matière noire qui en découle. La mitose du trou noir en BEC-étoiles, fait croître la part lumineuse de la galaxie jusqu’au rayon du halo soit 4 fois le rayon lumineux actuel : 200 000 y.l. Puis la force gravitationnelle ramène le rayon galactique à sa valeur actuelle R = 50 M.y.l. Pour raison de conservation du moment cinétique, la galaxie entre donc en rotation. Le rayon actuel permet l’équilibre entre les forces centripètes et gravitationnelles (DM comprise).

La cause du ralentissement actuel de la rotation

La masse actuelle du trou noir : MTN ~ 8×1036 kg a été radicalement réduite à 4 millions de BEC-étoiles, soit d’un facteur de près de 500 ! Le « point zéro commun » des BECs formant le trou noir, est donc encore légèrement saturé à cause de la superposition. De ce fait, le « point zéro commun » émet un flux de pôles subquantiques dont l’énergie est jusqu’à ξ fois celle d’un électron. Ils deviennent donc relativistes à l’échelle quantique. Ce flux radial est la cause commune qui génère les rayons cosmiques (protons relativistes) et la matière noire. La part des protons relativistes, est sensée revenir sous l’effet des deux composantes de la gravitation. En revanche, la part des éléments de matière noire (peut couplée au BEC), s’échappe au-delà du halo pour « nourrir » le milieux intergalactique. Ainsi, pour raison de conservation du moment cinétique, il y a une réduction de la rotation galactique.

La forme irrégulière de certaines galaxies, s’explique par les collisions et la matière noire qui en découle. La mitose du trou noir en BEC-étoiles, fait croître la part lumineuse de la galaxie jusqu’au rayon du halo soit 4 fois le rayon lumineux actuel : 200 000 y.l. Puis la force gravitationnelle ramène le rayon galactique à sa valeur actuelle R = 50 M.y.l. . Pour raison de conservation du moment cinétique, la galaxie entre donc en rotation. Le rayon actuel permet l’équilibre entre les forces centripètes et gravitationnelles (DM comprise).

La cause du ralentissement actuel de la rotation

Le flux radiale de matière noire s’échappe au-delà du halo pour « nourrir » le milieux intergalactique. Ainsi, pour raison de conservation du moment cinétique, il y a une diminution de la rotation galactique.

Il n’y a pas de « halo de matière noire » mais un enchevêtrement serré de BEC-étoiles, caractérisé par un flux radial de matière noire. La composante constante de la gravitation, crée une surdensité aux limites du halo. C’est ce « cisaillement de densité » qui est observable.

Rayons cosmiques et masse noire

La source de ces deux énigmes du modèle standard, est de nature subquantique. Le « point zéro commun » est suffisamment saturé pour émettre un flux de pôles de Bodys subquantiques. On a vu ici que l’énergie confinée des pôles peut aller jusqu’à ξ fois celle d’un électron. C’est la même source que celle de la force faible via les bosons W ou de Higgs. Cependant comme ces derniers émergent dans le canal 1D/2D d’une particule composite (faite de couches 2D), leur ratio énergétique est limité à √ξ fois celle d’un électron. Dans le cas de la saturation du « point zéro commun », l’émergence libre à l’échelle quantique conserve le ratio ξ en l’état.

Ce ratio est précisément celui mesuré pour la limite haute des rayons cosmiques. A l’image des galaxies qui entrent en collision avec production de matière noire, certaines particules entre également en collisions sous l’effet de champ magnétique. Si l’angle est suffisant pour altérer les masses élémentaires par annihilation partielle, alors elles deviennent de la matière noire (DM). Cette émission de DM (faiblement couplée) s’échappe du Halo et vient nourrir le milieu intergalactique. Ces BEC-noirs ou « étoiles noires », sont indirectement observés via leur action de loupe gravitationnelle.

Conclusion

Les vestiges du BEC-fossile sont visibles du côté de l’Éridan à environ 7 G.y.l. Ce BEC-fossile était constitué de la superposition de ξ BEC-galactiques ou ξ² BEC-étoiles. Les vestiges du Trou Noir primordial de la Voie Lactée, sont visibles sous la forme du trou noir central dont la densité d’empilements (trou noir) a été drastiquement réduite à l’équivalent de quelques millions de masses solaires. L’aspect « galette » de la Galaxie est un vestige de sa forme 2D initiale. L’empilement des BEC-étoiles s’est desserré et cet ensemble de BECs forme le halo dont le rayon est effectivement mesuré à 200 000 années-lumière, soit le rayon d’un BEC : 150 000 années-lumière + le rayon de la masse lumineuse 50 000 années-lumière. La surdensité de matière noire, mesurée aux limites du halo, sous forme d’un cisaillement gravitationnel, s’explique par la réduction brutale de la composante gravitationnelle constante. En effet, les BECs intergalactiques – privés de matière lumineuse – possèdent un taux de couplage nettement plus faible. C’est ce différentiel du taux de couplage qui crée une surdensité de matière noire aux limites du halo. En revanche, le rayon du halo de la galaxie d’andromède (M = 1200 milliards de masses solaires) est 8 fois plus vaste que son rayon lumineux, généralement estimé à 100 000 années-lumière. Cela s’explique par sa densité qui est environ 5 fois inférieure à celle de la Voie Lactée. Ainsi le rayon du halo d’Andromède est logiquement 5 fois plus grand que celui de la Voie Lactée.

Une réponse

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