Résumé 2 sur l’origine de l’Univers
Ci-dessus une image d’artiste qui reflète la fractale de la mitose-expansion du BEC-fossile, en 5 phases. A chaque embranchement, la vitesse c augmente d’un cran dans toutes les direction, jusqu’à 5 c, dans l’axe radial. La forte densité sur l’aire 2D du BEC, se traduit par ξ trous primordiaux sous forme de galaxies noires et plates. Lors de la première phase de ces trous noirs primordiaux, ils sont faits d’un amalgame de paires électron-positrons non structurées. Au fil des 5 étapes de mitose, les trous noirs se divisent conjointement aux deux échelles : protons et étoiles. C’est seulement à ce moment que la fusion démarre dans les étoiles. Une partie de chaque trou noir primordial – devenue sphérique – est encore visible aujourd’hui au centre des galaxies. Le début d’expansion, propice aux collisions de galaxies, produit beaucoup de matière noire par relocalisation partielle relativement aux origines séparées.
Avant le BEC fossile
1/ Le paradoxe existentiel impose un état permanent d’univers – l’omnivers – sans continuum masse-espace-temps, formé d’une infinité d’oscillateurs stochastiques Bodys-zéros. L’entropie informationnelle, quasiment infinie, se traduit par un intense brassage dont la probabilité de synchronisation partielle, formant un BEC, est forcément unitaire. C’est l’effet statistique, du non écoulement du temps global. Le hasard a synchronisé ξ11 Bodys jusqu’à saturer le BEC-fossile.
2/ L’existence de la notion d’inertie M dans l’Omnivers vient du paradoxe existentiel :
Fondamentalement, la notion d’inertie M ne peut-être réduite au zéro absolu. Mais l’existence spontanée d’une inertie est injustifiée. Pour l’annuler, la Nature n’a d’autre solution que la dualité sous la forme du zéro symétrique obtenu par le lien causal entre deux pôles contraires.
La Dualité est consubstantielle à la Nature
Seul les nombres dépourvus de paramètres physiques ont accès au zéro absolu (0A) et à l’infini. A défaut, les paramètres physiques réduits au zéro symétrique, ont accès à l’infini.
La dualité symétrique – consubstantielle à la Nature – résout le paradoxe existentiel pour l’inertie M par le zéro symétrique (⨁) :
.
La loi héritée est la source de la constante de Planck :
Elle Implique l’existence de la notion (évolutive) d’oscillation. Cette oscillation est dipolaire pour satisfaire l’exigence d’avoir un zéro de nature symétrique ⨁, à défaut de l’impossible zéro absolu, selon :
Le produit ML = Cte n’est pas un scalaire. Ces oscillateurs Bodys-zéros, en nombre infini (grâce à leur zéro ⨁), sont les éléments obligatoires d’un néant non statique, non limité, non connexe, doté d’une entropie de désordre quasi infinie. Le brassage résultant – dans le cadre du non écoulement du temps – offre une probabilité unitaire de synchroniser ξ11 Bodys-zéro-⨁ stochastiques, pour engendrer un BEC fécond.
Synchronisation & fécondité du BEC-fossile à venir
Pour obtenir la bulle-univers en expansion et observable, le hasard doit obtenir (après une quasi infinité d’essais) les 5 critères de fécondité suivant :
Le second critère est ce ratio :
1
Ci-après le critère ξ11 (Bodys synchronisés), confirme :
1/ la constante G (gradient coulombien des ξ4 pôles séparés)
2/ le rayon du BEC-fossile,
3/ la masse de l’électron,
4/ la vitesse subquantique cs = c ξ²,
5/ la longueur de Compton de l’électron ƛe ,
6/ la longueur de Planck,
7/ le nombre de couches de Bodys dans l’axe radial ξ3 avec un intervalle moyen ƛe ,
8/ le nombre ξ4 de pôles de Bodys présent sur la demi-circonférence du BEC saturé relativement à la réduction de l’intervalle : ƛo = ƛe / ξ . C’est la racine carrée du nombre total ξ8 de pôles présents sur l’aire du BEC fossile :
La fécondité de la mitose fractale dépend du taux d’erreur de synchronisation k5 ci-après. En effet, il est la cause des imperfections du lissage de la sphère du BEC-fossile qui permet de sauver de l’annihilation, la partie des masses située au-delà du rayon moyen. Cette erreur est relative au facteur de mitose ξ² comparé à l’impossible (écart = zéro absolu) de la mitose idéale : 25.
