Température des amas galactiques
Ci-dessus les structures à grande échelle qui ont conservé les trous d’annihilation, malgré les nombreuses perturbations survenues au cours des 13.8 milliards d’années. On peut voir les concentrations en amas avec des long filaments de galaxies.
Les cosmologistes mesurent une température moyenne de ~ 4×106 K, au sein des amas de galaxies. Par exemple l’amas de la vierge, distant d’environ 65 M.y.l. possède un rayon d’environ 3.5 M.y.l. et contient approximativement 1500 galaxies. Cependant la moyenne des diamètres estimés, tourne autour de 8×106 années-lumière.
Les 5 échelles structurelles de l’univers
Le modèle standard recense 5 échelles de structure de l’univers, sans pouvoir les expliquer : 1/ étoile ; 2/ galaxie ; 3/ amas ; 4/ superamas, 5/ murailles. Selon la loi DUO5, basée sur la loi KOIDE élargie, ces échelles sont normalement constituées sur l’aire du BEC-fossile par les tâches d’annihilation. Les deux premières échelles (étoiles et galaxies) sont issues de la répétition du facteur ξ soit ξ = 1.5458×1011 galaxies disposées sur la circonférence du BEC-fossile et chacune, se divisant en ξ étoiles. Les figures 1 et 2 montrent les zones longues de murs (ou filaments) et les zones plus denses, sources des amas et superamas.
Figure 1
Figure 2
Cette vue en 2D montre des filaments qui forment les feuillets observés en 3D. En rajoutant les trous causées par les tâches d’annihilation, on retrouve les 5+1 échelles de la loi DUO5.
Figure 3
Ci-dessus la vue actuelle déformée par les perturbations survenues au cours des 13.8 milliards d’années. La cause physique de la constante α = 137.03599 vient du taux aléatoire d’annihilation primordiale. Ce taux d’annihilation vient de l’impossible synchronisation parfaite et absolue, qui a créé des « vallées » ou « méplats » comme des défauts de sphéricité du BEC-fossile.
Les amas et leurs collisions internes
Le diamètre moyen des amas est de l’ordre de 8 M.y.l. soit R = 4 M.y.l. La distance moyenne relativement à la Terre est négligeable (60 M.y.l) en regard de celle qui nous sépare du BEC-fossile soit : D = 7 G.y.l Ainsi le tableau 2 suivant donne le ratio δ entre le rayon moyen R et sa taille d’origine (r = 17 y.l .) sur l’aire du BEC-fossile de rayon RBEC = 150 000 y.l. Il est donc aisé d’estimer l’angle d’un proto-amas sur le BEC-fossile. La faiblesse de cet angle : φ = 7×10-4 ne fait guère de différence entre la tangente et le sinus. La température d’annihilation des paires électron-positrons Te = 5,92×109 K correspond à un angle d’annihilation complète de π (180°) sur le BEC-fossile. Ainsi la température d’un proto amas est proportionnée à l’angle qu’il représente sur le BEC-fossile. Le tableau 2 donne une valeur très proche (Ta = 4.2×106 K) de celle mesurée en moyenne à environ : 4.2×106 K.
Tableau 1
La cause de la matière noire dans les amas
Cette température moyenne des amas (4.2×106 K) trahit le phénomène d’annihilation qui altère l’aptitude des paires électron-positrons à se constituer en couches pour former les protons. Ces paires forment des paquets informes qui représentent la matière noire. Son aptitude gravitationnelle est amoindrie par : 1/ la perte de masse ; 2/ l’altération du couplage avec les Bodys de l’espace-temps. Selon DUO5, le vecteur des forces entre particules, passe par le canal du couplage {quantique-subquantique}. Cela se traduit par une perturbation de la symétrie des Bodys qui entraine une courbure. La matière noire est formée dans les collisions de galaxies intra amas ou extra amas. Elle est également formée au centre des galaxies via la part des rayons cosmiques qui fusionnent avec des angles faibles, sous l’action des champs magnétiques. La matière noire ne s’apparente pas à une « particule » mais à un spectre de particules plus ou moins dénaturées. Au cours de l’expansion de la Bulle-Univers (incluse dans la matrice stochastique) la matière subit plusieurs phases de dénaturation qui l’amène à terme à s’évaporer dans la Matrice stochastique.