Défaut d’annihilation & mitose

Created with Sketch.

Défaut d’annihilation & mitose

ou l’éloge de l’erreur

Ci-dessus, une image de la mitose fractale en 5 phases. Elle suit les 5 étapes : synchronisation→ saturation → fusion → annihilation → expansion-mitose, du BEC-fossile.

Imperfection de la synchronisation

La loi DUO5 a démontré l’impossibilité statistique du zéro absolu en physique. C’est la principale raison de l’échec de tous les modèles mathématiques pour expliquer les causes de l’univers. Si la validité du zéro absolu et de l’infini en mathématique est avéré, elle n’est pas transmissible à la physique. Ainsi c’est justement l’indétermination autour du zéro absolu qui rend l’univers physique, évolutif et fertile. En effet, on a du mal à réaliser que l’amélioration naturelle de qualité des êtres vivants, vient des défauts de reproduction. C’est difficile à imaginer car le côté aléatoire des erreurs de reproduction devrait statistiquement altérer la qualité d’adaptation au milieu. Cela veut dire qu’une amélioration fait suite à un nombre incalculable d’échecs de reproductions.

Lire cet ouvrage : l’éloge de l’erreur

La synchronisation d’une partie des Bodys stochastiques formant la Matrice d’Univers, n’échappe pas à la règle de l’impossible perfection absolue, puisque son existence-même en dépend. Ainsi les masses des pôles au point zéro, présentent certains écarts ΔMo qui se traduisent en amplitude spatiale : ΔLo. Les différents niveaux d’écarts ont tendance à se regrouper en valeurs les plus proches. Ces bosons primordiaux que sont les Bodys, ont un comportement grégaire, et se groupe par affinité. Il existe un rayon imaginaire Ro du BEC-fossile, autour duquel des groupes se forment par affinité de +ΔLo et de ΔLo. Selon la cohérence de la loi DUO5 et d’une manière aléatoire, le ratio entre les deux types de groupes vaut : –ΔLo / +ΔLo = α = 137,03599. Ce ratio se traduit sur l’aire du BEC-fossile comme un motif régulier de « vallées » et de d’arêtes.

Défaut de sphéricité du point zéro

A priori, la structure de type fullerène, composés de 20 hexagones et 12 pentagones, n’est pas adaptée car elle ne présente pas de défaut de sphéricité.

En revanche, une structure composée de motifs en pentagones, présente des défauts de sphéricité. Ce sont ces défauts qui vont sauver les masses rescapées de l’annihilation.

Représentation d’artiste du point zéro commun du BEC-fossile. Tangentiellement, les arêtes délimitant les pentagones, sont séparées par une distance α fois plus grande que leur épaisseur. La projection sur l’aire du BEC-fossile, transforme les +ΔM en –ΔL (vallée) et vice versa.

Ci-après, les pôles de Bodys situés au-delà du rayon RBEC – épargnés de l’annihilation – fusionnent et deviennent des paires électronpositrons. La fusion se poursuit au cours des 5 phases de mitose, pour atteindre 1840+2. On note que la première phase (divisée par 5) donne le nombre pair : 368.

Le « point de rebroussement » du BEC-fossile saturé

Ainsi ces défauts de sphéricité sont reproduits sur l’aire de rebroussement du BEC-fossile de rayon R. Les ΔR, représentent les « vallées » et les +ΔR représentent les arêtes. Les vallées représentent la surface annihilée et les arêtes représentent les filaments de masses rescapées. Le ratio (1D) vallée/arête = α = 137,03599. C’est la cause de la constante de structure fine qui agit à toutes les échelles.

Le brutal de/dt², relatif au masquage des charges par la fusion généralisée, créé une surtension radiale qui se traduit par un fort et furtif excès de perméabilité. Cela revient à un « court-circuit » qui annihile les pôles à l’état maximum, sans passer par la décroissance douce et normale vers le point zéro. Cela se produit si la fusion intervient en deçà du point d’équilibre Ro, car elle se situe dans le champ du lien causal. Si la fusion intervient au-delà du point d’équilibre Ro, la surtension ne parvient pas à créer le « court-circuit » qui provoque l’annihilation.

Analogie du joueur de pétanque

Si le « rayon causal » est la distance tireur-boule » et si un « toucher » correspond à une annihilation, alors un tir (droit) légèrement court a des chances de toucher la boule, alors qu’un tir trop long, n’en a aucune. Les tirs courts sont plus nombreux car plus « rentables » que les tirs longs. Ainsi l’erreur relative aux rares « tirs longs » des Bodys est la clé de l’existence de la Bulle-Univers en expansion.

Le défaut de sphéricité sauve de l’annihilation totale

Le défaut de sphéricité qui vient de l’indétermination ΔR, sauve de l’annihilation totale.

