Historique du Soleil
Selon DUO5 et la loi KOIDE élargie, le soleil est une des ξ étoiles intégrées dans le trou noir de la Galaxie primordiale, présent sur l’aire du BEC-fossile, parmi les ξ autres trous noirs primordiaux.
La Galaxie type « galette » sur l’aire du BEC fossile
Juste après la saturation-fusion des pôles – chacun séparé de son Bodys respectif – l’aire (2D) du BEC-fossile est pavée de paires fusionnées d’électron-positrons, sans interaction entre paires neutres. L’annihilation généralisée provoque des trous qui sont α fois plus grand (137,0359) qu’une galaxie primordiale. L’aire 2D contient ξ trous noirs galactiques dont le rayon est fixé par l’intervalle élémentaire saturé ƛo qui est ξ fois inférieur à la longueur de Compton de l’électron, ƛe. Ainsi la circonférence 1D du BEC-fossile qui contient ξ4 paires, divisée en √ξ galaxies, donne le rayon du TNG « Trou Noir Galactique » selon :
(1)
A ce moment, la superposition des ξ BECs-galaxies se juxtapose au BEC-fossile.
Rayon de Schwarzschild du trou noir galactique (TNG)
La mitose-expansion fait passer les « galettes 2D » en sphères 3D, dont la masse unitaire est donnée par :
(2)
Ainsi le rayon de Schwarzschild est donné par :
(3)
Ce rayon 3D de Schwarzschild est 2889 fois plus grand que le rayon de la relation (1) découlant de la réduction des intervalles élémentaires sur l’aire du BEC-fossile.
Sans le facteur α² d’annihilation, le rayon de Schwarzschild serait strictement égal au rayon du BEC = 1,42×1021 m = 150 000 années-lumière.
Temps de transition 2D → 3D :
Le temps de transition 2D → 3D est donné par :
(4)
Cette croissance se fait à vitesse c, car elle évolue en même temps que le BEC d’espace-temps.
Mitose Trou Noir Galactique → étoiles
Comme on l’a vu, le trou noir se divise graduellement en ξ BECs-étoiles, chacune calibrée à 330 masses solaires. Leur énorme masse leur confère une courte durée de vie et donne rapidement naissance à des étoiles moins massiques, dont le soleil. La division du trou noir primordial de la Voie Lactée, évolue d’une manière logarithmique car il ne reste qu’un vestige de quelques 4 millions de masses solaires soit 8×1036 kg. C’est 10 millions de fois moins que ses 1044 kg initiaux.
Galaxie et soleil actuel
La masse galactique lumineuse actuelle est évaluée à 1500×109 masses solaires soit environ 3×1042 kg. Sa masse initiale a donc été divisée par 34 en 13,8 G.y.l. Son rayon visible est de 50 000 années-lumière. Les BECs-hôtes (150 000 années-lumière) des étoiles périphériques forment la limite du halo galactique à 150 000 + 50 000 = 200 000 années-lumière. C’est bien ce qui est observé. L’enchevêtrement des BEC-étoiles est serré à cause du lien relatif à son taux de couplage, médiateur de la composante gravitationnelle constante, (relation 6). Selon DUO5, la perte de masse lumineuse (facteur 34) est devenue la masse noire émise depuis le centre galactique. La réduction du taux de couplage dégénéré de la masse noire, l’amène à être sensible à l’accélération centrifuge et donc de transiter vers la limite du halo pour ensuite « nourrir » le milieu intergalactique. Ce milieu, composé de BEC-noirs à faible taux de couplage mutuel, est sensible à l’expansion par déchevêtrement.
BEC-soleil actuel
L’accélération centripète à la limite du rayon du soleil est de 274 m/s².
(5)
Il est remarquable de vérifier que la mystérieuse décélération des sondes Pioneer, mesurée à 8.74×10-10 m/s², se déduit directement du gamma existant aux limites du soleil. En effet , la composante constante de ce gamma, diffuse dans le BEC-soleil selon :
(6)
avec :
qui représente le taux de réduction du rayon du BEC (figure 2), relativement à la masse du soleil.
Résumé de l’évolution en 5 échelles cosmiques
L’aire 2D du BEC-fossile saturé est pavée de ξ8 paires de pôles de Bodys séparés, devenues électron-positrons fusionnées en paires neutres. L’aire du BEC-fossile est pavée de matière hyper condensée en mode « trou noir ». Puis l’annihilation de facteur α = 137,0359, creuse des trous dont le ratio est identique à l’échelle quantique et cosmique. En effet à l’échelle quantique c’est l’explication de l’énigme du rayon classique et à l’échelle cosmique, c’est le ratio entre le rayon des tous et l’épaisseur des filaments de galaxies. Ce ratio bien visible, est actuellement déformé par les accidents de l’expansion.
Ci-après, les 3 premières échelles cosmiques
L’anisotropie de facteur ξ² des surfaces élémentaires du BEC-fossile, le contraint à se diviser pour retrouver l’équilibre. Il y a ξ galaxies en devenir, se divisant chacune en ξ BEC-étoiles. Sur l’aire du BEC-fossile, il y a donc ξ BEC-fils superposés qui délimitent ξ galaxies-galettes dont l’élan de leur ex statut de Bodys, est la cause de l’expansion. Cette expansion permet de passer en 3D et former des pré-galaxies en mode trou noir de Schwarzschild. La mitose se poursuit en divisant chaque trou noir primordial en ξ BEC-étoiles. C’est au terme de cette mitose ξ × ξ = ξ² que les BECs retrouvent leur équilibre par l’isotropie des surfaces élémentaires corrigées du facteur ξ² .
Ci-après la suite de l’évolution 4 et 5, à l’échelle galactique
Ainsi les trous noirs galactiques observés ne sont que les vestiges des galaxies fossiles. La mitose des cellules vivantes n’est pas « magique » mais est juste l’héritière de la mitose primordiale.
Une réponse
[…] croissance à ce rayon dure environ 8 ans. On note le lien direct entre le rayon de Schwarzschild et le rayon d’un BEC-étoile. Cela […]