Nouveau Big-Bang
Ci-dessus le Big-Bang standard basé sur la spéculation d’une « singularité » provoquant une température magique, non justifiée. Wikipédia décrit le Big-Bang du modèle standard, en ces termes :
« le modèle standard présente divers modèles cosmologiques comme des théories physiques qui décrivent comment l’univers s’est développé à partir d’un état initial (1) de densité et de température élevées. Ces modèles offrent une explication complète (2) d’un large éventail de phénomènes observés, y compris l’abondance d’éléments légers, le rayonnement de fond diffus (CMB), et la structure à grande échelle. L’uniformité globale de l’Univers, connue sous le nom de problème de planéité s’explique par l’inflation cosmique (3) soit une expansion soudaine et très rapide de l’espace pendant les premiers instants. Cependant, la physique manque actuellement d’une théorie largement acceptée de la gravité quantique (4) qui puisse modéliser avec succès les premières conditions du Big Bang ».
Mais la loi DUO5 basée sur la loi KOIDE élargie, montre clairement qu’il n’est nul besoin de spéculer pour suivre le chemin logico-déductif partant du paradoxe ZIA (Zéro Inertie Absolue).
Reprise des termes galvaudés
1/ L’état initial : derrière ce terme se cache la notion mystique d’absolu avec le fameux « mur de Planck » ou le magique « Fiat Lux ». La température de Planck (Tp = 1.4×1032 K) qui est ξ2 fois plus forte que celle de l’électron (Te = 6×109 K) est une spéculation car elle n’est justifiée par aucune cause logico-déductive.
La température n’est pas la cause de l’annihilation mais son effet. La cause physique de l’annihilation est clairement expliquée par le brusque masquage des charges.
La loi DUO5 ne s’appuie pas sur une magique « singularité » mais sur les lois physiques les plus fondamentales qui sont caractérisées par le paradoxe relatif à l’impossibilité naturelle d’obtenir un zéro inertiel absolu.
Le paradoxe existentiel : le zéro inertiel absolu ℳ ≡ 0 est aussi impossible que ℳ > 0
C’est ce paradoxe qui contraint l’existence (ou un état incréé) d’un état d’univers stochastique peuplé d’une infinité d’oscillateurs de type Bodys-zéros . Son entropie informationnelle maximale, produit statistiquement une probabilité non nulle de synchronisation partielle créant ainsi le BEC-fossile qui est le point de départ de la Bulle-Univers observable et en expansion. Il n’y a pas un « univers » mais une dualité d’états d’univers.
2/ L’explication complète d’un large éventail de phénomènes physiques. Toujours cet amalgame entre « expliquer » et « décrire ». Le modèle standard ne donne pas d’explication sur ; a) les grandes structures en filaments de galaxies ; b)sur l’anisotropie de l’expansion ; c) l’accélération de l’expansion; d) la matière noire ; e) d’une manière générale, sur les cause physiques de l’existence de la Bulle-Univers.
Figure 1
3/ Inflation cosmique : cette spéculation, basée sur un « champ » magique de « faux vide » caractérisé par son instabilité intrinsèque. Cet enchainement récurrent de spéculations vient de l’amalgame qui est fait entre les causes de l’existence d’un champ de « faux vide » et sa traduction en particules. Cette inflation spéculative trouve une forme mathématique proposée par De Sitter sous la forme d’une métrique :
Elle implique une constante cosmologique et une constante de densité. Cette expansion exponentielle, nécessite une énergie du vide dotée d’une pression négative –p égale en grandeur à sa densité d’énergie. Cette spéculation vient typiquement de l’art de remplacer les causes physiques par des effets représentés par des êtres mathématiques. Pourtant il existe bien une dualité profonde relative à l’idée d’instabilité. Le modèle standard n’a pas vu la clé sous la forme du paradoxe entre l’impossible attracteur « zéro inertiel absolu » et l’impossible « inertie > 0 ». L’énigme relative au réglage « fin » de l’univers pour donner la vie est totalement levée par la loi DUO5 qui stipule clairement que le proton (et donc toutes ses déclinaisons atomiques et moléculaires) est le résultat de la variable d’ajustement relative aux deux paramètres aléatoires, réglant la mitose-expansion. La loi DUO5 explique directement la cause de l’expansion relative au reste d’impulsion libérée par la séparation (délocalisation) des pôles de Bodys.
4/ La gravité quantique : il n’existe qu’une seule force fondamentale, la force coulombienne. Cette force est matérialisée par la charge élémentaire e qui lie les deux pôles de chaque oscillateur Bodys. Cette charge élémentaire « e » est classiquement fonction du produit de la masse par la longueur de Compton de l’électron. C’est la loi fondamentale M.L = Cte. Pour raison d’obtention d’un « zéro symétrique parfait » les pôles sont contraints d’être causalement liés par la force coulombienne.
Les adeptes du modèle standard, ne se posent pas la question relative à la CAUSE physique de la force coulombienne, bien qu’ils supposent avec raison, que toutes les autres forces en sont déclinées.
Le modèle standard traite la déclinaison vers la force électrofaible mais ignore la déclinaison coulombienne vers la force forte. Selon DUO5 elle est relative au masquage des charges des couches neutres empilées d’électron-positrons. Les adeptes du modèle standard ignore totalement la CAUSE de la force gravitationnelle. Selon DUO5, elle vient de la séparation des pôles sur l’aire du BEC-fossile. Ce lien apporte la preuve que la gravitation est le gradient coulombien relativement au nombre de pôles présents sur la demi circonférence du BEC-fossile.
