Médiation des photons dans le « vide »

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Médiation des photons dans le « vide »

Ci-dessus une image d’artiste du photon caractérisé par sa dualité onde/corpuscule. Selon la loi DUO5, il est caractérisé par une autre dualité matérialisée par deux pôles qui annulent parfaitement leur masse par opposition, dans l’état « onde ». En cas de perturbation, il perd tout ou partie de sa symétrie et devient corpuscule dévoilant ainsi, une partie de sa masse-énergie.

Ce titre est provocateur car la notion de « vide » pour évoquer l’espace-temps trahit une ignorance de sa structure qui perdure depuis des millénaires. Le modèle standard a parfaitement décrit les effets relatifs à la médiation des photons dans l’espace-temps en partant de la constance de la vitesse c des photons. En revanche, il n’explique pas physiquement comment s’opère la médiation et pourquoi la vitesse c est-elle constante ? Le modèle standard affecte à l’espace-temps, d’opportunes « fluctuations quantiques » qui seraient capables d’expliquer certains sursauts d’énergie. Selon la loi DUO5 et la loi KOIDE élargie, ces fluctuations ne sont pas consubstantielles à la structure de l’espace-temps mais juste les effets perturbatifs de la matière, affectant la symétrie des Bodys structurant l’espace-temps.

La symétrie dipolaire des Bodys, est une exigence fondamentale pour que la nature obtienne un zéro parfait relatif, à défaut de l’impossible zéro absolu.

La clé de l’explication (non seulement la description) qui va suivre, réside dans le fait que la matière est héritée d’une (petite) partie des Bodys de l’espace-temps. L’espace-temps est consubstantiel aux  BEC-fils . Sa continuité à l’échelle cosmique, est assurée par leur capacité d’enchevêtrement (ou superposition partielle). La matière élémentaire – constituée d’anciens pôles de  Bodys-zéros devenus paires électron-positrons – est toujours couplée aux Bodys. C’est ce couplage qui met en œuvre la condition de symétrie dans le cadre de la fameuse dualité de localité. Par définition, le Bodys subquantique est non local car il oscille à l’échelle du BEC (200 000 années-lumière). Le pôle de Bodys le plus proche de la particule visée, compense sa perturbation en injectant un « habillage » à la particule. Cet habillage est reconnu par le modèle standard comme des fluctuations quantiques. C’est la raison pour laquelle un proton qui « pèse » 1836.15 électrons « habillés », est en réalité fait de 1841 électrons nus. Soit 1840 neutres + 1 positron célibataire lui donnant sa charge.

Le mot « quantique » est le substitut magique pour « expliquer » l’inexplicable.

De plus le couplage entre la matière et le Bodys, concerne l’état de spin de la particule. Ce phénomène de non localité – largement mesuré et confirmé – s’accorde parfaitement avec la loi DUO5 qui indique clairement que la vitesse de la lumière est fonction de la vitesse co subquantique et supraluminique des pôles de Bodys. Cette vitesse co est ξ2 fois supérieure à la vitesse max des pôles de Bodys.

Maillage subquantique des Bodys de l’espace-temps d’un BEC

La figure 1 montre une vue simplifiée des couches de pôles de Bodys qui oscille entre le point zéro commun (6 cm) et la limite du BEC (200 000 années-lumière). Le ratio ξ2 existant entre ces deux extrêmes est celui qui existe entre la longueur de Compton de l’électron et la longueur de Planck.

Ci-dessous la Figure 1 montre (échelle contractée) le point zéro commun d’un BEC d’où sont générées des couches de ξ6 pôles. L’intervalle-temps radial, est le temps de Planck et l’intervalle élémentaire tangentiel est la longueur de Planck. Au point de rebroussement du BEC (dernière courbe à droite ξ2 fois plus grand), les intervalles temps et spatiaux sont ceux de l’électron.

Le ratio du BEC-type est le même que le ratio {électron / Planck}.

Ci-dessous, la figure 1 montre le maillage des Bodys formant l’espace-temps. Cet ensemble de lignes 1D, forme un espace-temps 4D. Le point zéro subquantique est seul chemin pour que le franchissement d’un photon d’une maille d’intervalle . Sur l’intervalle ℓ, la vitesse apparente est celle de la lumière. Mais en réalité le photon (sans masse apparente) passe le point zéro commun, muni de la vitesse co. Ainsi ce sont les Bodys synchronisés qui garantissent la source et la constance de la vitesse c :

En tous points, on a :

En effet l’intervalle augmente strictement proportionnellement à la distance x du point zéro.

Figure 1 : maillage espace-temps d’un BEC

La vitesse de sortie du point zéro est ξ2 fois celle de c. Mais l’intervalle temps est celui de Planck, ξ2 fois moindre que celui de l’électron. Ainsi malgré la variation de la vitesse subquantique, la vitesse c (apparente) reste constante.

Les axes de déplacement du photon

Sur l’axe tangentiel : soit un photon détecté comme un « franchissement » de l’intervalle tangentiel ℓ . En réalité il a parcouru 2 fois la distance x le séparant du point zéro, car il n’existe aucun « chemin » pour franchir une maille.

Sur l’axe radial : soit un photon détecté comme un « franchissement » de « l’intervalle radial ℓ. il a parcouru 2 fois la distance x le séparant du point zéro car il n’existe aucun « chemin » pour franchir une maille.

La masse apparente de l’onde photon est nulle si et seulement si, il n’est pas perturbé. Si en revanche il entre en collision avec un électron, cela brise sa symétrie et tout ou partie de la masse d’un des deux pôles qui le composent, apparaît. C’est seulement ce statut de « masse nulle » qui permet le déplacement subquantique laissant apparaître une vitesse « quantique » apparente c.

Conclusion

La relativité restreinte est basée sur la constance de la vitesse « constatée » de la lumière progressant « dans le vide ». Mais elle n’explique ni sa source physique ni sa constance. On verra dans un prochain article que les lignes subquantiques de Bodys, peuvent se courber sous l’action d’une masse et changer la répartition harmonieuse des intervalles. Tous les types de médiation, relèvent de la déformation du maillage des Bodys. Un BEC idéalement « vide » de matière, aura une répartition harmonieuse de son maillage. Toutes les causes (gravitationnelle, électromagnétique) de perturbation, déforment la symétrie des Bodys et génèrent une force qui tend à annuler la cause qui lui a donné naissance. Ce ne sont pas des déformations de « lignes mathématiques » mais des Bodys tout ce qu’il y a de physique qui matérialisent l’espace-temps.

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