Si le ΔR entre les intervalles élémentaires était égal à « zéro absolu » alors toute la matière naissante, présente sur l’aire du BEC-fossile serait annihilée, amenant l’échec de la Bulle Univers. Comme pour l’existence même de l’état « Matrice-Univers », c’est l’imperfection du zéro absolu qui rend possible l’état « Bulle Univers en expansion ».

Ci après sont représentés deux cas opposés de paires en cours de fusion sur le rayon du BEC-fossile. La paire du premier cas, 137 fois plus courant, réalise sa fusion en dessous du Ro parfait. Le d²e/dt² de la fusion provoque l’annihilation, car elle se situe dans le champ d’influence du lien causal du Bodys. La paire du second cas, réalise sa fusion au-delà du champ d’influence du lien causal du Bodys.

L’effet d’entrainement des groupes

Le volume du « point zéro commun » est organisé radialement en couches. Il est également organisé en groupes séparés angulairement selon le ratio aléatoire : α = 137,03599. Cette tendance au regroupement, qui vient de la tendance grégaire des bosons, améliore au mieux la synchronisation. Entre les deux tendances a été fixé le ratio aléatoire : groupe court / groupe long = α = 137,03599 = largeur vallée / épaisseur arête. La propagation de l’option majoritaire –ΔR , opère la contagion de l’annihilation par induction tangentielle, de proche en proche. L’aspect grégaire des bosons développe naturellement des motifs pentagonaux. C’est peut-être la source de l’omniprésence du nombre 5.

Malgré les turbulences relatives aux collisions de galaxies, les motifs du BEC fossile sont encore observables .

Conclusion

Le phénomène d’évolution vers la complexité est déjà inscrit dans la clé de l’existence permanente de la Matrice-Univers. C’est le paradoxe entre l’indétermination du zéro absolu de l’inertie et l’interdiction de son alternative M > 0 ! Cette indétermination ou incontournable erreur autour du zéro inertie, justifie l’existence de la la Matrice-Univers. On a vu que la solution pour satisfaire le « zéro inertie parfait » réside dans l’oscillateur dipolaire Bodys dont la symétrie masque strictement les paramètres M.L des pôles. Mais peut-on supposer que la symétrie soit exemptée d’erreur, même si elle ne prétend pas à la notion d’absolu ? C’est là qu’entre en jeu le subtil équilibre : M.L = Cte. Imaginons un ΔMo entre les pôles au point zéro d’un Bodys isolé et stochastique. Il sera aussitôt compensé par un ΔLo car le parfait équilibre symétrique concerne les inséparables couples opposés : M.L et M’.L’.

La source de l’évolution est l’inévitable erreur. Ci-après la « sphère » pentagonale a un défaut de sphéricité. L’erreur se traduit par le « diamant » de la Nature qui permet l’expansion de la Bulle-Univers.

Le « diamant » de l’aire du BEC-fossile comporte environ 1010 facettes dont le rayon est légèrement inférieur au rayon d’une sphère parfaite ayant même centre.

Conclusion

La course actuelle au « risque zéro absolu » est aussi utopique que celle relative à non existence de l’état Matrice d’Univers. Sans « l’erreur de base » relative à l’impossible obtention du zéro « inertie absolue », il n’y aurait « rien » au sens absolu du terme. Cette notion du « rien » – employée à tort et à travers, est un véritable Graal pour la Nature qui cherche à tout prix à ne pas exister. Ce formidable attracteur de la notion d’absolu, est la tendance naturelle vers le mystique de la religion. C’est la dualité fondamentale entre le rêve et la réalité. Un cerveau bien équilibré exploite raisonnablement ces deux tendances. L’appellation « bipolaire » pour une personne déséquilibrée est archi-fausse. Si cette personne souffre c’est plutôt par la mauvaise gestion de la saine symétrie relative à la bipolarité.

5 réponses

  1. […] une telle variation de/dt² que cela provoque une énorme surtension radiale qui crée une sorte de court-circuit des Bodys. Sur l’axe tangentiel les pôles voisins –normalement délocalisés ou de sources […]

  2. […] échelles sont normalement constituées sur l’aire du  BEC-fossile  par les  tâches d’annihilation. Les deux premières échelles (étoiles et galaxies) sont issues de la répétition du […]

  3. […] sans interaction entre paires neutres. L’annihilation généralisée provoque des trous qui sont α fois plus grand (137,0359) qu’une galaxie primordiale. L’aire 2D contient […]

  4. […] une superposition absolument exacte (sans erreur) est impossible. Il y a donc forcément un taux d’erreur qui différencie très légèrement les masses du point zéro commun. Ainsi, le BEC constitué […]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.