Le Big Bang mitose
Trancher de manière absolue la question de savoir si l’univers est stationnaire ou pas, est une grave erreur. Il faut préciser de quel état d’univers il s’agit. Si c’est l’état stochastique et permanent alors oui, on l’assimiler à un état stationnaire ». S’il s’agit de la Bulle-Univers observable, alors oui, elle est en cours d’expansion.
Figure 2
La figure 3 montre un résumé de l’état « bulle-univers » en expansion. On a vu que le BEC-fossile découle statistiquement de l’état stochastique, via la loi de dualité de l’entropie informationnelle. Les ξ3 couches de pôles de Bodys oscillants arrivent à saturation sur l’aire du BEC-fossile. La première couche saturée arrivant sur l’aire de rebroussement, a des intervalles élémentaires tangentiels tellement réduits, que les pôles voisins +/- fusionnent. La superpositions des charges e, génère une telle variation de/dt² que cela provoque une énorme surtension radiale qui crée une sorte de court-circuit des Bodys. Sur l’axe tangentiel les pôles voisins –normalement délocalisés ou de sources différentes – n’ont pas vocation à s’annihiler. Mais ce court-circuit radial revient à les relocaliser et donc les annihiler. Si la sphéricité du BEC était « absolument parfaite », alors tous les pôles auraient été annihilé et la bulle-univers ne serait que photons. Comme on l’a vu, l’absolu « zéro défaut » n’existe pas. Les Bodys synchronisés se groupent par affinité d’erreur. Le groupe majoritaire A réunit des amplitudes spatiales plus courtes formant des facettes en regard du rayon moyen du BEC. Le groupe B (137 fois plus petit) présente une amplitude au-delà du rayon moyen. Ainsi le court circuit devient annihilation si et seulement si, les pôles en regard, sont encore causalement liés au moment de la fusion. La figure montre, que la fusion sur l’aire du BEC fossile crée des clusters neutres rescapés et espacés par de larges zones d’annihilation. Ces clusters sont des empilements neutres de paires électron-positrons (ex pôles) qui conservent l’impulsion finale radiale des pôles. C’est cela qui génère la mitose fractale en 5 étapes de : c à 5 c. La figure montre que les photons n’atteignent pas les clusters neutres car ils fuient au moins aussi vite que les photons. Il n’y a donc pas d’annihilation de la matière rescapée et donc pas de délai de 380 000 ans pour la ré-ionisation.
Carte identité des clusters primordiaux
Selon DUO5 les clusters primordiaux sont des trous noirs de masse galactique très instables que l’on pourrait qualifier de population 4. Chacun explose après 887 secondes en ξ étoiles géantes de 330 M Θ qui représentent la population 3. Ensuite chacune de ces dernières, explose après ≈ 2 millions d’années, pour donner un nombre plus élevé d’étoiles moins massives, de population 2. Cependant, leurs collisions intenses en transforment un certain nombre en étoiles noires. Le tableau indique le rayon observable (46,5 Gyl) et le rayon physique R(t) à 60,77 Gyl. Entre les 2 volumes (3D) apparaît un ratio de 2,23. Le tableau montre une certaine occurrence entre les estimations du modèle standard et le calcul DUO5.
La Matrice-Univers existe grâce au défaut du zéro inertiel qui ne peut-être absolu. La matière existe grâce au défaut de sphéricité du BEC-fossile qui ne saurait être ramené au zéro absolu. Le zéro absolu des mathématiques rend stérile la démarche logico-déductive amenant à la compréhension de l’existence de l’univers dans ces deux états.
Conclusion
La figure 3 montre que les clusters neutres sont des protogalaxies qui explosent après 887 secondes en ξ étoiles géantes de population III de 330 M Θ. Après ≈ 2 millions d’années ces étoiles riches en hydrogène et hélium, explosent en étoiles de population 2. Ces dernières ont un taux de métallicité plus élevé. L’accrétion en forme de galaxie est rapide, car les nuages d’hydrogène fuyant par l’explosion, sont contenus dans les BECs formant halo. Ainsi les masses galactiques existaient déjà avant l’accrétion gravitationnelle. Il est possible que le trou noir situé au centre des galaxies, soit un vestige de leur état compacté initial sur l’aire du BEC-fossile. Le plus gros trou noir observé (40 milliards de M Θ) laisse entendre qu’une grande partie n’a pas été formée par accrétion, mais un vestige de l’état cluster initial.
La masse de notre galaxies – estimée à 1500 M Θ = 3×1042 kg – est 34 fois moins massique que la galaxie type d’origine. Selon DUO5, ce ratio 34 représente le taux de masse noire (DM) produite depuis l’âge relatif à la population II. Selon les estimations des cosmologistes, le halo de la Galaxie, retiendrait une masse noire (DM) équivalent environ à 10 fois la masse lumineuse. Cela veut dire qu’environ 2/3 de la DM a quitté le halo pour « nourrir » le milieu intergalactique. Pour raison de conservation du moment cinétique cette fuite vers l’extérieur doit ralentir la rotation galactique. Cela est confirmé par l’observation.
3 réponses
[…] a tiré la conclusion simpliste qu’il ne pouvait exister une telle paire stabilisée par une séparation causale originelle. On a préféré se baser sur les quarks (qui ne sont que des effets induits) comme élément […]
[…] d’une partie des oscillateurs Bodys-zéros de L’Omnivers ; 3) le point zéro commun du Condensat de Bose Einstein (BEC) ; 4) un des oscillateurs Bodys synchronisés ; 5) ses deux pôles opposés qui – après […]
[…] dualité. Ce couple est la clé de nature numérique, comme une des conditions de fécondité du BEC-fossile à venir, origine de la Bulle-Univers […]