La force faible

Déterminisme de L'Univers d'Or

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La force faible

Que ce soit au niveau du muon, du tauon ou du neutron, la force faible se caractérise par la suppression de tout ou partie d’une masse inertielle. Par exemple un muon de masse nue de 207 unités « électron nu », se transforme en positron ou électron plus une neutrino réputé sans masse. En effet, selon la loi de la relativité, la célérité du neutrino ne lui permet pas d’avoir une masse. Cependant ce n’est pas si simple. Si le neutrino muonique n’est pas perturbé alors sa masse est nulle. En revanche, s’il est mesuré, alors une certaine partie de sa masse est révélé. Il vient que le masquage par superposition de ses 103 paires neutres, change de statut en devenant 103 paires dont les masses sont annulées par opposition.

Le boson W issu des Bodys, change le statut de masquage {superposé → opposé} de la paire destinée à devenir le neutrino

le masquage dipolaire par opposition est le plus fondamental car il annule les paramètres physiques. Le neutrino est de type MAJORANA

Le modèle standard voudrait à tout prix donner une masse aux neutrinos alors qu’elle est variable en fonction de l’intensité de la perturbation. Le neutrino est un Bodys s’exprimant à l’échelle quantique ! Sa masse est nulle hors perturbation et c’est pour cela que sa vitesse de croisière atteint celle du photon. La loi DUO√5 indique que la masse du neutron est – comme le proton – majoritairement constituée de 4 groupes neutralisés par superposition des couches. Cela est confirmé par la cohérence multiple de la loi KOIDE élargie. En plus de ses 1840 unités masquées, le neutron possède 2 paires isolées oscillants en couches 2D dans le champ des intervalles polarisés des couches neutres. La paire la plus externe est émise en recevant une impulsion (issue de deux Bodys couplés) lui permettant de modifier son statut de masquage qui évolue selon : {superposition → opposition}. Ce changement de statut annule en plus des charges, les 2 masses contraires. La création du neutrino électronique est donc due au boson W qui représente l’impulsion propre d’un pôle de Bodys soit ξ fois celle de l’électron. Comme pour le taux d’habillage, le canal du couplage 1D/2D, réduit ce ratio d’impulsion à √ξ. La masse de ce boson W est mesurée à : 80.403(29) GeV. Or le résultat de cette relation est compatible avec la mesure, selon :

compatible avec 80,377(12) MeV du PDG 2022 et :

Dans mon livre « L’univers miroir » publié en mai 2012, je donnais la valeur du Boson de Higgs calculée selon ce même processus (avec le coefficient 8/5 au lieu de 2/5). Quelques mois plus tard, cette valeur a été confirmée. Dans les deux cas, interviennent (comme partout ailleurs) les nombres canoniques de la mitose, 2, 5 et 8 et le taux d’anomalie ou d’habillage αe.

Le boson de Higgs

Le même calcul s’applique au boson de Higgs avec le coefficient 5/8 :

Avec τp le taux de couplage du proton (1841/1836.1526732), ce résultat est compatible avec le PDG 2022 qui donne : 125,25 (17) GeV.

4 réponses

  1. […] le boson de Higgs déjà vu dans chapitre « force faible » […]

  2. […] coefficient k5+1 permet également de préciser la valeur numérique du boson W. Ces deux coefficients donnent cette […]

  3. […] règle relative à la durée de vie. La loi DUO5 montre clairement que les bosons de jauge sont des extractions impulsionnelles de pôles de Bodys. Comme l’habillage (qui lui est permanent) la masse extraite (Δm) est compensée par un […]

  4. […] mon article de mai 2022 consacré à la force faible, j’ai abordé la structure du neutron relative à la cohérence avec la loi KOIDE élargie . […]

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