Tout est électron

La loi KOIDE élargie par DUO5, montre que la partie neutre de toutes les particules composites, sont constituées de paires {électron-positrons} fusionnées. Cela est rendu possible avec des paires séparées lors de la création non locale car les paires de création locale s’annihilent en fusionnant. La dualité de localité joue un rôle prédominant, souvent oublié. Le tableau suivant montre que les principales constantes physiques sont toutes déduites des seuls paramètres de l’électron (et donc du positron). A partir des 3 paramètres M,L,T de l’électron, émergent 8 constantes principales que l’on attribut à l’espace-temps, plus 3 autres dérivées.

A la parfaite cohérence dimensionnelle, s’ajoute une très bonne occurrence numérique moyenne (< 10–8). On peut également rajouter la constante de Coulomb (k = 8.98×109 N . m²/ C², qui n’est autre que l’inverse de la constance de permittivité. Toutes les constantes sont en relation directes avec l’électron.
Rappel :
1/ ξ² = 2.38×1023, matche avec le taux de mitose qui détermine le nombre d’étoiles primordiales de masse ~330 MS.
2/ Le rayon R =ξ3 ƛe , du BEC-fossile, matche avec celui des halos galactiques.
3/ Le rayon Ro = ξ2 ƛe du point zéro, matche avec celui des étoiles primordiales.
4/ Le ratio ξ4 entre la force coulombienne et gravitationnelle sur une paire e-p, matche avec le nombre 1D sur l’aire du BEC-fossile lors de la séparation des pôles se révélant en paires électrons-positrons de création non locale.
5/ Le nombre ξ8/α² (2D) de paires e-p, matche avec la masse généralement estimée de l’univers observable : ~ 1055 kg.
L’idée de voir la masse principale et neutre d’un proton composé de paires électron-positrons a été rejetée car les paires que que l’on étudie – de création locale – s’annihilent forcément.
On passe carrément à côté de la clé relative à la dualité de localité ! Celle-ci montre que les paires (soit créées dans les galaxies en permanence, soit celle créées d’origine) ont été séparées chacune de leur alter ego non local. Ainsi les paires opposées voisines (locales) fusionnent sans s’annihiler. Cela se vérifie (entre autres) par la charge du proton strictement égale à celle du positron célibataire.