Le taux d’erreur k5 se traduit par une distribution de couches situées de part et d’autre du rayon moyen du BEC. Les couches situées au-delà du rayon moyen, contiennent 1/α² ~ 1/137² des masses totales fusionnées. Or le brusque masquage des charges (de/dt²) a créé une surtension radial amenant un court circuit annihilant la grande majorité des pôles fusionnés. Les 1/α² de la couche extérieure sont les masses rescapées le la Bulle-Univers en expansion.
L’annihilation de facteur α² est le déclencheur (phase 1) de la mitose fractale (en 5 phases) de facteur ξ² relative au déséquilibre des intervalles élémentaires du BEC-fossile. Ce déséquilibre justifie également le nombre ξ8 de paires électron-positrons présentes sur l’aire 2D et donc le nombre ξ4 présents sur la circonférence. Le proton est la variable d’ajustement qui fait converger les deux composantes de la mitose expansion. Il est exprimé sans dimension, car en « unité électron habillé ou mesuré ».
Ci-après, la partie neutre du proton (ou neutron), exprimée en unité « électron nu et entier », est directement tributaire des des deux premiers critères de fécondité. Le proton aurait pu être de masse différente pour un k5 bis ou ter. Mais l’exigence de fécondité est tellement élevée qu’il aurait fallu que k5 permette un nombre entier pour le proton, base de toute la matière.
Séparation radiale & mitose-expansion fractale
La séparation radiale des pôles se produit à la vitesse c qui était la vitesse de pré-rebroussement.
Les masses ne sont pas relativistes, car leur référentiel (BEC et donc espace-temps) est en expansion à la même vitesse.
La séparation rend les pôles autonomes et donc révèlent leurs paramètres physiques sous la forme d’électrons et de positrons. Cette séparation est compensée par le gradient coulombien relatif aux ξ4 éléments présents sur la demi circonférence. Ainsi la preuve incontestable de la preuve de la cause de la gravitation est vérifiée par cette relation :
Ci-dessous l’aspect fractal de la mitose-expansion :
Le proton fusionné durant les 5 premières phases de la mitose
neutron ou proton possède 1840 unités nues masquées et donc neutres + 1 électron (périphérique) et un positron intérieur. Les 4 groupes de 460 unités sont séparés par 3 intervalles polarisés qui sont matérialisés par les quarks.
Neutron
Après 887 secondes, l’électron est expulsé en provoquant l’extraction fugace du boson W (Bodys) et du neutrino de Majorana dipolaire de son état à l’image (locale) d’un Bodys-zéro.
Proton
Les quarks ne sont que les effets des intervalles polarisés.
Le muon
Le modèle standard s’étonne de la masse du muon alors qu’il n’a pas de quarks. Or ce tableau montre clairement que le muon possède un seul groupe de 206 unités neutralisées par masquage. Les pions (270 et 276) ne sont divisible que par trois pour donner un nombre pair. Ils ont ainsi 3 groupes et 2 intervalles.
Son existence est relative au nombre de complexions (théorie de Boltzmann) relatif au nombre total de pôles sur l’aire du BEC-fossile, avant annihilation.
Le résultat est précisé jusqu’à sigma 5,5. Mais en tenant compte de l’annihilation en 1/α², on obtient cette relation à sigma 7 pour la masse mesurée du muon à : µ = 206,768277946626 ue ou 105,658373857098 MeV :
Conclusion
La loi KOIDE élargie montre les liens précis entre de nombreuse particules composites, ce qui confirme qu’elles ont en commun les composants élémentaires (électrons et positrons). La loi DUO5 n’est pas un modèle de plus, car sa démarche ne tombe pas dans le piège des êtres mathématiques qui prétendent remplacer les êtres physiques. Outre ce qui est indiqué ici, elle apporte des preuves incontestables.